| Louis-Sébastien Mercier - 1776 - 398 pages
..., dont la main facrée „ grave dans le cœur de l'homme , le caraftere pri„ mitif de lajuftice: c'eft à toi que je voue mes „ jours; conduis mes...qu'ils fe forgent ; & fi ma „ mâle indépendance oflenfe. le vice qui veut être „ defpote, elle plaîra à la vertu qui ennoblit l'homn me, en ne... | |
| Jean Baptiste Robinet - 1782 - 740 pages
...élèveras ma penfée, » tu la rendras digne de fon auteur. Je ne dépendrai point du regard des hom» mes, je ne porterai point les fers qu'ils fe forgent; & fi ma mâle in» dépendance effenfe le vice qui veut être defpote, elle plaira à la vertu » qui ennoblit l'homme... | |
| Jean Baptiste Robinet - 1782 - 672 pages
...primitif de la juftice ; c'eft à toi que je voue mes jours; conduis mes pas & ma langue; tu élèveras ma penfée, tu la rendras digne de fon auteur. Je...indépendance offenfe le vice qui veut être defpote, elle plaira à la vertu qui ennoblit l'homme, en ne l'affujettifiant qu'aux loix. « Auflî-tôt il fe fent... | |
| Jean Baptiste Robinet - 1782 - 656 pages
...primitif de la juftice ; c'eft à toi que je » voue mes jours; conduis mes pas & ma langue; tu élèveras ma penfée, • tu la rendras digne de fon auteur. Je ne dépendrai point du regard des hom» mes, je ne porterai point les fers qu'ils fe forgent; & lî ma mâle in» dépendance ofFenfe... | |
| Louis-Sébastien Mercier - 1785 - 396 pages
...la juftice : c'eft à toi que je voue „ mes jours ; conduis mes pas & ma langue ; » tu éleveras ma penfée , tu la rendras digne „ de fon auteur. Je ne dépendrai point du M regard des hommes , je ne porterai point „ les fers qu'ils fe forgent ; & fi ma mâle M indépendance... | |
| Louis-Sébastien Mercier - 1788 - 486 pages
...la juftice : c'eft à toi que je voue » mes jours; conduis mes pas & ma langue ; tu » élèveras ma penfée , tu la rendras digne de fon »» auteur....point du regard des » hommes, je ne porterai point lés fers qu'ils fe » forgent ; & fi ma mâle indépendance ottenfele » vice qui veut être defpote... | |
| Lionello Sozzi, Paolo Alatri - 1988 - 388 pages
...conduis mes pas et ma langue; je le sens, tu élèveras ma pensée, tu la rendras digne de l'univers. Je ne dépendrai point du regard des hommes, je ne porterai point les fers qu'ils se forgent, et si ma mâle indépendance offense la vice, qui veut ètre despote, elle plaira à la... | |
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