Nous mettrons à la tête du second volume un état semblable des emprunts faits par Racine et par Voitaire, non-seulement aux anciens, mais encore au grand Corneille et à certains poëtes qui l'ont précédé. Dans le troisième volume nous passerons en revue les œuvres poétiques de Boileau, de la Fontaine, et de Rousseau (le poëte lyrique). Nos grands poëtes ont presque toujours, dans ce qu'ils imitent des anciens, le mérite de l'invention. Les imiter ainsi, ce n'est point marcher sur leurs pas, c'est les traîner à sa suite, Cet ouvrage peut donc être regardé comme un monument élevé à la gloire de la poésie française. |