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J'ai donné la liste des abbés de cette fameuse abbaye à la tête du troisième tome de l'histoire de Lorraine. —

Pascal II de l'an 1106 pour l'abbaye de lame de marbre par-dessus, avec cette St. Mihiel. inscription: Le bienheureux Matthias, MATHIAS (Saint), abbaye près la apôtre. Cette découverte remplit de joie ville de Tréves. L'abbaye de St.-Ma- tout le pays, et le nombre des miracles thias située à une demi-lieue de la ville que Dieu opéra dans cette occasion, est de Trèves, vers le septentrion, est bâtie presqu'infini. On remarque en particulier au lieu où saint Eucaire, apôtre du pays, trois morts ressuscités. Depuis ce temps avait bâti un oratoire sous l'invocation le monastère de Saint-Eucaire prit le nom de saint Jean l'évangéliste, devant la porte de Saint-Mathias. de Trèves, que l'on appelait moyenne. Cette église porta pendant long-temps le titre de saint Eucaire, premier apôtre de ce pays-là, qui y choisit sa sépulture. MAURICE. (Saint), — Saint Maurice, La plupart des anciens archevêques de village du diocèse de Toul, situé sur la Trèves en usèrent de même. Dès le cin- Mortagne, à deux lieues de Remberviller quième siècle on y voyait une commu- et de Gerbéviller. Ce village est annexe de nauté de religieux, ou de clercs, qui y Romont. L'église a pour patron saint faisaient l'office devant le corps de saint Maurice. Eucaire (1). Egbert, archevêque de Trè- Vers l'an 1752, on trouva à Saint-Mauves, élu en 778 entreprit de båtir une rice, en creusant au milieu du village sur grande et magnifique église sur le tom-le chemin, pour construire la tour de l'ébeau de saint Eucaire; l'empereur Othon II glise, une chambre souterraine, où se contribua aux frais de cette entreprise. voyaient dix ou douze petites cheminées. Comme on en creusait les fondemens, on On y découvrit quantité de pièces de mondécouvrit le tombeau de saint Celse, naie de cuivre. qu'on croit être un saint archevêque de Trèves. La translation du saint corps se fit solennellement en 980. L'archevêque Egbert fit venir de l'abbaye de Saint-Pierre de Gand, un religieux nommé Gauthier, pour gouverner la communauté de saint Eucaire, et on croit que c'est le premier supérieur de ce monastère, qui ait porté le nom d'abbé. Ses prédécesseurs se contentarent de titre du père, qui signifie la même chose, et ses religieux ne prenaient entre eux que le nom de frères.

Ce ne fut qne depuis la découverte des reliques de l'apôtre saint Mathias, qui se fit eu 1227 que ce monastère prit le nom de Saint-Mathias, et parvint à l'état de grandeur, de richesse ou de réputation, où on l'a vù depuis.

On dit que des maçons travaillant à l'église de Saint-Eucaire, et ayant été obligés de remuer l'autel de la Vierge, y trouvèrent un coffre de plomb et une

(1) Hist. de Lorr., ↳ 1, pag. 695.

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MAUR-MUNSTER, ou Maurmoutier, ville et abbaye. Maur-Munster, Maurimonasterium, célèbre abbaye dans la basse Alsace, à une lieue de Saverne vers le midi, n'appartient à notre dessein, que comme ayant autrefois dépendu de l'évêché de Metz, et ayant été prétendue pendant long-temps par les ducs de Lorraine. Dès l'an 1469, sous le duc Nicolas, les Lorrains ayant pris et démoli le château de la Roche (1), dont les seigneurs désolaient tout le pays des environs, ils mirent le siège devant la ville de Maurmoutier, située près le château de la Roche, et qui servait de retraite aux voleurs et aux pillards de ces quartiers-là La ville de Maurmoutier fit quelque résistance, et enfin fut prise de force: on en rasa les murailles, et les bourgeois promirent d'être à l'avenir bons Lorrains, et soumis au duc de Lorraine.

