Poésies révolutionnaires et contre-révolutionnaires, ou: Recueil classé par époques des hymnes, chants guerriers, chansons républicaines, odes, satires, cantiques des missionnaires etc

Couverture
Librairie historique, 1821 - 276 pages
 

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 184 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 234 - C'est aux rois à verser des pleurs. Nous vous avons donné la vie, Guerriers, elle n'est plus à vous ; Tous vos jours sont à la patrie ; Elle est votre mère avant nous.
Page 295 - Qu'un heureux époux, à son tour, Vienne rendre à ma douce amie Des jours de paix , des nuits d'amour ; Je ne regrette plus la vie. Je revolerai près de toi Des lieux où la vertu sommeille ; Je ferai marcher devant moi Un songe heureux qui te réveille. Ah ! puisse encor la volupté Ramener ù ma douce amie L'amour au sein de la beauté Je ne regrette plus la vie.
Page 236 - UNE JEUNE FILLE Et nous, sœurs des héros, nous qui de l'hyménée Ignorons les aimables nœuds, Si pour s'unir un jour à notre destinée, Les citoyens forment des vœux, Qu'ils reviennent dans nos murailles, Beaux de gloire et de liberté, Et que leur sang, dans les batailles Ait coulé pour l'égalité. TROIS GUKRR1EBS Sur le fer, devant Dieu nous jurons...
Page 276 - Créateur et conservateur ! 0 toi ! seul incréé, seul grand, seul nécessaire, Auteur de la vertu, principe de la loi, Du pouvoir despotique immuable adversaire, La France est debout devant toi. Tu posas sur les mers les fondements du monde, Ta main lance la foudre et déchaîne les vents; Tu luis dans ce soleil, dont la flamme féconde Nourrit tous les êtres vivants.
Page 276 - Source de vérité qu'outrage l'imposture, De tout ce qui respire éternel protecteur, Dieu de la Liberté, Père de la Nature, Créateur et Conservateur; O toi! seul incréé, seul grand, seul nécessaire, Auteur de la Vertu, principe de la Loi, Du pouvoir despotique immuable adversaire, La France est debout devant toi. Tu posas sur les mers les...
Page 279 - Ton temple est sur les monts, dans les airs, sur les | ondes ; Tu n'as point de passé, tu n'as point d'avenir, Et sans les occuper, tu remplis tous les mondes Qui ne peuvent te contenir.
Page 183 - Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé...
Page 237 - La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir.
Page 149 - Soldats, avancez et serrez. Que la baïonnette homicide, Au-devant de vos rangs, étincelante, avide, Heurte les bataillons par le fer déchirés. Le fer, amis, le fer, il presse le carnage : C'est l'arme du Français , c'est l'arme du courage, L'arme de la victoire et l'arbitre du sort. Le fer, il boit le sang; le sang nourrit la rage, Et la rage donne la mort!

Informations bibliographiques