S'embellissait dans des eaux de jasmin. A son souper un surtout de Germain Et trente plats chargeaient sa table ronde Des doux tributs des forêts et de l'onde. Je voulus vivre en fermier général : Que voulez-vous, hélas! que je vous dise? Je payai... Oeuvres complètes de Voltaire: Poésies - Page 353de Voltaire - 1821Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Voltaire - 1772 - 456 pages
...l'avoue. Confeillcz-moi. — Mon ami , je te loue D'avoir enfin déduit fans vanité Ton cas honteux, & dit la vérité; Prête l'oreille à mes avis fidèles. Jadis l'Egypte eut moins de fauterelles Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris • De malotrus , foit difant beaux efprits , Qui... | |
| 1774 - 480 pages
...l'avoue. Confcillcz-moi. i— i mon ami, je te loue D'avoir enfin déduit fans vanité Ton cas honteux , & dit la vérité ; Prête l'oreille à mes avis fidèles, Jadis l'Egypte eut moins de fauterelles Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris De malotrus, foit difant beaux efptits, Qui differtant... | |
| Voltaire - 1775 - 446 pages
...l'avoue. Confeillez-moi. — Mon ami , je te loue D'avoir enfin déduit fans vanité Ton cas honteux , & dit la vérité ; Prête l'oreille à mes avis fidèles. Jadis l'Egypte eut moins de fauterelles : Que Ton ne voit aujourd'hui dans Paris De malotrus , foi-difant beaux efprits , Qui diflertanffur... | |
| Claude Sixte Sautreau de Marsy - 1782 - 206 pages
...l'avoue. Confeillei-moi. — Mon ami , je te luuc D'avoir enfin déduit fans vanité Ton cas honteux , & dit la vérité ; Prête l'oreille à mes avis fidèles. Jadis l'Egypte eut moins de fauterelles , Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris D«s malotrus , foit-difant beaux efprits , Qui... | |
| Voltaire - 1785 - 496 pages
...il faut que je l'avoue.. Confeillez-moi. — Mon ami , je te loue D'avoir enfin déduit fans vanilé Ton cas honteux , et dit la vérité ; Prête l'oreille à mes avis fidelles. Jadis l'Egypte eut moins de faute tel les Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris De malotrus... | |
| Voltaire - 1801 - 284 pages
...fermier-général : Que voulez-vous , hélas ! que je vous dise ? Je payai cher ma brillante sottise ; SATIRES. En quatre mois je fus à l'hôpital. Voilà mon sort,...moins de sauterelles Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris De malotrus, soi-disant beaux-esprits, Qui, dissertant sur les pièces nouvelles, En font encor... | |
| 1805 - 264 pages
...fermier général. , Que voulez-vous, hélas! que je vous dise, Je payai cher ma brillante sottise : lui quatre mois je fus à l'hôpital. Voilà mon sort,...honteux, et dit la vérité. Prête l'oreille à mes avis fidelles: Jadis l'Egypte eut moins de sauterelles Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris De malotrus... | |
| Voltaire - 1808 - 398 pages
...quatre mois je fus à l'hôpital. Yoilà mon sort, il faut que je l'avoue. Conseillez-moi. — Mou ami , je te loue . D'avoir enfin déduit sans vanité...vérité ; Prête l'oreille à mes avis fidèles. Jadis l'Égypte eut moins de sauterelles Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris De malotrus, soi-disant... | |
| 1811 - 506 pages
...doux. « Je conduisis ma Laïs triomphante « Les soirs d'été ........ « Que voulez-vous , hélas ! que je vous dise : « Je payai cher ma brillante sottise; « En quatre mois , je fus à l'hôpital. » Le troisième offre une allusion à la cause des malheurs de sa famille : i« Quel fut le fruit... | |
| Jean-Pons-Victor Lecoutz de Levizac, François Moysant - 1814 - 572 pages
...tributs des forêts et de l'onde. Je voulus vivre en fermier général ; Que voulez-vous, hélas ! que je vous dise? Je payai cher ma brillante sottise...moins de sauterelles Que l'on ne voit aujourd'hui dans Paris De malotrus , soi-disant beaux esprits f Qui , dissertant sur les pièces nouvelles, En font... | |
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