Le duc Antoine s'en regardait encore (1) Hist. de Lorr. t. 1. pog. 163. deuxième édition, p.

comme souverain en 1535. Voici comme mission à Drogon son frère, évêque de en parle Pilladius (1) dans son poème Metz, de le faire rétablir, car cette abbaye composé dans le même temps: dépendait encore en ce temps là de l'évêque His actis principi populoque in pace re-de Metz; Drogon s'acquitta de cette comdacto mission, et fit transporter à Maurmoutier, les corps de saint Céleste ct de saint Adin tor, évêques de Metz. L'abbé Celle gouvernait alors cette maison en 828.

Qui sacræ fidei postquam servire Lothringo

Promisit domino....

Ce fut sous saint Goéric, évêque de

Dimisit princeps sua Mormunsteria tecta. Il posséda cette ville par droit de con-Metz, et en 659, que l'évêché ou les quête. Volzir. l. 3. c. 10 du voyage du duc Antoine contre les Luthériens d'Alsace, prétend que les ducs de Lorraine sont patrons et fondateurs de Maurmoutier,

Le duc Charles IV, en 1667, donnait à son fils Henri comte de Vaudémont, Lixin, Bitche, Sarverden, Falkestein, Marmoutier et d'autres terres, pour être érigées en duché, sous le nom de Sarland, en empire.

terres qui composent aujourd'hui le diocèse de Strasbourg, furent soustraites à la juridiction de l'évêque de Metz, lorsque saint Dagobert fonda à Strasbourg une église cathédrale; car auparavant cette ville et tout le pays des environs, était sous la juridiction des évêqnes de Metz.

ville et de l'abbaye de Maurmoutier, voulurent faire quelque résistance, et empêcher le duc et ses gens d'y entrer; mais ils furent aisément repoussés, et l'armée Lorraine y fut reçue avec beaucoup de joie.

Pendant la guerre des paysans luthériens allemands révoltés (1), qui firent irruption en Alsace en 1525, lors de l'emprisonneL'abbaye de Maurmoutier fut fondée en ment du roi François I en Espagne, le 615, par Léobard ou Léopard, qui vivait monastère de Maurmoutier fut désolé et sous Childebert roi d'Austrasie, du temps ravagé par ces luthériens, et l'abbé Gasde saint Déicole, fondateur du monastère pard obligé de se sauver pour éviter d'être de Lure. On dit que ces deux saints brûlé vif et rôti. Après la reddition de la étaient disciples, et compagnons de saint ville de Saverne au duc Antóînë, les luColomban, fondateur de Luxeuil. S. Léo-thériens qui s'étaient rendus maîtres de la pard reçut du roi Childebert ce lieu, qui était alors désert, et y bâtit un monastère nommé d'abord, la Celle, et ensuite la Celle de Léopard, et long-temps après, Maur-Munster, du nom d'un de ses abbés, nommé Maur. Ce monastère fut dédié aux apôtres saint Pierre et saint Paul, et à saint Martin. On marque la fête de saint Léobard dans le martyrologe bénédictin, au quinze de février. Il eut pour successeur Anastase, qui gouverna le monastère quarante ans, puis Godefroi, Léopard II, et Maur, qui donna son nom à l'abbaye de Maarmoutier, comme elle est aujourd'hui appelée, et qui l'augmenta et l'embellit.

Maurmoutier ayant été consumé par les flammes, avec tout ce qu'il y avait de chartres et de monuments anciens, l'empereur Louis le Débonnaire, donna com

(1) Hist. de Lorr. t. 3. p. 644. Pilladius Rusticiad, 663.

Les luthériens avaient profané les choses. saintes qui étaient dans l'église de l'abbaye, et avaient tiré de leurs châsses, les os et les reliques des deux saints évêques de Metz, Céleste et Adintor, et les avaient jettées sur le pavé. Ils avaient brulé les cloîtres, et avaient résolu de ruiner et de brûler tout le reste du monastère, même l'église, qui est très-belle et très-solide, ayant déja amassé des bois pour mettre le feu aux portes, et mis en bas les cloches de la tour, pour ensuite la miner et la renverser; ils avaient brûlé et dissipé les livres de la bibliothèque, et en avaient usé de même des titres et documens qu'ils avaient pu

(1) Hist. du duc Antoine, par Nicolas Volzir de Séronville, cxx111.

saisir; mais heureusement deux religieux l'église de l'abbaye deux monumens resen avaient emporté et sauvé une bonne par-pectables, et n'ayant pas eu le loisir de tie, qu'ils avaient cachés dans des lieux les copier, pria l'abbé Gaspard de les lui écartés et inaccessibles. envoyer, ce qu'il fit. Voici ces deux monuVolzir de Séronville, secrétaire du duc mens qui se voyaient alors sur la muraille Antoine, et auteur de l'histoire de l'expé-à côté du grand autel, mais on ne les y dition de ce prince, ayant remarqué dans voit plus aujourd'hui.

