Oeuvres de J.B. Poquelin de Molière, Volumes 1 à 21813 |
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Expressions et termes fréquents
Adieu AGNÈS ALAIN ALBERT ALCIPPE Allez ALMANZOR ALVAR amant amour ANDRÈS ANSELME ARISTE ARNOLPHE ASCAGNE assez auroit avez avoit beau belle CATHOS cher chose CHRYSALDE ciel cœur comédie connoître coup courroux crois CROISY déja DÉPIT AMOUREUX desirs dessein diable dieu dire discours doit donner douleur doux ÉLISE ELVIRE enfin ÉRASTE esprit êtes étoit fâcheux FEMME DE SGANARELLE feux fille flamme FROSINE galant GARCIE gens GEORGETTE GORGIBUS grace GROS-RENÉ Hélas homme HORACE hymen IGNÈS ISABELLE j'ai j'aurois j'avois j'en jaloux jamais JODELE JODELET l'amour laisse LÉANDRE LÉLIE LÉONOR LUCILE m'en madame MADELON main maniere MARINETTE MAROTTE MASCARILLE METAPHRASTE Moliere monsieur ORONTE ORPHISE PANDOLFE par-tout parler paroître pense pere POLIDORE pourroit PRÉCIEUSES RIDICULES prendre prince promptement puisse qu'un raison RASTE rien rival s'il sais SCENE VII secret seigneur seroit soins sort souffrir traître trouver TRUFALDIN vais VALERE valet veut veux vœux voilà vois voudrois vrai yeux
Fréquemment cités
Page 199 - Je sais un paysan qu'on appelait Gros-Pierre, Qui, n'ayant pour tout bien qu'un seul quartier de terre, Y fit tout à l'entour faire un fossé bourbeux, Et de monsieur de L'Isle en prit le nom pompeux.
Page 225 - Votre sexe n'est là que pour la dépendance; Du côté de la barbe est la toute-puissance : Bien qu'on soit deux moitiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n'ont point d'égalité; L'une...
Page 263 - Enfin, à mon amour rien ne peut s'égaler : Quelle preuve veux-tu que je t'en donne, ingrate ? Me veux-tu voir pleurer ? Veux-tu que je me batte...
Page 203 - Trivelin, ou quelque autre, sur le théâtre, faire ridiculement le juge, le prince ou le roi : aussi les véritables précieuses auraient tort de se piquer, lorsqu'on joue les ridicules qui les imitent mal.
Page 15 - Il lui prit une convulsion en prononçant jura , dans le divertissement de la réception du malade imaginaire. On le rapporta mourant chez lui, rue de Richelieu.
Page 11 - II n'était ni trop gras ni trop maigre; il avait la taille plus grande que petite, le port noble, la jambe belle; il marchait gravement, avait l'air très-sérieux, le nez gros, la bouche grande, les lèvres épaisses, le teint brun, les sourcils noirs et forts, et les divers mouvements qu'il leur donnait lui rendaient la physionomie extrêmement comique.
Page 233 - Il le faut avouer, l'amour est un grand maître, Ce qu'on ne fut jamais il nous enseigne à l'être, Et souvent de nos mœurs l'absolu changement, Devient par ses leçons l'ouvrage d'un moment. De la nature en nous il force les obstacles, Et ses effets soudains ont de l'air des miracles: D'un avare à l'instant il fait un libéral; Un vaillant d'un poltron; un civil d'un brutal; II rend agile à tout l'âme la plus pesante, Et donne de l'esprit à la plus innocente.
Page 263 - ... bedaine, Que par la ville ira le bruit de mon trépas, Dites-moi, mon honneur, en serez-vous plus gras? La bière est un séjour par trop mélancolique, Et trop malsain pour ceux qui craignent la colique.
Page 225 - Et ce que le soldat, dans son devoir instruit. Montre d'obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit frère, N'approche point encor de la docilité, Et de l'obéissance, et de l'humilité. Et du profond respect où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur et son maître.
Page 141 - D'abord que la toile fut levée, un des acteurs, comme vous pourriez dire moi, parut sur le théâtre en habit de ville, et s'adressant au roi avec le visage d'un homme surpris , fit des excuses en désordre sur ce qu'il se trouvait là seul, et manquait de temps et d'acteurs pour donner à Sa Majesté le divertissement qu'elle semblait attendre.