Bibliothèque des sciences, et des beaux arts, Volume 31P. Gosse Junior, 1769 |
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Expressions et termes fréquents
Affemblées affez affure ainfi Alboin ames Anglois Arts auffi auroit Auteur avoient avoit befoin Brême c'eft c'eſt caufes Charlemagne chofes Chrétiens Cieux compofés Confeil confervation confidère connoiffance connoître COURTANVAUX culte devoir Dieu Difcours Differtation diftinguer efprit Eglifes eſt étoient étoit Evêques Extr fage fainte falut fans doute favant favoir fe trouve fecond femble fentimens fentiment feroit fervir feul fiècle fimple fingulier foient foin foit fommes fondée fur font fource fous fouvent François fuccès fuiv fujet fur-tout Hiftoire hommes immortalité jufqu'à jufte juger l'Abbé l'ame l'Amour l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Hiftoire l'Ouvrage laiffer Loix Longitudes LONGUERUE Marivaux ment méridien n'eft n'eſt Nation néceffaire obfervations Ouvrage paffe paffion Parlemens Parlement paroît penfer perfonne Philofophie plaifir plufieurs Poëme Poëte préfent prefque premier Prince Profeffeur propofe puiffe raifon Réformation refte Religion s'eft s'étoit ſon teur Tilpin tion toyens ufage Vaiffeau vertu Voltaire XXXI
Fréquemment cités
Page 423 - Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre, elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces.
Page 104 - Recueil de pièces intéressantes pour servir à l'Histoire de fronce, avec d* autres morceaux de littérature trouvés dans les papiers de M. l'abbé de Longuerue j volume in-12 de près de trois cents pages.
Page 423 - Qu'il ne s'arrête donc pas à regarder fimplement les objets qui l'environnent. Qu'il contemple la nature entière dans fa haute & pleine majefté. Qu'il confidére cette éclatante lumière , mife comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers.
Page 350 - Jî elle dit le contraire. Le Prince va voir fa Sœur , qui ne lui cache rien. En-. vain il tâche, durant une après-dînée toute entière, de lui perfuader qu'en cette occafion la fincérité feroit une vraie fimplicité , qu'en la juftifiant auprès du Prince il avoit cru dire la vérité , mais qu'il falloit larfler tomber tout cela , & qu'elle feroit même plus de plaifîr au Roi de nier que d'avouer fa faute. „ Voulez„ vous, hi dit-elle , que je la répare ,, par une plus grande , non...
Page 135 - Philippe -le- Bel , avait fait, pour son usage , un registre des anciens édits, des principaux jugements , et des choses mémorables dont il avait connaissance. On en fit quelques copies. Ce recueil parut d'une très -grande utilité dans un temps d'ignorance où les coutumes du royaume n'étaient pas seulement écrites. Les rois de France avaient perdu leur cbartrier ; ils sentaient la nécessité d'avoir un dépôt d'archives qu'on pût consulter aisément.
Page 351 - XIV , par une action également héroïque , non - seulement lui pardonna de bon cœur , mais lui fit quelques autres grâces qu'elle ne s'attendoit pas de recevoir ; elle crut même remarquer qu'il la traita depuis avec plus de considération et de bonté qu'auparavant.
Page 472 - Si l'on peut détruire les penchants qui viennent de la nature, ou en faire naître qu'elle n'ait pas produits, et quels sont les moyens de fortifier les penchants, lorsqu'ils sont bons, ou de les affaiblir lorsqu'ils sont mauvais, supposé qu'ils soient invincibles.
Page 402 - Complaintes préfente des défauts nombreux qu'il eft prefque auflî facile d'éviter que d'appercevoir : mais ce n'en eft pas moins la plus fublime élégie qui ait jamais été faite fur les mi...
Page 285 - XIV iaifoit un cas particulier de ce prélat. Un jour qu'il haranguoit ce prince , la mémoire lui manqua : » Je » fuis bien aife ( lui dit le roi » avec bonté ) que vous me » donniez le tems de goûter les » belles chofes que vous me
Page 214 - ILLE du ciel , ô bienfaifance ! La plus aimable des vertus , Sans en excepter l'innocence ; O toi que l'on ne...