 | Maurice Spronck - 1889 - 372 pages
...exotiques et mal connus dont l'éloignement poétise et grandit pour nous les dimensions réelles: Penser que peut-être jamais je ne verrai la Chine...luire les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous 2 ! Il aspire ainsi perpétuellement à tout ce qu'il ne possède pas ; il ne désire rien tant que... | |
 | Gustave Flaubert - 1891 - 404 pages
...chère amie, je t'embrasse tendrement sur tes beaux yeux. A la même. Dimanche soir, fin octobre 1847. Penser que peut-être jamais je ne verrai la Chine,...luire les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous, tu peux traiter tout cela comme des appétits d'imagination qui ne méritent pas de pitié, mais j'en... | |
 | Georges François Renard - 1900 - 522 pages
...partie, quand il parcourra l'Égypte ou l'Espagne. N'est-ce pas lui qui s'écrie (octobre 1847) : « Penser que peut-être jamais je ne verrai la Chine...les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous!... » Combien d'autres ont eu des regrets ou des aspirations semblables! Combien sont partis sur la foi... | |
 | René Dumesnil - 1903 - 396 pages
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 | Gustave Flaubert - 1926 - 520 pages
...la langue, loin de tout ce qui m'entoure, de tout ce qui m'oppresse ! Penser que jamais, sans doute, je ne verrai la Chine ! que jamais je ne m'endormirai...luire les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous ! Vous pouvez traiter tout cela comme des appétits d'imagination qui ne méritent pas de pitié; mais... | |
 | Émile Faguet - 1919 - 206 pages
...juteux pour leurs cœurs comme la treille mûre que l'on presse avec les mains... » (i846) — « Penser que peut-être jamais je ne verrai la Chine,...luire les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous, tu peux traiter tout cela comme des appétits de passion qui ne méritent pas de pitié; mais j'en... | |
 | Gustave Flaubert - 1922 - 568 pages
...Adresse-moi les lettres que tu m'écriras au nom de Du Camp. * A LA MEME. Dimanche soir [septembre 1847], [ ] Penser que peut-être jamais je ne verrai la Chine,...luire les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous! tu peux traiter tout cela comme des appétits d'imagination qui ne méritent pas de pitié, mais j'en... | |
 | Gustave Flaubert - 1926 - 510 pages
...la langue, loin de tout ce qui m'entoure, de tout ce qui m'oppresse ! Penser que jamais, sans doute, je ne verrai la Chine! que jamais je ne m'endormirai...que jamais peut-être je ne verrai dans les forêts fuire les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous! Vous pouvez traiter tout cela comme des appétits... | |
 | 1931 - 486 pages
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 | Frank Laurence Lucas - 1934 - 364 pages
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... de tout ce qui m'oppresse ! Penser que jamais, sans doute, je ne verrai la Chine ! que jamais je ne m'endormirai au pas cadencé des chameaux! que jamais peut-être je ne verrai dans les forêts luire les yeux d'un tigre accroupi dans les bambous... 
