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SOMMERVILLER.Sommerviller, village du diocèse de Toul, situé sur le Sanon, un quart de lieue au-dessus de Dombale, à une lieue de Rozières-auxSalines bailliage de cette ville. Ce village est en partie de la paroisse de Crévic en partie de celle de Dombâle. Les deux curés y ont un vicaire.

prévôt, payera cinq sols: chaque Ma-mont, cour souveraine de Nancy. Patron` gnés (1) payera dix-huit doniers pour des de l'église paroissiale, saint Gérard. M. corvées de faulx ou de fourche : quand le de la Vaux en est seigneur haut-justicier. comte ira en ladite ville, les maires etly a sur le finage un ermitage dédié à échevins lui feront avoir ses dépens du saint Nicolas. sien: chaque cheval de sa route payera pour foin nuit et jour un denier: l'homme étranger qui ira demeurer en ladite ville payera chacun an trois sols et une gelline (2) à chaque terme : lesdits maires et échevins ne peuvent retenir aucun des hommes dudit comte, ni de ses hommes de fief; et si aucun allait demeurer au royaume, â Meiz ou à Verdun, la demeurance serait audit comte, et doivent moudre à ses moulins et cuire à ses fours: doivent mettre chacun an un maire et quatre échevins, qui feront serment de garder ses bois et ceux de la ville, et doi-mence sa femme, vent mener leurs bleds de leurs assises à son grenier à Bar. Ces lettres d'affranchissement furent confirmées par Henry comte de Bar en 1559, et par le duc Robert son fils le troisième novembre 1560. Rien n'est plus commun que ces sortes d'affran-chaussée passe sur ses ruines: ses biens chissemens dans les treizième et quatorzième siècles, qui font voir la condition

des

Il y a dans ce lieu une chapelle dédiée à saint Gérard. C'est dans cette chapelle qu'on fait le service de la paroisse, et la chapelle de la Passion fondée le 13 mars 1509, par Hazelet Denis de Nancy et Clé

SOMMIERES. Sommières, nom d'une chapelle, fondée par les seigneurs de Commercy en 1186, près le village de saint-Aubin du côté de Void. Il y a 50 ans qu'il en restait encore des vestiges; la

étaient assez considérables, ils ont été donnés à l'hôpital de Commercy.

gens de la campagne, qui étaient en- On trouve dans les archives de Lorraicore pour la plupart fiefs et taillables à la ne une bulle du pape Grégoire IX, porvolonté de leurs seigneurs. tant qu'il prend en sa protection les maîSOMMELONNE.-Sommelonne, vil-tres et frères de la maison des lépreux de

lage du diocèse de Châlons, bailliage de Bar, situé entre la Marne et la rivière de Saulx, à une lieue de Saint-Dizier, à cinq au sud ouest de Bar, présidial de Châlons, parlement de Paris. La paroisse est dédiée à saint Vincent. Ce lieu contient cinquante habitans, et une maison seigneuriale.

M. le chevalier d'Air et les héritiers de M. Groux sont seigneurs hauts-justiciers de Sommelonne.

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Sommeré

Sommières et les biens dudit hôpital, qu'il confirme. Donné à Pistoie le XII, des calendes d'Avril, le troisième de son pontificat, c'est-à-dire l'an 1229.

Sommieres était autrefois un village, il y avait un curé en 1540, nommé Laurent, et une communauté composée de frères et de sœurs, de frères lépreux et de sœurs qui les servaient. Ils formaient une communauté et possédaient des biens assez considérables. Le village de Sommières est aujourd'hui ruiné.

SOMMERECOURT. court, Sommereeuria, village du diocèse SONE-LA-HAUTE, SONG-LA-BASSE. de Toul, situé sur le Mouzon, à une Sone, ou Suuine, ou Sosne la haute, lieue et demie de Bourmont, deux et de-alta-Sona, village du diocèse de Trèves, mie de Neufchâteau, bailliage de Bour-bailliage de Villers-la-Montagne, à une (1) Habitant ou chef de famille,

(2) Poule.

lieue et demie de cette ville, cour souveraine de Nancy. Le roi y est seul seigneur.

