Portraits contemporains: littérateurs--peintres--sculpteurs, artistes dramatiquesCharpentier et cie, 1874 - 464 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 19
Page 13
... le monde m'appelle paresseux et me demande à quoi je m'occupe . Voilà , en vérité , tout ce que je sais sur moi . ( L'ILLUSTRATION , 9 mars 1867. ) ALPHONSE KARR M. Alphonse Karr s'est révélé au monde littéraire THEOPHILE GAUTIER . 13.
... le monde m'appelle paresseux et me demande à quoi je m'occupe . Voilà , en vérité , tout ce que je sais sur moi . ( L'ILLUSTRATION , 9 mars 1867. ) ALPHONSE KARR M. Alphonse Karr s'est révélé au monde littéraire THEOPHILE GAUTIER . 13.
Page 18
... et la passion roma- nesque , en même temps qu'il les étonne par une haute science de la vie et une plaisanterie de vaste portée . - ( LA PRESSE , 17 mars 1839. ) SOPHIE GAY NÉE EN 1776 - MORTE EN 1852 Les 18 PORTRAITS CONTEMPORAINS .
... et la passion roma- nesque , en même temps qu'il les étonne par une haute science de la vie et une plaisanterie de vaste portée . - ( LA PRESSE , 17 mars 1839. ) SOPHIE GAY NÉE EN 1776 - MORTE EN 1852 Les 18 PORTRAITS CONTEMPORAINS .
Page 25
... Mars , mademoiselle Duches- nois , Talma , dont nous avons parlé tout à l'heure ; plus tard , elle eut aussi un commerce d'admiration et d'a- mitié avec mademoiselle Rachel , dont le talent et la per- sonne lui étaient juvénilement ...
... Mars , mademoiselle Duches- nois , Talma , dont nous avons parlé tout à l'heure ; plus tard , elle eut aussi un commerce d'admiration et d'a- mitié avec mademoiselle Rachel , dont le talent et la per- sonne lui étaient juvénilement ...
Page 61
... mars 1856 , et dédiée à Louise , contient quelques indications précieuses sur l'existence que menait dans ce nid aérien le jeune aspirant à la gloire . « Je demeurais alors dans une rue que vous ne con- naissez sans doute pas , la rue ...
... mars 1856 , et dédiée à Louise , contient quelques indications précieuses sur l'existence que menait dans ce nid aérien le jeune aspirant à la gloire . « Je demeurais alors dans une rue que vous ne con- naissez sans doute pas , la rue ...
Page 84
... Mars , l'École militaire , le dôme des Invalides , une grande portion de Paris et plus loin les coteaux de Meudon . H s'était arrangé là un intérieur assez luxueux , car il savait qu'à Paris on ne croit guère au talent pauvre , et que ...
... Mars , l'École militaire , le dôme des Invalides , une grande portion de Paris et plus loin les coteaux de Meudon . H s'était arrangé là un intérieur assez luxueux , car il savait qu'à Paris on ne croit guère au talent pauvre , et que ...
Autres éditions - Tout afficher
Portraits contemporains: littérateurs, peintres, sculpteurs, artistes ... Théophile Gautier Affichage du livre entier - 1874 |
Portraits contemporains: littérateurs--peintres--sculpteurs, artistes ... Théophile Gautier Affichage du livre entier - 1874 |
Expressions et termes fréquents
actrices admirable amour antique artiste Ary Scheffer avons Balzac beau beauté belle bizarre blanc bles bleu blonde Bouilhet c'était Carlotta chant charmante cheveux chose Comédie humaine comédiens couleur coup d'or David d'Angers Delacroix dessin détails dire drame élégant Eugène Delacroix eût faisait femme feuilleton figure fleurs Gavarni génie gloire Gozlan grec homme Horace Vernet Ingres jamais jeune jolies joues jour l'art l'artiste l'auteur l'esprit Laberge laisse Lamartine littéraire Louis Lambert madame Dorval madame Gay mademoiselle mademoiselle Georges main maître marbre Marilhat ment Méry moderne monde mort n'était nature noir œuvre passer passion Paul de Kock Paul Delaroche peintre pensée Philoxène Philoxène Boyer physionomie pittoresque plein poésie poëte portrait rayons regard reste rêve rhythme rien roman rose rouge salon scène semble sentiment seul siècle Simart Sontag Sophie Gay souvent statuaire statue style tableaux talent teint tête théâtre Théodore Chassériau toile Tony Johannot trouve types Victor Hugo voyage vrai yeux Ziegler
Fréquemment cités
Page 62 - La Société française allait être l'historien, je ne devais être que le secrétaire. En dressant l'inventaire des vices et des vertus, en rassemblant les principaux faits des passions, en peignant les caractères, en choisissant les événements principaux de la Société, en composant des types par la réunion des traits de plusieurs caractères homogènes, peutêtre pouvais-je arriver à écrire l'histoire oubliée par tant d'historiens, celle des mœurs.
