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Dorocortorum
Fanum Minerva,

Ariolam,

Caturigas,

Nasium,

Tullum,

Scarponam,
Divodurum,

(Reims)
M. P. XII.

M. P. XVI.

M. P. IX. peut-être ou
St.-Dizer, ou Chatrice.
M. P. IX. Nais.
M. P. XV. Toul.

creusant la terre, y ont souvent rencontré des monumens respectables par leur antiquité; mais leur peu de goût pour ces sortes de choses, et leur avidité pour le gain, lorsque les choses trouvées, sont de cuivre ou de plomb, les leur ont fait briser, fondre et dissiper: celles qui étaient d'or, ou d'argent, ont été vendues aux orfévres, qui les ont fondues, ou employées à leur profit.

Voici deux inscriptions trouvées à Nais, et rapportées dans l'histoire de Toul, du R. P. Benoit Picart, p. 10, 11.

FABRICIUS-NASIENSIS. CURATORIBUS. ET. MINISTRIS. IUVENTIDIO. FIRMO.

ET TEULA. SOLLI.

M. P. X. Charpagne. M. P. XII. Metz. Ptolemée (1) marque parmi les villes des Leuquois, Tullum et Nasium : les tables de Peutingez (2) les marquent ainsi : Noviomagus XXI. Caturices Ix Nasio XIII. Mose (Fleuve) ad Fines v. Tulli x. Scarpona xiv. Fluvius Mosella Divoduri Mediomatricum (Metz): remarquez qu'il met Mose et ad fines, après Nasium, et avant F. HUIUS. FIERI. FECRUNT. Tullum, ce qui ne se voit pas dans les au- C'est-à-dire, Fabricius de Nais, par tres géographes; ce qui me fait conjecturer les soins des Curateurs et des Ministres que Mose et ad fines, marquent Commercy de la ville, Juventidius Firmus, et Teula ou Commarcy, sur la Meuse; Commarcium, son fils, l'ont fait faire. L'inscription dérivé de Marcha, une limite, qui signifie la était sans doute sur une porte, ou sur un même chose en celtique, que Fines en latin. pont, ou sur quelqu'autre édifice public, Nais, ou Nas, Nasium est du diocèse de qu'on n'exprime pas ici, parce que la Toul, Comté, office et prévôté de Ligny, chose parlait d'elle-même. recette et bailliage de Bar, présidial de Châlons, parlement de Paris. Le roi en est seul seigneur ; la paroisse a pour pa'; tron, saint Martin.

Frédégaire parlant du roi Thierri, dit qu'il marcha vers la ville de Toul, en passant par Andlau, et prit la forteresse de Nais: Dirigens per Andelaum, Nasi Castro capto, Tullum Civitatem perrexit L'auteur de la chronique de saint Benigne de Dijon, transcrivant les paroles de Frédégaire que nous venons de citer, porte que Nasium est situé sur la rivière d'Ornez.

Les peuples du pays donnent encore aujourd'hui le nom de cité au village de Nais. On y a trouvé quantité de médailles romaines, plusieurs débris de colonnes, de statues et de pierres travaillées, qui prouvent que ce lieu était autrefois très consi

Les conservateurs dans la république romaine et dans les cités, étaient des officiers de conséquence, dont le principal emploi était de fixer le prix des choses exposées en vente, de faire payer les tributs au prince, de ramasser les revenus des villes, de veiller sur le trésor royal. Dans les inscriptions latines, Curator se prend pour un magistrat, qui a l'inspection sur les ouvrages publics, les chemins, les eaux, les égouts, etc.

Minister a un sens plus étendu: It se prend pour un officier public qui est chargé d'accompagner le magistrat, et de lui faire faire place, de veiller sur les gardes de la ville, de faire payer les deniers publics,

etc.

L'autre inscription est sépulchrale, la voici:
D. M.

dérable; on y a aussi découvert des ins-LOLLIO. NASIENSI.PALUSII CURATORIS

criptions romaines, et quelques unes sépulchrales. Les paysans en labourant et

1) Ptolemeus in Belgica. (2) Peutingeri Tabul. segment 12.

