Oeuvres de Molière, Volume 5Saintin, libraire de la cour, 1822 |
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Molière. LA FLÈCHE . Que vous emporterais - je ? HARPAGON . Viens çà que je voie . Montre - moi tes mains . Les voilà . LA FLÈCHE . HARPAGON . Les autres . LA FLÈCHE . Les autres ? HARPAGON . Oui . LA FLÈCHE . Les voilà . HARPAGON ...
Molière. LA FLÈCHE . Que vous emporterais - je ? HARPAGON . Viens çà que je voie . Montre - moi tes mains . Les voilà . LA FLÈCHE . HARPAGON . Les autres . LA FLÈCHE . Les autres ? HARPAGON . Oui . LA FLÈCHE . Les voilà . HARPAGON ...
Page 20
... viens de dire . CLEANTE . Non . HARPAGON . Si fait , si fait . ÉLISE . Pardonnez - moi . HARPAGON . Je vois bien que vous en avez ouï quelques mots . C'est que je m'entretenais en moi - même de la peine qu'il y a aujourd'hui à trouver ...
... viens de dire . CLEANTE . Non . HARPAGON . Si fait , si fait . ÉLISE . Pardonnez - moi . HARPAGON . Je vois bien que vous en avez ouï quelques mots . C'est que je m'entretenais en moi - même de la peine qu'il y a aujourd'hui à trouver ...
Page 49
... viens - tu faire ici ? FROSINE . Ce que je fais partout ailleurs ; m'entremettre faires , me rendre serviable aux gens , et pro- 1 er , du mieux qu'il m'est possible , des petits teens que je puis avoir . Tu sais que , dans ce v ...
... viens - tu faire ici ? FROSINE . Ce que je fais partout ailleurs ; m'entremettre faires , me rendre serviable aux gens , et pro- 1 er , du mieux qu'il m'est possible , des petits teens que je puis avoir . Tu sais que , dans ce v ...
Page 81
... viens à vous avec des lunettes . Je sais que vos appas frappent assez les yeux , sont assez visibles d'eux- mêmes , et qu'il n'est pas besoin de lunettes pour les apercevoir : mais enfin c'est avec des lunettes qu'on observe les astres ...
... viens à vous avec des lunettes . Je sais que vos appas frappent assez les yeux , sont assez visibles d'eux- mêmes , et qu'il n'est pas besoin de lunettes pour les apercevoir : mais enfin c'est avec des lunettes qu'on observe les astres ...
Page 91
... viens - tu faire ici bourreau ? LA MERLUCHE . Vous dire que vos deux chevaux sont déferrés . HARPAGON . Qu'on les mène promptement chez le maréchal . CLÉANTE . En attendant qu'ils soient ferrés , je vais ACTE III , SCÈNE XIII . 91.
... viens - tu faire ici bourreau ? LA MERLUCHE . Vous dire que vos deux chevaux sont déferrés . HARPAGON . Qu'on les mène promptement chez le maréchal . CLÉANTE . En attendant qu'ils soient ferrés , je vais ACTE III , SCÈNE XIII . 91.
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Expressions et termes fréquents
affaire allez Allons amour ANSELME ARGANTE assez Assurément avez belle BRINDAVOINE cassette cents pistoles chose Ciel cinq cents écus CLEANTE cœur COMMISSAIRE consentement coquin coups de bâton croyant seul demande pardon diable allait-il diantre Dieu dire dis-je dix mille écus donner doucement ÉLISE enfans est-ce êtes étrange affaire fais fasse femme fille fils FLÈCHE FOURBERIES DE SCAPIN FROSINE galère gens HARPAG HARPAGON hauts-de-chausses Hélas homme honnête HYACINTHE impertinent j'ai j'en JACQUELINE jeune joie l'argent Laissez-moi LÉANDRE LUCAS LUCINDE Madame MAITRE MAÎTRE JACQUES MAÎTRE SIMON maladie MARIANE marier MARTINE médecin médecin du monde MERLUCHE mieux Molière monde Monsieur moque n'y a rien NÉRINE nourrice OCTAVE Pardonnez-moi parler pendard père personne Peste plaira prendre Qu'est-ce raison ravi ROBERT s'il vous plaît sais saurais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII seigneur Géronte sentimens sera SGANARELLE SILVESTRE Tarente traître trouver VALÈRE venir veut veux voilà vois voudrais voulez voulez-vous vrai ZERBINETTE
Fréquemment cités
Page 113 - N'y at-il personne qui veuille me ressusciter, en me rendant mon cher argent, ou en m'apprenant qui l'a pris? Euh? que dites-vous? Ce n'est personne.
Page 113 - Et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde! Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait, je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré!
Page 68 - Ah ! ils n'ont que ce mot à la bouche : « De l'argent ! » Toujours parler d'argent. Voilà leur épée de chevet, de l'argent.
Page 113 - Que de gens assemblés ! Je ne jette mes regards sur personne qui ne me donne des soupçons, et tout me semble mon voleur. Hé ! de quoi est-ce qu'on parle là ? de celui qui m'a dérobé? Quel bruit fait-on là-haut ? est-ce mon voleur qui y est ? De grâce...
Page 84 - Et moi, pour vous répondre, j'ai à vous dire que les choses sont fort égales; et que si vous auriez de la répugnance à me voir votre belle-mère, je n'en aurais pas moins sans doute à vous voir mon beau-fils.
Page 113 - N'est-il point ici? Qui est-ce? Arrête. (A lui-même, se prenant par le bras). Rends-moi mon argent, coquin... Ah! c'est moi! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas! mon pauvre argent! mon pauvre argent! mon cher ami! on m'a privé de toi; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde.
Page 261 - Voilà du bois qui est salé comme tous les diables. Il chante. Qu'ils sont doux, Bouteille jolie, Qu'ils sont doux, Vos petits glougloux! Mais mon sort ferait bien des jaloux, Si vous étiez toujours remplie. Ah! bouteille, ma mie, Pourquoi vous videz-vous?