| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...prince de l'école. Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes , que , pour être philosophes , il ne suffisait pas de croire , mais qu'il fallait...se troublèrent; une vieille maxime régnait encore : ipse ctixit,\e maître l'a dit. Cette maxime d'esclave irrita tous les philosophes contre le pcre... | |
| René Descartes - 1811 - 674 pages
...France un génie puis« sant et liardi , qui entreprit de secouer le joug du prince de « l'école. Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes , « que pour être philosophe , il ne suifisoit pas de croire , mais « qu'il falloi.t penser. A cette parole , toutes les écples se «... | |
| Jean-François de La Harpe - 1813 - 458 pages
...en France » un génie puissant et hardi, qui entreprit de » secouer le joug du prince de l'école. Cet » homme nouveau vint dire aux autres hommes,...penser. A cette » -parole, toutes les écoles se troublerent; une » vieille maxime régnait encore : Ipse dixit. » Le maître l'a dit. Cette maxime... | |
| Jean-François de La Harpe - 1821 - 500 pages
...prince de l'école. Cet « homme nouveau vint dire aux autres hommes, « que , pour être philosophes , il ne suffisait pas « de croire, mais qu'il fallait penser. A cette pa« rôle, toutes les écoles se troublèrent ; une vieille « maxime régnait encore : Ipse dixit,... | |
| Jean-François de La Harpe - 1821 - 500 pages
...prince de l'école. Cet «homme nouveau vint dire aux autres hommes, «que, pour être philosophes, il ne suffisait pas «de croire, mais qu'il fallait penser. A cette pa« role, toutes les écoles se troublèrent; une vieille «maxime régnait encore: Ipse dixit, le... | |
| Jean François de La Harpe - 1822 - 528 pages
...qui entreprit de secouer le joug 'du prince de « l'école. Cet homme nouveau vint dire aux au« tres hommes que, pour être philosophe, il ne « suffisait...troublèrent. « Une vieille maxime régnait encore : Ipse dixit, « le maître l'a dit. Cette maxime d'esclave irrita « tous les philosophes contre le... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 388 pages
...puissant et hardi qui entreprit de secouer le joug » du Prince de l'Ecole. Cet homme nouveau vint di» re aux autres Hommes que pour être Philosophe, » il ne suffisait pas de croire , mais qu'il fallait pen» ser. A cette parole toutes les Ecoles se troublé» rent (i). Une vieille maxime régnait encore... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 398 pages
...en France un génie puissant « et hardi qui entreprit de secouer le joug « du prince de l'école. Cet homme nouveau « vint dire aux autres hommes , que , pour « être philosophe , il ne suffîsoit pas de « croire , mais qu'il falloit penser. A cette « parole toutes les écoles se troublèrent... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...aui antres hommes que , pour être philosophe , il ne suffisoit pas de croire , mais qu'il falîoit eux régnoit encore : ipse dixit , le maître l'a dit. Cette maxime d'esclave irrita tous les philosophes... | |
| François Noel - 1838 - 788 pages
...parut en France un génie puissant et hardi, qui entreprit de secouer le joug du prince de l'école. Cet homme nouveau vint dire aux autres hommes que,...fallait penser. A cette parole toutes les écoles se trouLièrent ; une vieille maxime régnait encore : ipse diocit^ le maître l'a dit. Cette maxime d'esclave... | |
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