FILIO. DEFUNCTO.
CARISSIMO. ACCEPTIUS.

ET. TOTIA, LABLA.

PATRES.ET. SIBI. VIVI.FECERUNT.

1

Aux Dieux Mánes. Acceptius et To- prince Charles de Lorraine, frère de l'emtia Labla, ont dressé ce monument à Lol- pereur François. lius de Nais, fils de Palusius le curateur; ils l'ont, dis-je, dressé à Lollius leur fils décédé, pour eux-mêmes et de leur vivant.

Les itinéraires dont nous avons parlé, montrent assez qu'il y avait près de Nais un chemin public; la chronique de Langres confirme la même chose. Ce chemin établi pour la commodité des troupes, commençait à Langres, passait à Rinel, et continuait depuis Nais jusqu'à Reims. On voit encore aujourd'hui en plus d'un endroit des vestiges de ces routes.

Voici le témoignage d'un témoin oculaire (1), qui prouve qu'il y a eu à Nais des monumens bien précieux. J'ai vu chez Oger Delcourt mon père, pendant plus de trois ans, de temps à autre, un homme de Nais venir changer quantité d'escalins et de bajoires : un jour entr'autre, je vis tomber en 1705, de sa poche un poullec d'or, (pollex), non massif; ma mère lui demanda à voir ce que c'était : l'homme lui répondit que c'était le poullec d'un bras de cuivre, qu'il avait vendu en 1704 à un nommé Boardeloit, chaudronnier, alors Quelques savans ont cru que Nasium demeurant à la rue de Givroval à Ligny. était la ville de Nancy, capitale de la Lor- Ma mère ayant examiné ce ponllec, et raine; la conformité des noms est le seul l'ayant éprouvé sur une pierre de touche, fondement de cette conjecture. Nancy est lui dit qu'il était d'or; à ces paroles ce très-nouveau; Nansium est une très-an- paysan s'écria: ah! j'avais trouvé ma forcienne ville. Nancy est situé sur la Meur-tune et je l'ai perdue. Il en fut si affligé, the, et Nasium sur l'Ornès. La position de Nasium sur les grandes routes de Reims à Metz, et de Langres à Toul, ne convient nullement à la ville de Nancy, comparée aux routes de ces anciennes villes.

que l'on fut obligé de lui donner de l'eaude-vie pour le faire revenir. Pendant ce temps, on envoya chercher ledit chaudronnier qui s'était enrichi, et qui s'accommoda avec le paysan. Ledit poullec est resté plus d'un an chez mon père; je ne sais le prix que ma mère lui en a donné, ni ce qu'elle en a fait.

M. de Vallois n'a pas bien connu la ville de Nasium, qu'il confond avec le village de Grand Nançois, qui n'en est Voici un second récit qui prouve enpas fort éloigné, mais qui est fort core l'antiquité et la puissance de la cité différent. On ne trouve à grand Nançois de Nais. En fouillant dans la terre au aucune marque d'antiquité; on ne re-bourg de Nais, après environ une demimarque pas son nom dans les anciens heure de travail dans un champ, on dé– monumens du pays; au lieu que celui couvrit une espèce de pavé qui avait plus de Nansium s'y voit très souvent, et de dix pas de large ct plus de quinze de qu'on y rencontre divers monumens de long (2).

d'antiquité profane; de plus Nançois Ce pavé était fait de cailloutage et de cine se nomme pas Nasium ni Nan- ment, de l'épaisseur de quatre pouces, sium dans les titres mais Nansiis posé sur des pierres mises debout, sur la Nansiidos (1). terre simple. Après avoir rompu ce pavé à

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Le P. D. Thomas Mangeard a recueilli un des coins avec assez de peine, on trouà Nais, grand nombre de médailles anti-va un second pavé environ à trois pieds auques, de clefs, de petites statues, et d'au-dessous du premier, avec des briques d'un tres morceaux d'antiquité; il a eu l'hon-pied en carré. On creusa de nouveau jusneur de les présenter à Monseigneur le

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(1) Le révérend Père Dom Barthelemi Del

court.

