 | Molière - 1725 - 578 pages
...Aclci L'un défendeur zélé des bigots mis en jeu » Pour prix de fes bons mots le condamnait au feu; L'autre fongueux Marquis , lui déclarant la guerre...Voulait venger la Cour immolée au Parterre. Mais fi tôt que d'un trait de Ces fatales mains La Parfjfte l'eut rayé du nombre des humains , i On reconnut... | |
 | François Parfaict, Claude Parfaict - 1746 - 474 pages
...déclarant la guerre , Vouloit venger la Cour immolée au parterre. Mais fitôt que d'un trait de fes fatales mains , La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de fa Mufe éclipfée > l'aimable Comédie avec lui terrafTée , En vain d'un coup fi rude efpera revenir... | |
 | Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1749 - 304 pages
...déclarant la guerre, Vouloit venger la Cour immolée au parterre. Mais fi-tôt que , d'un trait de fes fatales mains , La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de fa Mufe éclipfée , Toute la comédie avec lui terraffée , En vain d'un coup fi rude efpéra revenir... | |
 | Louis Racine - 1701 - 216 pages
...Critiques en fureur déchiroient les Pièces de Molière vivant: Mais fitôt que d'un trait de fes fatales mains, La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de fa Mufe éclipfée. Cette tardive fatisfaftion d'un public long temâ Irfjufte , ne fut pas même accordée... | |
 | Molière - 1755 - 406 pages
...guerft t Voulait venger la cour immolée au parterre. Mais Jt-tvt que, d'un trait de fes fatales mains 9 La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de fa mufe édipfée. L'aimqhle comédie, avec lui terrajfée, En vain, d'un coup ft rude, efpe'ra revenir,... | |
 | Jean-Baptiste de Boyer Argens (marquis d') - 1767 - 768 pages
...déclarant la guerre. Vouloir venger la Cour immolée au parterre. Mais fitôt que d'un trait de fes fatales mains La parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de fa Mufe éclipfée. L'aimable comédie avec lui terraflèe, En vain d'un coup fi rude efpéra revenir:... | |
 | Molière - 1765 - 396 pages
...défendeur zflé dts bigots mis en jeu , Pour pri* de fes bons mots, le cmd«mnoit an feu. L'autre, fougueux Marquis , lui déclarant la guerre. Voulait venger la Cour immolée au parterre. Mais ft-tôt que , d'un trait de fes fatales mains. La Parque l'eut rayé drt nombre des humains, 0» retonnut... | |
 | Voltaire - 1771 - 278 pages
...de toutes les nations anciennes Se modernes. Defpreaux a dit : • Aufli-tôt que d'un trait de fes fatales mains , La parque l'eut rayé du nombre des humains , ., On reconnut le prix de fa mufe éclipfée. L'aimable comédie , avec lui terraflee , • En vain d'un coup fi rude efpéra... | |
 | Voltaire - 1773 - 390 pages
...comiques de toutes les nations anciennes & modernes. Def•préaux a dit, Auffitôt que d'un trait de fes fatales mains , La parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de fa mufe éclipfée. L'aimable comédie , avec lui terraffée , En vain d'un coup fi rude efpéra revenir,... | |
 | Voltaire - 1775 - 426 pages
...comiques de toutes les nations anciennes & modernes. Defpréaux a dit , Aufli-tôt que d'un trait de fes fatales mains , La parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de fa mufe éclipfée. L'aimable comédie , avec lui terraffée , En vain d'un coup fi rude efpéra revenir... | |
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Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus... 
