 Filles qui l'habitiez, nous nous sommes souvenus de l'incendie universel de toutes nos maisons, de toutes nos bourgades et de toute notre patrie ! Faut-il donc que le feu nous suive ainsi partout ! Pleurons, pleurons, mes chers compatriotes, oui, pleurons...  Histoire de l'île d'Orléans - Page 22de Louis-Philippe Turcotte - 1867 - 164 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Henri Raymond Casgrain - 1864 - 512 pages
...régner le feu sans respecter vos personnes, Saintes Filles qui l'habitiez, nous nous sommes souvenus de l'incendie universel de toutes nos maisons, de toutes...particulières sont devenues communes avec ces innocentes vierges. " Saintes Filles, vous voilà donc réduites à la même misère que vos pauvres Hurons, pour... | |
 | Henri Raymond Casgrain - 1873 - 370 pages
...régner le feu sans respecter vos personnes, Saintes Filles qui l'habitiez, nous nous sommes souvenus de l'incendie universel de toutes nos maisons, de toutes...particulières sont devenues communes avec ces innocentes vierges. " Saintes Filles, vous voilà donc réduites à la même misère que vos pauvres Hurons, pour... | |
 | Henri Raymond Casgrain - 1873 - 350 pages
...régner le feu sans respecter vos personnes Saintes Filles qui l'habitiez, nous nous sommes souvenus de l'incendie universel de toutes nos maisons, de toutes nos bourgades et de toute notn patrie ! Faut-il donc que le feu nous suive ains partout I Pleurons, pleurons, mes chers comoa... | |
 | mère Sainte-Marie - 1878 - 580 pages
...feu sansrespecter vos personnes, saintes filles qui l'habitiez 1 C'est ce qui fait ressouvenir rie l'incendie universel de toutes nos maisons, de toutes...donc que le feu nous suive ainsi partout? "Pleurons, mes chers compatriotes, pleurons nos misères qui, de particulières, sont devenues communes avec ces... | |
 | Louis-Edouard Bois - 1895 - 184 pages
...ressouvenir de l'incendie vniversel de toutes nos maisons, de toutes nos bourgardes et de toute nostre patrie. Faut-il donc que le feu nous suive ainsi partout ? Pleurons, pleurons, mes chers compatriotes, ouy, pleurons nos misères, qui de particulières sont deuenues communes avec ces innocentes filles.... | |
 | Joseph Camille Pouliot - 1827 - 206 pages
...sans respecter vos personnes toutes sainctes qui y habitiez ; c'est ce qui nous fait ressouvenir de l'incendie universel de toutes nos maisons, de toutes nos bourgades et de toute nostre patrie. Faut-il donc que le feu nous suive ainsi partout ? Pleurons, pleurons, mes chers compatriotes,... | |
 | mère Sainte-Marie - 1863 - 628 pages
...feu sans respecter vos personnes, saintes filles qui l'habitiez ! C'est ce qui fait ressouvenir de l'incendie universel de toutes nos maisons, de toutes nos bourgades et de toute notre patrie I Faut-il donc que le feu nous suive ainsi partout ? " Pleurons, mes chères compatriotes, pleurons... | |
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