| Anne-Robert-Jacques Turgot (baron de l'Aulne) - 1809 - 560 pages
...la première saura plier sa politique aux circonstances nouvelles , qui consentira à ne voir dans ses Colonies que des Provinces alliées, et non plus sujettes de la Métropole ! Sage et heureuse la Nation qui la première sera convaincue , que toute la politique , en fait de Commerce , consiste... | |
| Anne-Robert-Jacques Turgot (baron de l'Aulne) - 1809 - 592 pages
...la première saura plier sa politique aux circonstances nouvelles , qui consentira à ne voir dans ses Colonies que des Provinces alliées, et non plus sujettes de la Métropole! Sage et heureuse la Nalion qui la première sera convaincue , que toute la politique , en fait de Commerce , consiste... | |
| Anne-Robert-Jacques Turgot (baron de l'Aulne) - 1844 - 856 pages
...la première, saura plier sa politique aux circonstances nouvelles, qui consentira à ne voir dans ses colonies que des provinces alliées, et non plus sujettes de la métropole! Sage et heureuse la nation qui, la première, sera convaineue que toute la politique, en fait de commerce, consiste... | |
| Pierre François Charles Foncin - 1877 - 638 pages
...la première, saura plier sa politique aux circonstances nouvelles, qui consentira à ne voir dans ses colonies que des provinces alliées, et non plus...toutes ses terres de la manière la plus avantageuse, tous ses bras de la manière la plus utile à l'individu qui travaille, c'est-à-dire de la manière... | |
| Sir George Cornewall Lewis - 1891 - 468 pages
...'qui la premiere saura plier sa politique aux circonstances nouvelles, qui consentira a ne voir dans ses colonies que des provinces alliées, et non plus sujettes de la métropole ! Sage et heureuse la nation qui la première seraconvaincue, que toute la politique, en fait de commerce, consiste a... | |
| Paul Houdeau - 1906 - 310 pages
...la première, saura plier sa politique aux circonstances nouvelles, qui ne consentira à voir dans ses colonies que des provinces alliées et non plus sujettes de la métropole. » TURGOT. . Nous avons laissé, entendre que l'espèce d'association que nous avons appelée l'Union... | |
| Christian Lous Lange - 1919 - 522 pages
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| Francisco de Miranda - 1929 - 480 pages
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| Bernard Faÿ - 1930 - 788 pages
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