Page 60 - ... Chez moi l'observation était déjà devenue intuitive, elle pénétrait l'âme sans négliger le corps; ou plutôt elle saisissait si bien les détails extérieurs qu'elle allait sur-le-champ au delà; elle me donnait la faculté de vivre de la vie de l'individu sur laquelle elle s'exerçait en me permettant de me substituer à lui, comme le derviche des Mille et une Nuits prenait le corps et l'âme des personnes sur lesquelles il prononçait certaines paroles.
Page 128 - Le christianisme, et surtout le catholicisme, étant, comme je l'ai dit dans le Médecin de campagne, un système complet de répression des tendances dépravées de l'homme, est le plus grand élément d'ordre social.
Page 61 - Quitter ses habitudes, devenir un autre que soi par l'ivresse des facultés morales, et jouer ce jeu à volonté, telle était ma distraction. A quoi dois-je ce don? Est-ce une seconde vue?
Page 49 - L'éloignement ne permet donc pas aux parents d'y venir souvent voir leurs enfants. La règle interdisait, d'ailleurs, les vacances externes.
Page 64 - ... cours des maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales , qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y abaissait régulièrement et les tuiles disjointes laissaient voir le ciel. Il y avait place pour un lit , une table , quelques chaises , et sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano.
Page 128 - ... maintenant l'édifice qu'il a bâti s'élève à mesure qu'on s'en éloigne, comme la cathédrale d'une ville que masquaient les maisons voisines, et qui à l'horizon se dessine immense au-dessus des toits aplatis. Le monument n'est pas achevé, mais tel qu'il est, il effraye par son énormité, et les générations surprises se demanderont quel est le géant qui a soulevé seul ces blocs formidables et monté si haut cette Babel où bourdonne toute une société.
Page 60 - Une seule passion m'entraînait en dehors de mes habitudes studieuses; mais n'était-ce pas encore de l'étude? j'allais observer les mœurs du faubourg, ses habitants et leurs caractères. Aussi mal vêtu que les ouvriers, indifférent au décorum, je ne les mettais point en garde contre moi ; je pouvais me mêler à leurs groupes, les voir concluant leurs marchés, et se querellant à l'heure où ils quittent le travail.
Page 136 - Musette qui s'est souvenue, Le carnaval étant fini, Un beau matin est revenue, Oiseau volage, à l'ancien nid; Mais en embrassant l'infidèle, Mon cœur n'a plus senti d'émoi, Et Musette, qui n'est plus elle, Disait que je n'étais plus moi. Adieu, va-t'en, chère adorée, Bien morte avec l'amour dernier ; Notre jeunesse est enterrée Au fond du vieux calendrier. Ce n'est plus qu'en fouillant la cendre Des beaux jours qu'il a contenus, Qu'un souvenir pourra nous rendre La clef des paradis perdus.
Page 375 - L'arc de ses sourcils, tracé avec une pureté et une finesse incomparables, s'étend sur deux yeux noirs pleins de flammes et d'éclairs tragiques; le nez, mince et droit, coupé d'une narine oblique et passionnément dilatée...