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comte de Sorcy dans un titre d'Udon évêque de Toul, pour l'avocatie de Bleurs ville mais Alberic son fils ne prend que le nom de Seigneur dans un titre de l'évê [que Pibon de l'an 1076; et l'empereur Conrad en 1033, ne le qualifie pas au[trement dans un titre donné en faveur de l'abbaye de Saint-Evre: Piscaria quæ partitur in flumine Mosæ cum Dominis castri, quod dicitur, Sorciacus

En 1109, un nommé Erard, étaft seigneur de Sorcy, et Arnould son fils fut excommunié en 1149, par Henry de Lorraine évêque de Toul.

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La maison de Sorbey porte d'argent, àsiastique. un croissant montant de gueules, mis en cœur, surmonté d'une étoilede sable l'écu bordé de gueules.

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Il y a eu trois maisons de ce nom en Lorraine; la première est éteinte, les autres portent d'azur au chef d'argent, au lion de gueules brochant sur le tout. Toutes ces trois branches reprenaient la terre de Sorbey des ducs de Lorraine. SORCY-SAINT-MARTIN.

là.

Sorey

Eudes de Sorcy fut élu évêque de Toul en 1218. Et en 1369, les Messins étant entrés en guerre avec Pierre de Bar ruinèrent le bourg de Sorcy, et la ville de Sainte-Lucie, apparemment Sampigny.

Le 12 décembre 14.... le cardinal de Bar confisqua la terre de Sorcy sur Geoffroy de Sorcy, qui lui avait manqué de fidélité.

est un assez gros bourg situé sur la rivière La maison de Sorcy portait d'or à l'écu de Meuse, à une bonne lieue de Com-de gueules en abîme. mercy, à trois lienes de Toul au midi et à quatre de St. Mihiel au septentrion. Toul, où les seigneurs de Sorcy ont fait Le martyrologe des pères cordeliers de Son nom vient apparemment de Sorex, du bien, met pour le plus ancien de cette rat, souris, peut-être à cause de la mul-maison Odet de Sorcy chevalier, qui eut titude des souris qu'on voit en ce lieupour fils Arnoul de Sorcy, qui avait épousé Isabelle, dont il eut Jean-Philippe La terre de Sorey est passée succes-de Sorcy, qui épousa, Jeanne fille de Jacsivement dans les maisons de Volzer (1), de Baudricour, de Stainville, du Châques le Roi de Fromerville, de laquelle il eut Simon de Sorcy qui vivait en 1348. telet, de St.-Vincent et de Choiseul. Sorey était un fief relevant des comtes La terre de Sorcy avait autrefois apde Bar, et les anciens seigneurs de Sorcy partenu à la maison de Baudricourt, En ont pris quelquefois le nom de Comtes, 1434 cette seigneurie fut engagée par le mais plus ordinairement celui de Seigneurs due René à Robert de Baudricourt seide Sorcy. Arnould prend le nom de gneur de Bloise, pour une somme de trois mille francs; mais il paraît que la terre de Sorcy ne demeura pas long-temps 438. P.

(1) Benoit Hist. de Toul,

Adrien Lallemant, médecin très-habile du seizième siècle, et qui a beaucoup travaillé à Paris sur le texte d'Hippocrate, était né à Sorcy.

entre les mains des seigneurs de Baudri-les vestiges d'un ancien camp romain court. Pierre du Châtelet évêque de Toul, où l'on a trouvé quantité de médailles ayant obtenu la permission du Saint-antiques et d'autres monumens. Siége de pouvoir transférer l'abbaye de saint Martin devant Metz, qui avait été ruinée par les guerres, et l'unir au prieuré de Notre-Dame de Nancy, et y donner les terres de Sorcy et Saint-Martin, consentit que le duc put retirer ladite seigneurie en "emboursant ladite somme de trois mille francs, pour laquelle elle avait été engagée. L'acte est du 5 juin 1568.

