Répertoire du Théâtre français ...J. Didot ainé, 1822 |
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Page 18
... veux rien savoir . ISABELLE . Après les preuves que tu m'as données de ton affection , je me flatte que tu ne voudras point me perdre ; car tu me perdrois en effet si tu allois révéler ce que j'ai résolu de te confier . NÉRINE . Je vous ...
... veux rien savoir . ISABELLE . Après les preuves que tu m'as données de ton affection , je me flatte que tu ne voudras point me perdre ; car tu me perdrois en effet si tu allois révéler ce que j'ai résolu de te confier . NÉRINE . Je vous ...
Page 35
... veux qu'elle danse à sa noce . NÉRINE . Eh ! à qui la donnez - vous , s'il vous plaît ? ORONTE . A un de mes meilleurs amis , avec qui j'ai étudié autrefois . NÉRINE . Avec qui vous avez étudié ? Fi donc ! vous vous moquez ! ORONTE ...
... veux qu'elle danse à sa noce . NÉRINE . Eh ! à qui la donnez - vous , s'il vous plaît ? ORONTE . A un de mes meilleurs amis , avec qui j'ai étudié autrefois . NÉRINE . Avec qui vous avez étudié ? Fi donc ! vous vous moquez ! ORONTE ...
Page 39
... veux sonder Pasquin , et savoir de lui si Valère n'a point quelque inclination . En ce cas , vos intérêts sont communs , et je veux vous unir tous ensemble pour déranger les projets de monsieur votre père . ISABELLE . C'est bien dit ...
... veux sonder Pasquin , et savoir de lui si Valère n'a point quelque inclination . En ce cas , vos intérêts sont communs , et je veux vous unir tous ensemble pour déranger les projets de monsieur votre père . ISABELLE . C'est bien dit ...
Page 49
... veux de la bonne foi dans le commerce . Avouez - moi que vous ne savez rien ; sinon , je ne dirai mot . ORONTE . Tu ne diras mot ? ... Je te rosserai . PASQUIN . Ce seront des coups perdus . J'ai des épaulés à l'épreuve de tout . Je ...
... veux de la bonne foi dans le commerce . Avouez - moi que vous ne savez rien ; sinon , je ne dirai mot . ORONTE . Tu ne diras mot ? ... Je te rosserai . PASQUIN . Ce seront des coups perdus . J'ai des épaulés à l'épreuve de tout . Je ...
Page 50
... veux pouvoir me vanter de vous avoir mis au fait , et d'avoir bien gagné votre argent . ORONTE . Eh bien ! je demeure d'accord que tout ce que je sais , c'est que vous ne venez point d'où vous dites . PASQUIN . cela ? Vous ne savez que ...
... veux pouvoir me vanter de vous avoir mis au fait , et d'avoir bien gagné votre argent . ORONTE . Eh bien ! je demeure d'accord que tout ce que je sais , c'est que vous ne venez point d'où vous dites . PASQUIN . cela ? Vous ne savez que ...
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Expressions et termes fréquents
ACTE Adieu aime allez Allons amant ANGÉLIQUE ARISTE ARSINOÉ avez avoit BABET beau bonheur céans CÉLIANTE charmante cher CIDALISE ciel CLÉON cœur COMTE COMTESSE connois connoître cousin crois croyez croyois DAMON dire discours donner esprit Est-ce êtes étoit femme fille FINETTE FLORIMON foiblesse frère GÉRONTE GORJU grace homme ISABELLE j'ai j'en j'étois jamais JAVOTTE JOSSE JULIE jure l'amour L'ÉPINE l'esprit l'interrompant LAFLEUR LÉANDRE LISETTE LISIMON LOLIVE LYCANDRE m'aime m'en vais madame Catau mademoiselle MAÎTRE NICOLAS MAÎTRE PIERRE maîtresse mariage marier MARQUIS MÉLITE mieux Mme CATAU monsieur des Masures monsieur Pincé morbleu NÉRINE Oh çà oncle ORONTE Parbleu parler paroît PASQUIN père PHILINTE plaire plaisir portrait pourroit PRÉSIDENTE raison RAMÉE rendre révérence riant rien s'il vous plaît sage sais SANSPAIR saurois SCÈNE VII secret sera seroit sœur sort tambour tambour bat trève VALÈRE veut veux voici voilà vois voudrois voulez voulez-vous vrai
Fréquemment cités
Page 285 - Écoute, mon cher Comte, Si tu fais tant le fier, ce n'est pas là mon compte. Ma fille te plaît fort, à ce que l'on m'a dit; Elle est riche, elle est belle, elle a beaucoup d'esprit; Tu lui plais; j'y souscris du meilleur de mon...