(2) Lettre du R. P. Mirondel, Bernardin d'Einvaux, du mois d'août 1749.

qu'à la profondeur d'environ dix pieds; les Romains par leurs épées pointues. On on trouva que les murs qui bordaient ce voit près de la figure d'un général Romain pavé, n'étaient fondés que sur de la pier-jces lettres, TRA. Cette pièce était destiraille, comme si ce n'eut été que pournée pour être attachée et cousue à la cuiporter une simple muraille de fermeture rasse, parce qu'il y a tout autour des trous de jardin.

comme pour passer une aiguille à coudre. La pièce est d'une figure irrégulière, plus large et arrondie par le bas, et carrée et plus étroite par le haut. Elle peut avoir 4 ou 5 pouces de hauteur.

NASSOGNE.. Nassogne (1), petite

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Sous les murs on a trouvé un anneau de fil d'argent et des ossemens sans nombre. Ces découvertes ont fait croire que la cité de Nais avait été rebâtie deux fois sur les anciennes ruines, comme on le tient par tradition dans le lieu même. Cette tradi-ville près de Saint-Hubert en Ardennes, tion est confirmée, parce que le mur qui est célèbre dans ce pays-là par une ancienétait au-dessous du premier pavé, paraissait ne collégiale, dont on raconte ainsi la fonavoir été peint en quelques endroits. C'était dation : Un saint homme, écossais de nadonc une maison de quelque personne de tion, nommé Monon, vint dans les Arconsidération. dennes sur la révélation qui lui en fut faite On dit que la ville de Nais communi-en songe. Ayant passé la mer, il prit la réquait à celle de Ligny par un chemin solution de faire le pélerinage de Rome. souterrain, qui existe encore, ce qui Jean Lagneau évêque de Mastricht, l'ayant n'est nullement croyable. La ville de rencontré et ayant appris son dessein et Ligny était anciennement très-peu de admiré sa ferveur, l'invita à le venir trouchose; et à propos de quoi ce chemin ver au retour de son voyage, et qu'il lui souterrain ? Mais il se peut faire que c'é- donperait un lieu de retraite. Monon y tait un égoût, que l'on s'est imaginé aller vint, et l'évêque lui donna un terrain désert jusqu'à Ligny. nommé Fridier, où il commença à défri¬ cher et à bâtir une chapelle, où il assem— blait les habitans des environs et leur enseignait les vérités du salut.

En travaillant en 1750 à la nouvelle chaussée de Ligny à Gondrecourt, on trouva sur le finage de Nais des médailles romaines, des fours en terre, des tom- Le démon jaloux de sa sainteté et de sa beaux : on dit qu'on pénétra dans le che-réputation, suscita des assassins qui vinmin souterrain prétendu,

On découvrit à Nais, une statue presque colossale de marbre blanc, ou plutôt d'albâtre ; car elle n'était pas aussi dure qu'elle aurait été si c'eut été vrai marbre. Les paysans la mirent en pièces; et un honnête homme (1) qui en a vu les débris dans la cour du curé du lieu, et qui en emporta une partie d'un pied, dit que le pouce était d'une grosseur extraordinaire, et que la statue devait être haute au-dessus de l'ordinaire.

Dans le même lieu, on a trouvé une pièce d'acier ouvragée, et représentant un combat des Romains contre les Allemands: ceux-ci remarquables par leurs sabres, et

(1) M. Bourcier, orfèvre à St.-Mihiel.

rent le tuer dans sa cellule. Les peuples du voisinage y accoururent, et l'honorerent comme martyr. On bâtit au même lieu une église sous l'invocation de la Ste.-Vierge, où l'on déposa le corps de Moaon. Le roi Pépin y établit une collégiale composée d'un prévôt et de six chanoines. On met cet événement an VII siècle.