Serne

L'église de saint Martin est celle d'une abbaye sous le nom de ce saint, elle était autrefois l'église paroissiale de Sorcy; elle en fut séparée en 1688. Quoique Saint Martin ait une paroisse particulière, il Je n'ai pu trouver depuis quel temps ne forme néanmoins qu'une communauté la maison du Châtelet possédait la terre avec le bourg de Sorcy. de Sorcy. Elle en jouissait en 1525, puis | SORNÉVILLE.-Sornéville, que Pierre du Châtelet seigneur de Sorcy villa, village à trois lieues et demie au reçut dans son château de Sorcy, Claude nord-est de Nancy, à deux lieues et demie de Guise et Louis de Lorraine son frère de Château-Salin, bailliage de Nancy. allant en Alsace au secours du duc An-Ce lieu est du diocèse de Metz, de l'artoine, contre les paysans luthériens révol-chiprêtré de Marsal. tés. En 1552, le roi Henry II, passa et Soucoucha au château de Sorcy, ou il fut hesme-la-Petite, hameau, paroisse de reçu par Claude de Baillivi et Jean Bois-Souhesme-la-Grande, dont il est annexe, seau, députés de la ville de Toul, qui village du Verdunois, diocèse de Vers'y étaient rendus pour faire la révérence dun, à deux lieues de cette ville, reau roi.

Christine du Châtelet eut en partage la terre de Sorcy et de Saint-Martin, et c'est par elle que cette seigneurie est entrée dans la maison de Choiseul.

SOUHESME-LA-PETITE.

cette et baillage de Bar, présidial de Chȧlons, parlement de Paris; le roi en est seul seigneur. Il y a huit ou dix habitans, un fief à M. le comte de Girecourt, un à M. Bonnet, un à M. de SailLe bourg de Sorcy est du diocèse de flet, et un autre à M. Bertelet. Saint Airy Toul, et avait ci-devant une prévôté royale, est patron de l'église paroissiale. mais le tout est aujourd'hui du bailliage SOUILLY, ou SOUILLERES. de Commercy. Il y a deux paroisses, St.-petit bourg de ouilly, en latin SoleRemi et St.-Martin. rium, ou Soliacum est situé à la nais

- Le

Il y encore à Sorcy un hôpital, et un sance d'un ruisseau, entre l'Aire et la couvent de religieuses de sainte Claire, Meuse, également éloigné de l'une et de nommées Urbanistes fondées par les sei-l'autre, à environ trois lieues de Verdun gneurs du lieu. et cinq de Bar, dans cette partie du Bar

La chapelle de Chanay, dépendante rois, qui est entre le Verdunois et le du prieuré de Breuil proche Commercy, Clermontois. Il y avait ci-devant une préordre de saint Benoit, est située assez vôté royale. Souilly est du bailliage de près de Sorcy. Le bourg de Sorcy et le Bar, présidial de Châlons-sur-Marne, village de Saint-Martin contiennent envi-parlement de Paris. Avant l'édit du mois ron trois cent cinquante habitans. de décembre 1747, il y avait là une gruerie. Le roi en est seul seigneur.

Le bourg de Sorcy est remarquable par son beau château, orné par les soins de la maison du Châtelet et de Choiseul. On voit aussi sur la montagne de Sorcy

La paroisse a pour patron saint Martin. Il y a en ce lieu environ cent cinquante habitans.

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Souilly est apparemment le Solidia-d'Antonin a placé l'ancienne ville de Socum (1), nommé dans une bulle du pape limariaca, qui a été totalement détruite Jean XII, pour l'abbaye de Saint-Vanne et dont on ne voit plus que les ruines sur de Verdun en 962. Dans le traité de paix une petite hauteur, à la gauche du grand qui fut fait en 1179, entre Henry, comte chemin de Neufchâteau, à cent pas de la de Bar, et Arnout, évêque de Verdun, on rivière de Vaire, dont nous avons parlé. assigna 40 sols de rente annuelle sur la Un peu au-dessous de ces ruines on voit le prévôté de Souilly, au profit des chanoines village de Soulosse, où la tradition veut de la cathédrale, pour les indemniser des que Bauhius et Lientrude, père et mère dommages qu'ils avaient soufferts pendant des saints Eucaire et Elophe, ayent eu aula guerre. trefois leur demeure.