Page 277 - Pasquin lit la lettre.) LE COMTE, après avoir lu ce qu'il écrivait . Tu ne partiras point; et c'est une bassesse Dans les gens de mon rang d'outrer la politesse. Un homme tel que moi se feroit déshonneur Si sa plume à quelqu'un donnoit du Monseigneur.
Page 180 - Prétend, en plein midi, faire voir des étoiles; Toujours après l'erreur courant à pleines voiles , Quand il croit follement suivre la vérité ; Un bavard , inutile à la société , Coiffé d'opinions, et gonflé d'hyperboles, Et qui , vide de sens , n'abonde qu'en paroles.
Page 298 - Nous ne le prenons pas d'une gentilhommière, Mais d'un château fameux. L'histoire en cent endroits Parle de mes aïeux et vante leurs exploits. Daignez la parcourir...
Page 333 - D'un bourgeois anobli, fier de son opulence? Si le faste et l'éclat ne soutiennent le rang, II traite avec dédain le plus illustre sang. Mesurant ses égards aux dons de la fortune, Le mérite indigent le choque, l'importune, Et ne peut l'aborder qu'en faisant mille efforts Pour cacher ses besoins sous un brillant dehors.
Page 10 - ... laissoit disposer de moi-même ; mais à peine suisje arrivée , qu'on parle de me marier , et avec qui? avec un provincial. Que dis-je, un provincial ? un campagnard; et, qui pis est, un campagnard bel esprit. Quelle société pour une fille comme moi , élevée dans le grand monde , et accoutumée au commerce des gens de la cour et de Paris , les plus polis et les plus spirituels! LE RARON.
Page 286 - L'heure du dîner presse ; allons, veux-tu venir? Nous aurons le loisir de nous entretenir Sur nos arrangements ; mais commençons par boire. Grand'soif, bon appétit, et surtout point de gloire, C'est ma devise. On est à son aise chez moi ; Et vivre comme on veut , c'est notre unique loi. Viens , et , sans te gourmer avec moi de la sorte , Laisse , en entrant chez nous , ta grandeur à la porte.
Page 285 - Moi, je ne l'aime point, car c'est une traîtresse Qui fait dire souvent ce qu'on ne pense pas. Je hais, je fuis ces gens qui font les délicats, Dont la fière grandeur d'un rien se formalise...
Page 309 - PHILINTE. C'est ce qu'il faudra voir. Du moins je vous assure Que de cette maison si quelqu'un peut m'exclure Ce ne sera pas vous. ' LISIMON. Non, mais ce sera moi. PHILINTE. Je prends la liberté de vous dire....
Page 234 - C'est l'homme le plus vain qu'ait produit la nature. Pour ses inférieurs plein d'un mépris choquant , Avec ses égaux même il prend l'air important. Si fier de ses aïeux , si fier de sa noblesse , ' Qu'il croit être ici-bas le seul de son espèce. Persuadé d'ailleurs de son habileté , Et décidant sur tout avec autorité. Se croyant en tout genre un mérite suprême ; Dédaignant tout le monde, et s'admirant lui-même.