NETTANCOURT.- Nettancourt, village du diocèse de Chalons-sur-Marne, frontières de Champagne et du Barrois, à trois lieues de Bar vers le couchant, et à six de Châlons, près l'abbaye de Montier-enArgonne, sur une petite rivière nomméc Chel, qui tombe dans l'Ornez à Bé

(1) Histoire de Luxembourg, t. 3 p. 148 et

suiv.

et sépare la Champagne du chateau, est le poëme de Garin le Lohérans, composé par Hugues Metellus chanoine régulier de saint Léon de Toul, qui vivait vers l'an 1150. Voici ce qu'il dit de Neufchâteau.

Barrois. Nettancourt a donné le nom à une très-ancienne et très-noble maison de nom et d'armes, qui possède la terre de Nettancourt depuis plusieurs siècles. Cette Hervis, fils du duc Pierre, revenant de maison est partagée en plusieurs branches; la foire de Lagni et retournant à Metz, Nettancourt-d'Haussonville, Nettancourt- arrive à Neufchâteau avec sa compagnie de-Vaubecourt, Nettancourt-de-Bétan- un samedi au soir : l'auteur décrit cette court et Nettancourt-de-Passavant. Elle est alliée aux maisons d'Apremont, aux Merlettes de Savigni, de Ligniville, de Stainville, de Betancourt, d'Haussonville, de Desarmoises, de Duhautoi, de Donmar tin, de Gournai, d'Haraucourt, de Custine, de Bassompierre, et s'est toujours distinguée par de grands et importans emplois, tant en France qu'en Lorraine.

Cette maison porte de gueules au chevron d'or: on tient que le premier de cette maison qui soit entré an service des ducs de Lorraine, est Georges de Nettancourt, que le duc René I, créa capitaine et bailli le 4 juin 1426.

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NEUFCHATEAU.-Neufchâteau, ville de Lorraine, située sur la Meuse, est apparemment la même que Neomagus, marqué dans les tables de Peutinger de cette sorte Andromatum (Langres), Meuse VIII. m. p. Noviomagus VII. m. Tullio. De Langres au village nommé Meuse, de là à Neomagus (apparemment Neufchâteau) huit mille pas, de Neomagus à Toul, sept mille pas.

L'itinéraire d'Antonin ne marque pas Neomagus; mais de Langres à Toul, il compte quarante-deux mille pas de cette sorte: Iter ab Andiomoteo Tullo Leucorum usque M. P. XLII.

Mosa, M. P. XII. Le village de Meuse.
Solimariaca (Soulosse), M. P. XVI.
Tullum, M. P. XV.

Le village nommé Meuse, parce qu'il est près les sources de la Meuse est bien connu; Neufchâteau est situé entre Meuse et Solimariaca, ou Soulosse. Toul est très-connu.

ville comme grande et bien peuplée, ayant un Chatel principal et des biens en abondance, et tout ce qu'on pouvait désirer pour faire bonne chère, même des musiciens, des baladins, des jongleurs; après que Hervis eut déclaré à son hôte et aux bourgeois qui il était, ils accoururent pour l'embrasser et le baiser, en lui disant : ¦ DAMOSIAX, Sire, bien soyez trou

Le premier monument où il est fait mention bien expresse de la ville de Neuf

vez,

Nos Sires éles, et nos droits avoyez (1), Commandez, Sire totes vos volontez, De vous servir sommes entalentez. Après cela, il ordonne aux bourgeois de l'accompagner à cheval jusqu'à Metz. Seigneurs, dit-il, demain à l'enjournée,

Soient très tous sur les chevaux montez,

Jel vous commende, se chier que vous m'avez,

Tresquez à Metz vous me convoyerez. Ils répondirent qu'ils exécuteraient ses ordres; car:

Etes nos Sires, et nos droits avoyez,
Car droit Hoirs étes de Metz la forte

cité,

De l'Orheraine, et de la Duchié, Après vos mères se vivois par aié. Quoique le duc de Lorraine fut seigneur souverain de Neufchâteau, il y eut toutefois des seigneurs particuliers, apparamment feudataires du duc. Etienne Pérard (2) rapporte quelques chartres qui font foi de ce que je viens de dire; et l'armorial de Lorraine donne à la maison de Neuf