Il y avait un château à Souilly, qui subsistait encore en 1527.

La maison de Souilly porte d'azur à la croix d'argent, au franc quartier lozangé d'argent et d'or.

On ignore le temps précis de la ruine de Solimariaca. Il y a assez d'apparence que cette ville fut ruinée par les Huns ou les Vandales, qui au cinquième siècle firent de si grands ravages dans les Gaules. Le bourg de Souilly porte d'azur, au Nous trouvons encore les noms de Silmochâteau fortifié de trois tours, d'argent,|riagum et de Salmoriaga villa dans les camaçonné de sable, terrassé de sinople, pitulaires (1). Mais je ne sais si ce sont couronné d'une couronne fermée d'or les mêmes que Solimariaca : si cela est et cotové de deux barbeaux adossés de il faudra dire que ce lieu était encore conmême. sidérable au IX siècle, et par conséquent qu'il n'a pas été totalement détruit par les Huns ni les Vandales.

SOULAUCOURT ou SOULAUCOUX -Soulaucourt, Soliscuria, village sur le Mouzon, à une lieue et demie de BourIl nous reste une ancienne inscription mont, recette et bailliage de cette ville, de la ville de Salimariaca. Elle fut troudiocèse de Toul; le roi en est seul sei-vée en 1694, dans une arcade dn pont, gneur. La paroisse a pour patron saint que l'on y réparait sur la rivière de Vaire. Léger. Il y a dans ce lieu environ 72 ha- La voici telle qu'on la voit encore sur le bitans. même pont:

IOVI O. M.
VICANI. SOLIMARIACENSES.
FACIENDVM. CURAVERVNT.
M.E. D EX. VOTO.GNATVS. ATE-
GNIA.

F.F. et SEVERVS. SILVANI.LIBER-
TVS.

René roi de Sicile, due de Lorraine, acquit le 26 octobre 1466 (2), de Gilles de Brainville, écuyer, et de Jeanne de Chatillon sa femme, tout ce qu'ils avaient en la ville de Solaucourt sous la Motte, et en la ville de la Motte, moyennant 60 francs d'or à douze gros l'un, monnaie Remarquez premièrement, que Solimacoursable au duché de Bar. riaca n'était pas une cité, mais une simSOULOSSE, SOULOSSOIS, Soli-ple bourgade, Vicus, puisque les habimariaca.-- Soulosse, petit village situé à gauche de la Vaire, un peu au-dessus de l'endroit où cette rivière perd son nom en mêlant ses eaux avec celles de la Meuse, entre Toul et Neufchâteau, une lieue audessous du Châtelet. On voit encore près de là, les restes du chemin militaire de Langres à Toul, sur lequel l'itinéraire

(1) Histoire de Lorr. t. 1. (2) Archives de Lorr.

tans ne prennent que le titre de Vicani et non de Cives. 2° Qu'ils ont fait faire le pont où se voyait l'inscription, et ce pont n'y est pas exprimé, mais l'inscription mise sur le pont le désigne assez. 3° 'Ce sont Gnatus Ategnia et Severus affranchi de Silvain, qui l'ont fait faire, comme le marquent ces deux lettres F. F. fieri

(1) Capitular. t. 2, p. 224 et 1468.