Voici ce qui se voyait sur la colonne :

Columna hæc Romana dicitur, per quam Sybilla prophetavit urbis Romæ interitum, sub obscura hujusmodi litterarum appositione; quas venerabilis Beda, Romam profectus exponendi causá respiciens, à Romanis interrogatus hoc modo. Quid spectas bos anglice? specto, inquit, urbis vestræ interitum. Qui tandem dixerant : nihil sentio. Et ille, sentis. Et sic illico.. exorsus est.

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La pierre carrée contient sept cercles, au milieu desquels on voit la figure du portail et de l'église de Maurmoutier; voici ce que renferment les huit cercles: PIE MEMORIE. HILDEBERT. REX FRANCOR, MARCHAM. AQVILEIENSEM LEOBARDO. HVIVS. LOCI. PRIMO ABBATI. PRO. SALVTE ANIME SVE, AC. REGNI. STABILITATE. AD CONSTRVENDVM. IN EA. ECCLESIAM, IN. HONORE. BEATI MARTINI IVRE. PROPRIETARIO, CONTRADIDIT. QVOD POSTMODVM THEODERICVS FILIVS PRÆDICTI. REGIS, AD. PETITIONEM. DOMINI. MAVRI. ABBATIS AVCTORITATE. REGIA. CONFIRMAVIT. VT. IN PRIVILEGIIS NOSTRIS PLENIVS. CONTINETVR. AB INCARNATIONE. DOMINI VSQVE. AD ANNVM. PRIMVM. IMPERII. LODOVICI. EXPLENTVR. ANNI. OCTINGENTI XXVIII. IN. IPSA. SVPPVTATIONE. VIR VENERABILIS, CESLIVS. MAVRI ABBAS. MONASTERII. POST. CVIVS. VSTIONEM. ET CHARTARVM TERMINVM. SCRIBERE. VOLVIT. QVALITER. VIR. ILL. HILDEBERTVS. QVONDAM. REX. EIDEM. LOCO CONCESSIT. TERRAM ETC. DE. ROTE. CISTARNATA. VSQVE. AD. GVNSINVM. RIVVM. IDEM AD MONTEM GVBEGVM. P. FRAXINETVM. QVÆ VOCATVR ASCVSVVA. ET SIC PER RIVVM. SORNE. ETC.

La ville de Maurmoutier n'est ni grande ni belle; elle est fermée de vieilles et mauvaises murailles.

Les deux châteaux de Gerolsech sont situés dans la montagne au-dessus de Maurmoutier. Nous avons fait un article sous le nom de Gerolsech. Les seigneurs de ces châteaux se disaient aussi seigneurs en partie de la ville de Maurmoutier. MAUVAGE.

L'abbaye est fort bien bâtie à la moderne; l'église est ancienne, belle, solide et bien décorée, d'un goût antique, mais non gothique. Mauvage, en latin Outre la paroisse du lieu, dont les re- Malvagia, ainsi nommé, apparemment ligieux ont l'administration, ils ont aussi à cause de la plante Malva, mauve, qui celle d'une abbaye de bénédictines, si-y abonde. Mauvage est un village du tuée à deux lieues de là, dans la mon- Barrois, diocèse de Toul, mi-parti avec tagne. Le monastère des religieuses se la France, situé à six lieues de Bar, nomme saint Jean des choux. deux de Gondrecourt, de Void et de

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Dans un titre de l'abbaye de Longeville de l'an 1121 il est fait mention de deux villages de Marcei (1).

