Chansons ... anciennes et posthumesGarnier, 1870 - 648 pages |
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accourez Adieu âme amis amours ange Baise-moi beaux jours belle bénir Biribi boire bois bon Dieu Bon vin bonheur brille bruit chansons chants charme cher ciel cieux cœur Colibri coquérico CORSE COUPLETS couronne crains crie Cythère dansez diable dieux Dig don doux encens enfants Épicure falbala fée fête fille fils fleurs flots François Ier gaieté Gens titrés gloire Gloria tibi glous gueux hélas heureux J'ai cinquante écus j'en jeune joyeux l'amour l'enfer l'or là-bas larirette liberté Lise Lisette m'en main Margot Messieurs Mirmidons Momus monde mort Muse Nabuchodonosor oiseaux passé patrie pauvre dieu peuple plaisirs pleurs poëte printemps Psara qu'un rendez-moi rêve rien rire Roger Bontemps rois roses saint Sainte-Alliance serrons seul shako soldats sourire sourit tambours tintin tontaine tonton troubadour Turlurette vais vaudeville veux vieillard vieille Viens vient vieux vin et fillette vivre vite vlan vois voix yeux
Fréquemment cités
Page vii - LE ROI D'YVETOT. IL était un roi d'Yvetot, Peu connu dans l'histoire ; Se levant tard, se couchant tôt, Dormant fort bien sans gloire, Et couronné par Jeanneton D'un simple bonnet de coton, Dit-on.
Page 300 - De quel éclat brillaient dans la bataille « Ces habits bleus par la Victoire usés ! « La liberté mêlait à la mitraille « Des fers rompus et des sceptres brisés. « Les nations, reines par nos conquêtes, « Ceignaient de fleurs le front de nos soldats. « Heureux celui qui mourut dans ces fêtes ! « Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas ! Tant de vertu trop tôt fut obscurcie.
Page 5 - A la gaudriole. On ne rit guère aujourd'hui. Est-on moins frivole ? Trop de gloire nous a nui ; Le plaisir s'envole. Mais au Français attristé Qui peut rendre la gaîté?
Page viii - Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah! Quel bon petit roi c'était là ! La, la.
Page 432 - Vieux vagabond, je puis mourir sans vous. Oui, je meurs ici de vieillesse Parce qu'on ne meurt pas de faim. J'espérais voir de ma détresse L'hôpital adoucir la fin. Mais tout est plein dans chaque hospice, Tant le peuple est infortuné. La rue, hélas ! fut ma nourrice. Vieux vagabond, mourons où je suis né. Aux artisans, dans mon jeune âge, J'ai dit : « Qu'on m'enseigne un métier. — Va, nous n'avons pas trop d'ouvrage, Répondaient-ils, va mendier.
Page 292 - Ma sœur est-elle mariée ? Avez-vous vu de nos garçons La foule, aux noces conviée, La célébrer dans leurs chansons ? Et ces compagnons du jeune âge Qui m'ont suivi dans les combats, Ont-ils revu...
Page 162 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Page 63 - OU L'ANGLOMANE. AOUT 1814. AIR: A coups d'plrd , à coups d'poing. Quoique leurs chapeaux soient bien laids, God dam! moi j'aime les Anglais : Ils ont un si bon caractère ! Comme ils sont polis ! et surtout Que leurs plaisirs sont de bon goût ! Non, chez nous, point, Point de ces coups de poing Qui font tant d'honneur à l'Angleterre.
Page 356 - J'ai faim, dit-il, et bien vite Je sers piquette et pain bis. Puis il sèche ses habits ; Même à dormir le feu l'invite, Au réveil, voyant mes pleurs, II me dit : Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France.
Page 352 - GRENADIER. Moi , tout couvert de cicatrices , Je voulais quitter les drapeaux. Mais, quand la liqueur est tarie, Briser le vase est d'un ingrat.