fecerunt, et cela ex voto, par un vouvait pas ce que nous avons rapporté de Soufait à Jupiter. 4° Ces trois lettres M. E. D. losse en Lorraine. peuvent signifier munierunt et dedicave- Le partage entre Charles et Louis, le runt, ou bien munierunt, erexerunt, place entre l'Ornois et le Bassigny, qui dedicaverunt, ou memoriæ ergo dicatum. sont certainement en Lorraine. Odorrense, 5° On connait près de Saint-Elophe un Solocense, Basiniacum. La chartre de dolieu nommé Autigny-la-Tour, qui pour-nation du comte Gérard, donnée à Remirait bien avoir donné son nom à Ategnia, remont en 1033, où il donne Vrécourt à S.on l'avoir reçu de lui. Autigny-la-Tour Benigne de Dijon, porte expressément que est annexe de St.-Elophe. Ainsi il faudrait ce lieu de Vrécourt, est dans le Soulossois séparer Gnatus d'Ategnia, et dire que sur la rivière du Mouzon, vers St.-ThiéGnatus Ategniacus et Severus ont fait cons- baut. Soulosse est situé sur le Vaire entre truire ce pont. Toul et Neufchâteau.

Quant à Soulosse, c'est un petit village qui dépend de Saint-Elophe, de même que Fruse, Frumentosa et Brancourt, village sans église, où est la résidence du curé de Saint-Elophe. Soulosse est au pied de la montagne de Saint-Elophe. Il faut que ce lieu ait été autrefois considérable, puisqu'il a donné le nom au pays Soulossois, Solocensis pagus. Voyez les capitulaires ou le partage de Louis et de Charles en 870. Capitular. Tome 2, page 225 (1); et le titre du comte Gérard, fils d'Adalbert, fondateur de l'abbaye de Bouzonville, qui en 1055, donne Vrécourt à saint Benigne de Dijon, lequel était situé dans le Soulossois et sur le Mouson Villam scilicet Vulferi curtis, quæ sita est in comitatu Solecensi supra flumen quod dicitur Mosuna. Il y a beaucoup d'apparence que Soulosse et le Soulossois, sont des diminutifs de Solimariaca, ou que Soulosse s'est formé des débris de Solimariaca, ou que l'ancienne olimariaca s'étendait jusqu'à Soulosse,

M. Schophlin dans son Alsatia illustrata, tome 1, page 646, croit que ce Pagus est un être fictif et chimérique. Il rapporte les sentimens de plusieurs savans sur le Soulossois, qui le veulent placer, les uns en Alsace à Saletium, et les autres en Bourgogne à Solica. M. Schoephlin a raison de croire que ce Pagus, dans le sens de ces savans, est fictif; mais il ne sa(1) Histoire de Lorraine, tome 2, p. cclxiv, dans les preuv.

Saint-Elophe.

La belle église paroissiale de SaintElophe, située sur une montagne, a donné son nom au village qui en est proche, sur le bord droit de la rivière du Vaire. On prétend que c'est là que saint Elophe souffrit le martyr, par ordre et en présence de l'empereur Julien. On y conserve ses reliques dans une chasse très-riche, donnée par Simon Sallet, trésorier général de Lorraine.

Seigneurs, MM. de Bassompierre et de Mauléon de la Bastide.

Autigny-la-Tour, Attiniacus, est annexe de St.-Elophe; l'église a pour patron saint Pient; la moitié des menues dimes appartient à l'abbaye de l'Etanche, et l'autre à la maison-dieu' de Toul. Seigneur, M. de Mauléon.

Dépend le fief de Boinville, où il y a une chapelle.

SPADA. Spada, appelé autrefois Gerbeuville, village à une lieue au nord de Saint-Mihiel, diocèse de Verdun, doyenné de Hatton-Château, archidiaconé de la Rivière. Saint Pierre est patron de l'église. Cette terre fut érigée en marquisat, le 2 mai 1716, par le feu duc Léopold I, en faveur de M. le marquis de Spada, gentilhomme Italien.

SPARBRUCH ου FARBACH.-Sparbruch ou Farbach, hameau au pied de la montagne de Garrebourg, sur la rivière de Sorne; une partie de ce hameau appartient à la maison d'Andlau, et le surplus appelé Farbahc, dépend du village de St.

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