(XI, 390 p., [1] h. lám.)Duponcet, 1801 |
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... dernier ministre ne voulut pas accepter les quarante mille livres de rente qu'on étoit dans l'usage d'accorder aux ministres disgraciés , quelle qu'eût été leur ges-- tion .... L'excellent garde des sceaux , un politique moderne à un de ...
... dernier ministre ne voulut pas accepter les quarante mille livres de rente qu'on étoit dans l'usage d'accorder aux ministres disgraciés , quelle qu'eût été leur ges-- tion .... L'excellent garde des sceaux , un politique moderne à un de ...
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... dernier soupir dans les arrêtés > pris précédemment par la cour . Déclarent en > outre que dans l'impossibilité où ils sont de » consigner sur leurs registres la présente décla- » ration , chaque membre en aura copie , pour la » déposer ...
... dernier soupir dans les arrêtés > pris précédemment par la cour . Déclarent en > outre que dans l'impossibilité où ils sont de » consigner sur leurs registres la présente décla- » ration , chaque membre en aura copie , pour la » déposer ...
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... dernier mode ; mais le clergé et la noblesse se communiquant leurs opinions , étoient d'un avis contraire ; ils prétendoient suivre la marche des états de 1614 , et vouloient voter par ordre de là s'élevèrent des querelles inter ...
... dernier mode ; mais le clergé et la noblesse se communiquant leurs opinions , étoient d'un avis contraire ; ils prétendoient suivre la marche des états de 1614 , et vouloient voter par ordre de là s'élevèrent des querelles inter ...
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... dernier par le trou de la serrure » ? Juin 1789. Les conférences étant interrompues , le tiers - état prit la résolution de se constituer en assemblée nationale , et il le fit en effet le 17 juin 1789 , après trois jours de débats . Le ...
... dernier par le trou de la serrure » ? Juin 1789. Les conférences étant interrompues , le tiers - état prit la résolution de se constituer en assemblée nationale , et il le fit en effet le 17 juin 1789 , après trois jours de débats . Le ...
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... dernier croyant un coup d'état nécessaire , dit au roi : « Sire , une grande révolution se prépare , » votre trône chancelle ; si vous voulez me » donner carte blanche , moyennant sept têtes » que je ferai tomber , je réponds d'assurer ...
... dernier croyant un coup d'état nécessaire , dit au roi : « Sire , une grande révolution se prépare , » votre trône chancelle ; si vous voulez me » donner carte blanche , moyennant sept têtes » que je ferai tomber , je réponds d'assurer ...
Expressions et termes fréquents
10 août armée arrêté assemblées assignats auroit avoient avoit Barrère bientôt brumaire c'étoit çais Calonne cent château citoyens clergé comité condamné connoissance constitution convention convention nationale cour crimes déclare décrété d'accusation demande départ députés devoit discours disoit donne duc d'Orléans Dumourier émigrés enfans ennemis état états-généraux étoient étoit finances fleurs-de-lys Fran française garde nationale général germinal habitans hommes jacobins jour juger juillet juin l'armée l'assem l'assemblée nationale l'échafaud l'état Lafayette législative liberté lit de justice Louis XVI maire majesté membres ment mille millions ministres mois monarchie monarque mort Moselle n'avoit nation Necker ordonne ordres palais des Tuileries parlement paroît patrie personnes Péthion peuple Pichegru place porte prairial premier président princes proclamation public représentans République réunis révolution révolutionnaire Robespierre royale royaume Saint-Just sang séance sections septembre serment seroit soldats tems tête tiers-état tion tour du Temple tribunal tribunal révolutionnaire trône troupes tyrans vendémiaire vention Versailles véto voit
Fréquemment cités
Page 76 - Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu? Eh bien ! c'est moi qui ne suis qu'un avec ma nation, c'est moi qui me fie à vous!
Page 209 - Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents; Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Page 118 - Ne professons tous, à compter de ce jour, ne professons tous, je vous en donne l'exemple, qu'une seule opinion, qu'un seul intérêt, qu'une seule volonté, l'attachement à la constitution nouvelle et le désir ardent de la paix...
Page 112 - Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres, et au soulagement des pauvres, sous la surveillance et d'après les instructions des provinces ; 2...
Page 180 - France est d'avoir à combattre ses enfants et ses alliés, je ferai connaître à l'Europe la justice de notre cause ; le peuple français la soutiendra par son courage et la Nation verra que je n'ai point d'autres intérêts que les siens et que je regarderai toujours le maintien de sa dignité et de sa sûreté comme le plus essentiel de mes devoirs.
Page 117 - Vous qui pouvez influer par tant de moyens sur la confiance publique, éclairez sur ses véritables intérêts le peuple qu'on égare, ce bon peuple qui m'est si cher, et dont on m'assure que je suis aimé, quand on veut me consoler de mes peines.
Page 222 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Page 209 - Entendez-vous dans les campagnes Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans vos bras Egorger vos fils, vos compagnes ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons, Marchons ! ... qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 233 - ... du 10 août. Je ne viens point contester cette gloire à ceux qui se la sont décernée; je n'attaque point les motifs de l'insurrection, je n'attaque point ses effets : je dis seulement que puisque l'insurrection a existé, et bien antérieurement au 10 d'août, qu'elle est certaine, qu'elle est avouée, il est impossible que Louis soit l'agresseur,
Page 119 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.