 | Théodore Hersart vicomte de La Villemarqué - 1846 - 564 pages
...cœur réjoui. Mais qui l'aurait vue sur son lit eut pleuré de pitié pour elle; Pour la pauvre fille malade , aussi pâle qu'un lis d'été. Elle disait à ses compagnes assises sur le banc de sou lit : — Mes compagnes, si vous m'aimez, au nom de Dieu, ne pleurez pas. Vous savez bien, il faut... | |
 | Louis-François Jéhan - 1863 - 506 pages
...réjoui. Mais qui l'aurait vue sur son lit eût pleuré de pitié pour elle ; Pour la pauvre fille malade, aussi pâle qu'un lis d'été. Elle disait...faut mourir: Dieu lui-même est mort, mort en croix. » Comme j'allais puiser de l'eau à la fontaine, le rossignol de nuit chantait d'une voix douce :... | |
 | Louis-François Jéhan - 1863 - 524 pages
...l'aurait vue sur son lit eut pleurê de pitié pour elle ; Pour la pauvre fille malade, aussi pàle qu'un lis d'été, Elle disait à ses compagnes assises...« Mes compagnes, si vous m'aimez, au nom de Dieu, uc pleurez pas. "Vous savez bien, il fautjmourir: Dieu lui-même est mort, mort en croix. » Comme... | |
 | Auguste Boullier - 1864 - 388 pages
...réjoui ; mais qui l'aurait vue sur son lit, eût pleuré de pitié pour elle, pour la pauvre fille malade aussi pâle qu'un lis d'été. Elle disait à ses compagnes, assises sur le bord de son lit : « Mes compagnes, si'vous m'aimez, au nom de Dieu, ne pleurez pas ; vous savez bien,... | |
 | Auguste Boullier - 1865 - 334 pages
...réjoui ; mais qui l'aurait vue sur son lit, eût pleuré de pitié pour elle, pour la pauvre fille malade aussi pâle qu'un lis d'été. Elle disait à ses compagnes, assises sur le bord de son lit : « Mes compagnes, si vous m'aimez, au nom de Dieu, ne pleurez pas ; vous savez bien,... | |
 | Auguste Boullier - 1865 - 318 pages
...réjoui ; mais qui l'aurait vue sur son lit, eût pleuré de pitié pour elle, pour la pauvre fille malade aussi pâle qu'un lis d'été. Elle disait à ses compagnes, assises sur le bord de son lit : « Mes compagnes, si vous m'aimez, au nom de Dieu, ne pleurez pas ; vous savez bien,... | |
 | Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1867 - 516 pages
...eût pleuré de pitié pour elle; » Pour la pauvre fille malade, aussi pâle qu'un lis d été. » Elle disait à ses compagnes assises sur le banc de...savez bien , il faut mourir : Dieu lui-même est mort en croix. » C'est ainsi qu'elle chante, résignée, et, de sa voix pure, elle continue : « Comme... | |
 | 1867 - 1088 pages
...lit, eût pleuré de pitié pour elle; i Pour la pauvre fille malade, aussi pâle qu'un lis d été. > Elle disait à ses compagnes assises sur le banc de...compagnes , si vous m'aimez , au nom de Dieu , ne plaurea pas. > Vous savez bien , il faut mourir : Dieu lui-même est mort en croix. * (Test ainsi qu'elle... | |
 | Constant Pieraerts, Eugène Beauvois - 1876 - 250 pages
...roses ; Mais qui l'aurait vue sur sur son lit. eût pleuré de pitié pour elle ; Pour la pauvre fille malade, aussi pâle qu'un lis d'été. Elle disait...son lit : — Mes compagnes, si vous m'aimez, au nom du bon Dieu, ne pleurez pas; Vous savez bien, il faut mourir : Dieu lui-même est mort, mort en croix.... | |
 | 1867 - 516 pages
...eût pleuré de pitié pour elle; » Pour la pauvre fille malade, aussi pâle qu'un lis d été. » Elle 'disait à ses compagnes assises sur le banc...pleurez pas. » Vous savez bien , il faut mourir : Dieu lui-môme est mort en croix. » C'est ainsi qu'elle chante, résignée, et, de sa voix pure , elle... | |
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Mais qui l'aurait vue sur son lit eût pleuré de pitié pour elle ; Pour la pauvre fille malade, aussi pâle qu'un lis d'été. Elle disait à ses compagnes assises sur le banc de son lit : « Mes compagnes, si vous m'aimez, au nom de Dieu, ne pleurez... 
