Revue de linguistique et de philologie comparée, Volumes 28 à 29

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J. Vinson, 1895
 

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Page 273 - Napoléon ler, notre empereur? R. Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent, et nous devons en particulier à Napoléon ler, notre empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de l'Empire et de son trône; nous lui devons encore des prières ferventes pour son salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de l'Etat.
Page 88 - Heureux qui, satisfait de son humble fortune, Libre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l'état obscur où les dieux l'ont caché ! ARCAS Et depuis quand, seigneur, tenez-vous ce langage?
Page 275 - ... dignes de la damnation éternelle. D. — Les devoirs dont nous sommes tenus envers notre empereur nous lieront-ils également envers ses successeurs légitimes, dans l'ordre établi par les constitutions de l'empire?
Page 274 - R. — • Oui : car il est celui que Dieu a suscité dans les circonstances difficiles pour rétablir le culte public de la religion sainte de nos pères, et pour en être le protecteur. Il a ramené et conservé l'ordre public par sa sagesse profonde et active; il défend...
Page 275 - ... à une personne en particulier, mais aussi à sa famille. D. — Quelles sont nos obligations envers nos magistrats ? R. — Nous devons les honorer, les respecter et leur obéir, parce qu'ils sont les dépositaires de l'autorité de notre empereur. D. — Que nous est-il défendu par le quatrième Commandement ? R.
Page 274 - C'est, précisément, parce que Dieu, qui crée les empires et les distribue selon sa volonté, en comblant notre empereur de dons, soit dans la paix, soil dans la guerre, l'a établi notre souverain, l'a rendu le ministre de sa puissance et son image sur la terre. Honorer et servir notre empereur est donc honorer et servir Dieu même.
Page 274 - César-Auguste ; il a payé l'impôt prescrit ; et de même qu'il a ordonné de rendre à Dieu ce qui appartient à Dieu, il a aussi ordonné de rendre à César ce qui appartient à César.
Page 243 - On les appelle des hurleurs, parce que, étant en troupe, ils hurlent d'une telle façon que d'abord l'on croit que c'est une troupe de pourceaux qui se battent. Ils sont affreux et ont une gueule fort large. Si les sauvages les flèchent, ils retirent la flèche de leur corps avec leur main, comme une personne. La chair de toutes ces sortes de singes est fort bonne à manger, principalement celle des hurleurs, qui semble de la chair de mouton ; il ya à manger pour dix personnes.
Page 273 - D. Quels sont les devoirs des chrétiens à l'égard des princes qui les gouvernent, et quels sont en particulier nos devoirs envers Napoléon, premier, notre empereur ? R.
Page 201 - Alors, comme la fin de l'enchantement était venue, la princesse s'éveilla ; et, le regardant avec des yeux plus tendres qu'une première vue ne semblait le permettre : " Est-ce vous, mon prince ? lui dit-elle ; vous vous êtes bien fait attendre.

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