| France assemblée nat - 1849 - 838 pages
...FAVRE. o Des explications de M. le «inistre il est résulté que la pensée du Gouvernement n'est PU de faire concourir la France au renversement de la...dans sa liberté, dégagé de toute solidarité avec d'autres puissances, ne consultant que ses intérêts, son honneur , la part d'influence qui lai appartient... | |
| Ferdinand de Lesseps - 1849 - 270 pages
...intérêts de notre pays, et pour la cause de la vraie liberté. « La pensée du gouvernement n'est point de faire concourir la France au renversement de la République qui subsiste actuellement à Rome. « La République française ne saurait, sans s'amoindrir, coopérer à l'asservissement d'une nationalité... | |
| Emile de Girardin - 1858 - 846 pages
...M. le président du conseil et M. le ministre des affaires étrangères. » De leurs explications, il est résulté que la pensée du gouvernement n'est pas de faire concourir la France nu renversement de la république qui subsiste actuellement à Rome j qu'il agit dans sa liberté,... | |
| Pierre Vésinier - 1868 - 826 pages
...Italie. ,,Nous n'allons pas en Italie, disait Mr. Odilon Barrotpour imposer un gouvernement aux Italiens. La pensée du gouvernement n'est pas de faire concourir la France au renversement de la République romaine, . . . fille d'une révolution populaire, la République française ne peut sans s'amoindrir... | |
| Ledru-Rollin - 1879 - 624 pages
...affaires étrangères. De leurs explications il est résulté que la pensée du gouvernement n'était pas de faire concourir la France au renversement de...la république, qui subsiste actuellement à Rome. neur, la part d'influence qui lui appartient nécessairement dans ce grand débat européen. » Ecoutez... | |
| Émile Bourgeois, Émile Clermont - 1907 - 430 pages
...soumise au président du Conseil et qu'il accepta expressément : « Des explications du ministère, il est résulté que la pensée du gouvernement n'est pas de faire concourir la France au 1. Moniteur du 17 avril 1849. renversement de la République qui subsiste actuellement à Rome. »... | |
| 1910 - 896 pages
...crédit fut accordé ; mais le ministère dut déclarer « que la pensée du gouvernement n'était pas de faire concourir la France au renversement de la République, qui subsistait actuellement à Rome». Quelle n'était pas, quelques jours après, la stupéfaction et... | |
| Maurice Reclus - 1912 - 608 pages
...déclarations du gouvernement à la commission. « De leurs explications (des ministres), écrivait-il, il est résulté que la pensée du gouvernement n'est...République qui subsiste actuellement à Rome.... Fille d'une révolution populaire, la République française ne pourrait, sans s'amoindrir, coopérer... | |
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