... bonnes œuvres n'empêche pas d'en commettre de mauvaises, que son extrême délicatesse pour les choses de la religion eut de la peine à souffrir cette ressemblance du vice avec la vertu ; et quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur,... Œuvres - Page 178de Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1749Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Molière - 1739 - 480 pages
...religion , eut dela peine à fouffrir cette reflemblance du vice avec la vertu ; & , quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur , il défendit...cette comédie pour le public , jufqu'à ce qu'elle fut entiérement achevée , & examinée par des gens capables d'en juger, pour n'en pas laifler abufer... | |
| François Parfaict, Claude Parfaict - 1746 - 504 pages
...l'Auteur y n il défendit cette Comédie pour le Pu» blic, jufqu'à ce qu'elfe fut entièrement n achevée , & examinée par des gens « capables d'en juger ,pour n'en pas laif» fer abufer à d'autres moins- capables » d'en faire un jufte difcernement. • » Le Mardi... | |
| Molière - 1788 - 606 pages
...peine à fouffrir cette reflcmblance du vice avec la vertu ; & quoiqu'on ne doutât point des bontses intentions de l'auteur , il défendit cette comédie pour le public , jufqu'à ce qu'elle fût entièrement achevée , & examinée par des gens capables d'en juger , pour n'en pas laifTer abuler... | |
| Molière - 1818 - 556 pages
...religion eut de la peine à souffrir cette ressemblance du vice avec la vertu; et, quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur, il défendit cette comédie pour le public, jusqu'à ce qu elle fui entièrement achevée , et examinée par des gens capables d'en juger, pour... | |
| Molière - 1821 - 484 pages
...religion eut de la peine à souffrir cette ressemblance du vice avec la vertu ; et quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur, il défendit cette comédie pour le public, jusqu'à ce qu'elle fût entièrement achevée et examinée par des gens capables d'en juger, pour... | |
| Molière - 1821 - 488 pages
...eut de la peine à souffrir cette « ressemblance du vice et de la-,yertu , et que, sans « douter des bonnes intentions de l'auteur, il défendit « cette comédie pour le public, jusqu'à' ce qu'elle fût « entièrement achevée et examinée par des personnes « capables d'en... | |
| Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1823 - 356 pages
...religion eut de la peine à souffrir cette ressemblance du vice avec la vertu ; et , quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur , il défendit cette comédie pour le public, jusqu'à ce qu'elle fût entièrement achevée, et examinée par des gens capables d'en juger, pour... | |
| Molière - 1823 - 704 pages
...religion eut de la peine à souffrir cette ressemblance du vice avec la vertu ; et , quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur , il défendit cette comédie pour le public, jusqu'à ce qu'elle fiit entièrement achevée, et examinée par des gens capables d'en juger, pour... | |
| Molière - 1829 - 660 pages
...religion eut de la peine à souffrir cette ressemblance du vice avec la vertu ; et , quoiqu'on ne doutât point des bonnes intentions de l'auteur, il défendit cette comédie pour le public, jusqu'à ce qu'elle fût entièrement achevée , et examinée par des gens capables d'en juger, pour... | |
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