III. Dessein merveilleux dans les sensations,
et dans les choses qui en dépendent. . . . 85 IV. La raison nécessaire pour juger des sensa- tions, et régler les mouvements extérieurs, devoit nous être donnée, et ne l'a pas été .. Ibid. sans un grand dessein. V. L'intelligence a pour objet des vérités éter- nelles, qui ne sont autre chose que Dieu même, où elles sont toujours subsistantes et toujours parfaitement entendues. . . . . . . 86 VI. L'âme connoît, par l'imperfection de son intelligence, qu'il y a ailleurs une intelli- gence parfaite. VII. L'âme qui connoît Dieu, et se sent ca- pable de l'aimer, sent dès là qu'elle est faite pour lui, et qu'elle tient tout de lui. . . .. 88 VIII. L'âme connoît sa nature, en connoissant
qu'elle est faite à l'image de Dieu. . . . . Ibid. IX. L'âme qui entend la vérité reçoit en elle- même une impression divine, qui la rend conforme à Dieu.
XIV. L'intelligence, par sa liaison avec le sens, dépend en quelque sorte du corps, mais par accident.
XVI. L'empire que la volonté exerce sur les mouvements extérieurs, la rend indirecte- ment maitresse des passions. . . XVII. La nature de l'attention, et ses effets immédiats sur le cerveau, par où paroît l'empire de la volonté.
III. Second argument en faveur des animaux ; en quoi ils nous sont semblables, et si c'est dans le raisonnement
IV. Si les animaux apprennent.
XVIII. L'âme attentive à raisonner se sert du cerveau, par le besoin qu'elle a des images sensibles.
XIX. L'effet de l'attention sur les passions, et comment l'âme les peut tenir en sujétion dans leur principe, où il est parlé de l'extra- vagance, de la folie et des songes. . . XX. L'homme qui a médité la doctrine précé- dente, se connoit lui-même. . . . XXI. Pour se bien connoître soi-même, il faut s'accoutumer, par de fréquentes réflexions, à discerner en chaque action ce qu'il y a du corps d'avec ce qu'il y a de l'âme. . . . 77 XXII. Comment on peut distinguer les opéra-
tions sensitives d'avec les mouvements cor- porels, qui en sont inséparables. . . . . . 78 CHAP. IV. De Dieu créateur de l'âme et du corps,
V. Suite, où on montre encore plus particuliè- rement ce que c'est que dresser les animaux, et que leur parler...
... 100 VI. Extrême différence de l'homme et de la bête. 102 VII. Les animaux n'inventent rien. . . . . . . 103 VIII. De la première cause des inventions et de la variété de la vie humaine, qui est la réflexion... . . 104 IX. Seconde cause des inventions, et de la va- riété de la vie humaine, la liberté. . . . . . 105 X. Combien la sagesse de Dieu paroît dans les animaux. . . . ... Ibid. XI.Les animaux sont soumis à l'homme, et n'ont pas même le dernier degré de raisonnement. 106 XII. Réponse à l'objection tirée de la ressem-
blance des organes. ... Ibid. XIII. Ce que c'est que l'instinct qu'on attribue ordinairement aux animaux. Deux opinions sur ce point. . . . . . . 107 XIV. Conclusion de ce Traité, où l'excellence de la nature humaine est de nouveau démontrée. 110 TRAITÉ DU LIBRE ARBITRE. CHAPITRE PREMIER. Définition de la liberté dont
il s'agit. Différence entre ce qui est permis, ce qui est volontaire, et ce qui est libre. . . 113 CHAP. II. Que cette liberté est dans l'homme,
et que nous connoissons cela naturellement. Ibid. CHAP. III. Que nous connoissons naturellement que Dieu gouverne notre liberté, et ordonne de nos actions. CHAP. IV. Que la raison seule nous oblige à croire ces deux vérités, quand même nous ne pourrions trouver le moyen de les accorder ensemble. CHAP. V. Divers moyens pour accorder ces deux vérités. Premier moyen. Mettre dans le volontaire l'essence de la liberté. Raisons dé- cisives qui combattent cette opinion. . . . . 124 CHAP. VI. Second moyen pour accorder notre liberté avec la certitude des décrets de Dieu : la science moyenne ou conditionnée. Foible de cette opinion..
CHAP. VII. Troisième moyen pour accorder notre liberté avec les décrets de Dieu : la contem- pération, et la suavité, ou la délectation qu'on appelle victorieuse. Insuffisance de ce moyen.
CHAP. VIII. Quatrième et dernier moyen pour ac- corder notre liberté avec les décrets de Dieu : la prémotion et la prédétermination phy- sique. Elle sauve parfaitement notre liberté et notre dépendance de Dieu. CHAP. IX. Objections et réponses, où l'on com- pare l'action libre de la volonté, avec les au- tres actions qu'on attribue à l'âme, et avec celles qu'on attribue aux corps. CHAP. X. La différence des deux états de la nature bumaine, innocente et corrompue, assignés selon les principes posés. CHAP. XI. Des actions mauvaises, et de leurs
I.re Proposition. Il faut joindre les lois au gou- vernement pour le mettre dans sa perfection. 145 II. Proposition. On pose les principes primitifs de toutes les lois. Ibid. III. Proposition. Il y a un ordre dans les lois. Ibid. IV. Proposition. Un grand roi explique les ca-
Ibid. V. Proposition. La loi punit et récompense. Ibid. VI. Proposition. La loi est sacrée et inviolable. 146 VII. Proposition. La loi est réputée avoir une origine divine. ... lbid. VIII. Proposition. Il y a des lois fondamentales qu'on ne peut changer; il est même très dan- gereux de changer sans nécessité celles qui ne le sont pas. .
147 ARTICLE V. Conséquences des principes généraux de l'humanité.
Unique Proposition. Le partage des biens entre les hommes, et la division des hommes mèmes en peuples et en nations, ne doit point altérer la société générale du genre hu- main. . . Ibid.
ARTICLE VI. De l'amour de la patrie. I.re Proposition. Il faut être bon citoyen, et sa- crifier à sa patrie dans le besoin tout ce
X. Proposition. Modèle de la finesse et de la sagesse véritable, dans la conduite de Saul et de David, pour servir de preuve et d'exemple à la proposition précédente. . . . 203 ARTICLE III. Des curiosités et des connoissances dan- gereuses; et de la confiance qu'on doit mettre en Dieu. Ire Proposition. Le prince doit éviter les con- sultations curieuses et superstitieuses. . . . 205 He Proposition. On ne doit pas présumer des conseils humains, ni de leur sagesse. ... 207 IIIe Proposition. Il faut consulter Dieu par la prière, et mettre en lui sa confiance, en faisant ce qu'on peut de son côté. . . . . Ibid. ARTICLE IV. Conséquences de la doctrine précédente; de la majesté et de ses accompagnements. I.re Proposition. Ce que c'est que la majesté. II. Proposition. La magnanimité, la magnifi- cence, et toutes les grandes vertus con- viennent à la majesté. .
Les devoirs des sujets envers le prince, établis par la doctrine précédente.
ARTICLE PREMIER. Du service qu'on doit au prince. I.re Proposition. On doit au prince les mêmes services qu'à sa patrie. ..
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