Progressive and Practical Method for the Study of the French Language, Partie 2Wilson, Hinkle & Company, 1874 |
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Progressive and Practical Method for the Study of the French Language, Partie 2 F. Duffet Affichage du livre entier - 1874 |
Progressive and Practical Method for the Study of the French Language: Part ... F. Duffet Affichage du livre entier - 1874 |
Expressions et termes fréquents
¹¹ adjective adverb aller allez autre avait avez Avez-vous avoir besoin better bien bientôt bonne C'est c'était chambre Charles chercher cheval coup cousin d'une deux dîner dire domestique donner duc de Mayenne elle enfants English Est-ce est-il été êtes êtes-vous être faire fallu faut faut-il femme fils français francs French frère garçon grand heure homme J'ai J'en jamais jeune jouer jour jusqu'à l'argent lady Leçon LESSON levez-vous livres m'en Madame maison Marguerite de Valois médecin mère mieux monde monsieur mort mort subite n'ai n'avez n'en n'est n'est-ce noun obliged Paris parler participle peine pensez-vous perdu père personne play pouvez pronoun qu'elle qu'il qu'on que vous quelques rien s'en s'il sœur soir sortir souvent speak subjunctive sur la table temps Tenir tout venir verb Voilà voir votre Voulez-vous wish
Fréquemment cités
Page 190 - Sainte-Marguerite, dans la mer de Provence, un prisonnier inconnu, d'une taille au-dessus de l'ordinaire, jeune, et de la figure la plus belle et la plus noble. Ce prisonnier, dans la route, portait un masque dont la mentonnière avait des ressorts d'acier, qui lui laissaient la liberté de manger avec le masque sur son visage: on avait ordre de le tuer s'il se découvrait.
Page 190 - Bastille, où il fut logé aussi bien qu'on peut l'être dans ce château. On ne lui refusait rien de ce, qu'il demandait. Son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles. Il jouait de la guitare. On lui faisait la plus grande chère, et le gouverneur s'asseyait rarement devant lui. Un vieux médecin de la Bastille, qui avait...
Page 191 - Avez-vous lu ce qui est écrit sur cette assiette, et quelqu'un l'at-il vue entre vos mains? — Je ne sais pas lire, répondit le pêcheur. Je viens de la trouver, personne ne l'a vue. » Ce paysan fut retenu jusqu'à ce que le gouverneur fût bien informé qu'il n'avait jamais lu, et que l'assiette n'avait été vue de personne. « Allez, lui dit-il, vous êtes bien heureux de ne savoir pas lire.
Page 190 - On lui faisait la plus grande chère 2, et le gouverneur s'asseyait rarement devant lui. Un vieux médecin de la Bastille, qui avait souvent traité cet homme singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais vu son visage, quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement bien fait, disait ce médecin; sa peau était un peu brune ; il intéressait par le seul ton de sa voix, ne se plaignant jamais de son état, et ne laissant point entrevoir ce qu'il...
Page 104 - There would be as many," said he, "if I was being taken to the scaffold8." 1 vérité ; 2 foule ; 3 accourait ; ' parts ; '' échafaud. THE ADVERB. Place of the Adverb. 1. In French, the adverb is generally placed after the verb in simple tenses, and between the auxiliary and the participle in compound tenses; as: You never sing.
Page 190 - Bastille , où il fut logé aussi bien qu'on peut l'être dans le château : on ne lui refusait rien de ce qu'il demandait; son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles; il jouait de la guitare. On lui faisait la plus grande chère, et le gouverneur s'asseyait rarement devant lui.
Page 191 - Ce prisonnier l'était sans doute ; car voici ce qui arriva les premiers jours qu'il était dans l'île. Le gouverneur mettait lui-même les plats sur la table, et ensuite se retirait après l'avoir enfermé. Un jour le prisonnier écrivit avec un couteau sur une assiette d'argent, et jeta l'assiette par la fenêtre vers un bateau qui était au rivage, presque au pied de la tour; un pêcheur, à qui ce bateau appartenait, ramassa' l'assiette, et la rapporta au gouverneur; celui-ci, étonné, demanda...
Page 189 - En face de moi, une suite de petites maisons, rangées comme des capucins de cartes, trois imprimeries, six journaux, des affiches partout, l'eau gaspillée débordant dans les ruisseaux. Dans la rue, des gens affairés, silencieux, courant les mains dans leurs poches, sans doute pour y cacher des revolvers ; point de bruit, point de cris, point de flâneurs, point de cigares, point de cafés, et, aussi loin que portait ma vue, pas un sergent de ville, pas un gendarme ! C'en était fait ! j'étais...
Page 189 - Amérique, inconnu, seul, dans un pays sans gouvernement, sans lois, sans armée, sans police, au milieu d'un peuple sauvage, violent et cupide. J'étais perdu ! Plus abandonné, plus désolé que Robinson après son naufrage, je me laissai tomber sur un fauteuil, qui aussitôt se mit à danser sous moi. Je me levai tout tremblant, je me cherchai dans la glace, hélas ! je ne me retrouvai même plus. En face de moi il y avait un homme maigre, au front chauve parsemé de quelques cheveux rouges, a...
Page 169 - ... et elle engageait sérieusement Cornélie à lui faire voir aussi ses joyaux. Cornélie changea adroitement la conversation, pour attendre le retour de ses fils qui étaient allés aux écoles publiques. Comme ils rentraient et arrivaient dans l'appartement de leur mère, elle dit à la dame de Campanie, en les lui montrant : " Voici mes joyaux et la seule parure que je prise.