| Jean Charles Thilorier - 1815 - 450 pages
...menaçait; il s'arrête pourtant loin de BOUS. L'obscurité revient et la pluie de cendres recommence plus forte et plus épaisse ; nous étions réduits...nous lever de temps en temps pour secouer nos habits, et sans cela, elle nous eut accablés et engloutis. Enfin cette épaisse et noire vapeur se dissipa... | |
| Domenico Romanelli - 1829 - 376 pages
...ceci était tombé, que » cela brûlait; et la frayeur donnait du poids » à leurs mensonges. Il parut une lueur qui » nous annonçait non le retour...mais » l'approche du feu qui nous menaçait ; il s'ar» réta pourtant loin de nous. L'obscurité ret2 » vient, et la pluie de cendres, recommence,... | |
| Catherine Joseph Ferdinand Girard de Propiac - 1832 - 420 pages
...>» ceci était tombé , que cela brûlait , et la frayeur » donnait du poids à leurs mensonges. » II parut une lueur qui nous annonçait non le » retour...il s'arrêta pourtant loin de » nous. L'obscurité et la pluie de cendres recom» mencèrent et plus fortes et plus épaisses. Nous » étions réduits... | |
| 1833 - 418 pages
...que tel autre était en feu; bruits mensongers, mais qui étaient accueillis comme des vérités. Il parut une lueur qui nous annonçait, non le retour...loin de nous. L'obscurité revient, et la pluie de cendre recommence , et plus forte et plus épaisse. Nous étions réduits à nous lever de temps en... | |
| Jean Reboul - 1839 - 356 pages
...Misène ceci était tombé, que cela brûlait ; et la frayeur donnait du poids à leurs mensonges. Il parut une lueur qui nous annonçait non le retour...nous lever de temps en temps pour secouer nos habits ; et sans cela elle nous eût accablés et engloutis. Je pourrais me vanter qu'au milieu de si affreux... | |
| Jean Reboul - 1842 - 436 pages
...frayeur donnait du poids à leurs mensonges. Il parut une lueur qui nous annonçait non le retour «lu jour, mais l'approche du feu qui nous menaçait; il...nous lever de temps en temps pour secouer nos habits; et sans cela elle nous eût accablés et engloutis. Je pourrais me vanter qu'au milieu de si affreux... | |
| Henri-Sébastien Le Hon - 1845 - 300 pages
...Misène, ceci était tombé, que cela brûlait; et la frayeur donnait du poids à leurs mensonges. Il parut une lueur qui nous annonçait, non le retour...menaçait; il s'arrêta pourtant loin de nous. L'obscurité revint, et la pluie de cendres recommença et plus forte et plus épaisse. Nous étions réduits à... | |
| Mme Emile de Girardin - 1856 - 384 pages
...Misène, ceci était tombé, que cela brûlait ; et la frayeur donnait du poids à leurs mensonges. Il parut une lueur qui nous annonçait, non le retour...épaisse. Nous étions réduits à nous lever de temps eu temps pour secouer nos habits, car sans cela, elle nous eut accablés et engloutis. Je pourrais... | |
| 1856 - 400 pages
...sans lune, mais dans une chambre où toutes les lumières auraient été éteintes... Il parut uile lueur qui nous annonçait, non le retour du jour,...l'approche du feu qui nous menaçait; il s'arrêta pourtant luin de nous. L'obscurité revint, et la pluie de cendres recommença et plus forte et plus épaisse.... | |
| Delphine de Girardin, Mme Emile de Girardin - 1857 - 452 pages
...Misène, ceci était tombé, que cela brûlait; et la frayeur donnait du poids à leurs mensonges. Il parut une lueur qui nous annonçait, non le retour...nous lever de temps en temps pour secouer nos habits, car sans cela, elle nous eût accablés et engloutis. Je pourrais me vanter qu'au milieu d'aussi affreux... | |
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