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château pour armes : d'or à une bande de | ligieux qui s'ingéreraient dans cette paroisgueules, chargée de trois tournelles d'ar-se à l'exclusion de ceux de saint Mansui. gent, ou selon d'autres, de gueules à la Le duc Mathieu II, en 1251, au mois bande d'argent, écartelé de gueules à l'aigle de septembre, octroya aux bourgeois de d'argent. Cette maison de Neufchâteau, Neufchâteau, qu'au jour de la St. Remi, était fort différente de celle de Neufchatel ou dans la quinzaine après, treize personen Bourgogne. nes de la commune de ladite ville fussent La rivière de Meuse arrose le Neufchâ- choisis et jurés, et que de leur nombre ils teau et les environs; la ville est placée sur en choisissent un qui fut maire : lesquels une éminence à droite de la Meuse, à juges prendraient connaissance de toutes l'endroit où cette rivière reçoit le Mouson. contestations, en tout cas sans être obligés Il y a trois faubourgs; celui de France, de subir aucune autre justice et juridiccelui de Saint-Pierre, ou des Capucins, et celui de Sainte-Marguerite.

Le duc Thierri (1) fit faire un nouveau faubourg, ou une nouvelle ville à Neufchâteau, et y érigea une église en l'hon neur de saint Nicolas, dont il fit présent à l'abbaye de Saint-Mansui. L'évêque Pibon la dédia, et la déclara indépendante de la paroisse de Saint-Christophe de la même ville en l'an 1097.

tion.

Depuis la réunion du comté de Champagne à la couronne de France, arrivée vers l'an 1285, les ducs de Lorraine entrèrent sous la foi et hommage des rois de France; comme on le voit par l'hommage rendu au roi Philippe-le-Bel, par le prince Thiébaut de Lorraine sire de Runigni, en 1500; et ensuite par ce même Thiébaut duc de Lorraine en 1310, de ce qu'il tenait à Neufchâteau, Chatenois, Monfort, Frouart, et une partie de la ville de Grand en Bassigny.

Cette église de Saint-Nicolas, était autrefois attenante au château du duc; elle est des plus vastes et des plus exhaussées; il y a deux églises l'une sur l'autre, ce qui Philippe-le-Bel (1) ayant épousé l'héria été facilité par la pente du terrain du tière de Champagne, fut reconnu seigneur cimetière, dont elle est environnée. L'é- souverain de Neuchâteau, Chatenois et glise de dessous est partagée en trois par- Frouart, en les déclarant fiefs de Chamties séparées par des grillages: dans cha-pagne : il ordonne que les habitans seront cune de ces séparations il y a une chapelle, reçus aux foires de Champagne par ses dont l'une est pour la congrégation des lettres du 22 janvier 1296, ou 1297. femmes et des filles, sous l'invocation de Le duc de Lorraine obtint ensuite des saint Dominique; l'autre dédiée à saint lettres de Philippe-le-Bel, par lesquelles François de Paule, dans laquelle sont re- ce roi renonce à tous droits de souveraiçus les jeunes garçons et les filles, à cause neté et de ressort qu'il avait sur Neufchade la dévotion du cordon de saint Fran-teau, et les autres lieux au-delà de la çois de Paule. Meuse.

On communique de l'église d'en haut Louis Hutin fils ainé de Philippe-leà celle d'en bas par un vaste escalier, où Bel, ayant eu l'administration du comté l'on peut passer en procession avec le de Champagne, qui était un propre de sa Saint-Sacrement, dans les temps de neige mère, confirma les lettres de son père, et de pluie. données aux bourgeois de Neufchâteau, à Le duc de Lorraine avait voulu donner la prière du duc de Lorraine, par d'autres la nouvelle église de Saint-Nicolas à l'ab-lettres données à Paris au mois de juin baye de Molesme, mais l'évêque de Toul 1312.

menaça d'excommunication tous autres re

(1) Histoire de Lorraine t. 1. page 509.

preuves.

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