Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 46De L'Imprimerie De La Société Littéraire-Typographique, 1784 - 515 pages |
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Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 46 Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) Affichage du livre entier - 1787 |
Expressions et termes fréquents
abfolument ABIGAIL affaffiner affez affure Agag ainfi Akakia anguilles auffi avez BAZA Bertier BETZA BÉ c'eft c'eſt cents cher chofes chrétiens confeil Covelle DAVID diable DIEU difait difcours difent dire efprits enfans enfuite eſt êtes évangiles évêque Facéties facrés fage fainte falut fang fans doute favez favoir fecret fefait felon fentez fera fervir feul fiècle fieur foient foit foleil fommes font forbonne fottifes fous fouvent frère fuis fujets furtout Gabaon gens Henri IV homme irlandais j'ai jamais JEAN-GEORGE Jean-Jacques jéfuites JESUS JESUS-CHRIST Journal de Trévoux jufqu'à jufte Juifs l'efprit l'Eglife l'univers laiffe lettres livre Madame magiftrat maître meffieurs MICHOL mille Milord miracles Moïfe monde Monfieur n'eft n'eſt nation néceffaires Needham paffages paffer parler penfer Pentateuque perfonne peuple philofophes plaifir plufieurs Pompignan préfent préfident prêtre profeffeur propofant puiffance qu'un raifon refpectable refte religion révérend père s'eft Saül Seigneur ſes Velches
Fréquemment cités
Page 7 - Vous leur reprochez , avec un zèle merveilleux , d'être athées, parce que vous découvrez, ditesvous, dans toute leur philosophie les principes de la religion naturelle.
Page 204 - N'est point tel que l'erreur le figure à vos yeux : L'Éternel est son nom ; le monde est son ouvrage ; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes états la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable.
Page 60 - D'ailleurs il ne faut pas prendre au pied de la lettre tout ce qu'il dit. On lui reproche d'avoir eu beaucoup de penchant pour le jansénisme.
Page 9 - ... comment, tant de bien à la terre. Remerciez bien Dieu de n'avoir rien de commun , ni avec leur conduite, ni avec leurs écrits. Vos saintes idées sur le gouvernement politique sont une suite de votre sagesse. On voit que vous connoissez les royaumes de la terre tout comme le royaume des cieux.
Page 242 - Quelque autre te dira d'une plus forte voix Les faits de tes Aïeux et les vertus des Rois. Je vais t'entretenir de moindres Aventures, Te tracer en ces vers de légères peintures. Et, si de t'agréer je n'emporte le prix, J'aurai du moins l'honneur de l'avoir entrepris.
Page 7 - Dieu est leur père commun, qu'il faut ne rien innover dans la religion, ne point troubler la paix établie par un monarque sage ; qu'on doit tolérer les sentiments des hommes, ainsi que leurs défauts.
Page 10 - Je crois que la bénédiction répandue sur ce chef-d'œuvre peut bien faire monter le profit à trois cents pour cent. Il n'ya point de commerce profane qui ait jamais si bien rendu.
Page 45 - Ce procédé n'est ni d'un président d'académie ni d'un bon chrétien, tel que vous êtes. Je vous fais mon compliment sur votre bonne santé; mais je n'ai pas tant de forces que vous.
Page 10 - Et quel risque, monsieur, que ces petites humiliations que vous pourriez essuyer en place publique! Mais je me trompe; il ya des charmes à souffrir pour la bonne cause.
Page 46 - Voudriez-vous, monsieur, pousser l'animosité si loin? Ayez encore la bonté de faire une petite attention : pour peu que vous vouliez exalter votre âme pour voir clairement l'avenir, vous verrez que si vous...