Vaucouleurs (1). Il y a quatre seigneuries, dun, dans une bulle de Léon IX de l'an dont trois sont du Barrois. Le roi est sei-1049: Villam Marseium, et quidquid ad gneur de deux, de l'une comme duc de illam pertinet. Bar, qui est de l'office et prévôté de Gondrecourt, et de l'autre comme comte de Ligni, qui est de l'office et comté de Ligni. Il y a un château nommé Marcei proLa paroisse a pour patron saint Pan-che Longwy, entre Verdun et Luxembourg, duquel dépendait les terres d'OtFrançois de Lorraine comme gouver-tenge et de Cutri. La maison de Marcei a neur du Barrois, érigea un marché toutes produit Albert, évêque de Verdun, en les semaines à Mauvage au jour de mardi, 1556 et divers autres seigneurs de réet deux foires, l'une au jour de saint putation. Voyez l'histoire de Verdun, Nicolas de mai, et l'autre au jour de saint p. 259. Jean, à la fin du mois de juin.

taléon.

Il y a apparence que les lieux nommés MAXEI SUR-VOISE. - Maxei-sur-Marcei ou Maxei, dérivent de Mercatum, Voise, village à une lieue de Vaucou-qui dans la basse latinité signifie un marleurs, répondant à Gondrecourt, nommé ché, ou de marchesium, qui signifie un en latin Marceium suprà Vesiam, pour marais, un lieu boueux et marécageux, le distinguer d'un autre Maxei, situé sur ou marchesia, du marsage, des grains la Meuse, où la Verre se joint à la Meuse qui se sèment au mois de mars , pour sous Brixei, prévôté de Ruppes, répon- les distinguer du froment qui se sème en dant à Neufchâteau, et dont nous par- l'arrière saison. lerons ci-après.

MAXIMIN, (SAINT) abbaye près la Maxei, ou Macei-sur-Voise, est du dio-ville de Trèves. L'abbaye de saint cèse de Toul, office et prévôté de Gon-Maximin près la porte de Trèves, est drecourt, pour la partie dont le roi est certainement ou le premier ou un des seigneur, et juridiction des juges gardes premiers monastères de l'Europe. On ignore des seigneurs pour leur part. Bailliage le temps précis et l'auteur de sa fondade saint Thiébaut, recette de Bourmont, tion. Les uns l'attribuent à saint Agrèce, présidial de la Marche, parlement de archevêque de Trèves, qui vivait en 314 Paris. et qui amena à Trèves un moine d'Antioche, nommé Jean; on dit que Felicius, ou Fibicius, archevêque de Trèves avait gouverné ce monastère dès l'an 540.

La paroisse a pour patron saint Pierre. MAXEI-SUR-MEUSE. Maxei, ou Macei-sur-Meuse, Marceium ad Mosam, village où le Verre se joint à la Meuse, prévôté de Ruppes, répondant au bail- La plupart en attribuent la fondation à liage de Neufchâteau. La paroisse a pour l'empereur Constantin et à sa mère sainte patron la Sainte Vierge en son assomption. Hélène; d'autres croient qu'il doit son Intendance de Champagne, officialité de origine à saint Athanase, qui ayant été Vaucouleurs. exilé à Trèves, par l'empereur Constance, Il est parlé d'un Marcei, comme appar- en l'an 356 y apporta la connaissance tenant à l'abbaye de Juvigni au diocèse de du grand saint Antoine, père de la vie Verdun, sous l'an 1096 (2): In Merecio monastique et des moines d'orient, et tres mansi cum Ecclesia.

inspira à plusieurs personnes le désir de

Et encore d'un autre Marcei apparte-les imiter. nant à l'abbaye de saint Maur de Ver

(1) Maillet, Pouillé, p. 289.

(2) Hist. de Lorr., t. 1, p. 508. Preuves.

Ce fameux monastère fut d'abord consacré à Dieu sous l'invocation de saint (1) Hist. de Verdun, p. 9. Preuve.

Jean l'évangéliste. On ne lui donna le craigne ou Mécrin, village situé sur le nom de saint Maximin, que depuis que chemin de Commercy à St. Mihiel, sur le corps de ce saint évêque y fut rap-la rive orientale de la Meuse, diocèse de porté du Poitou, où il était mort vers Verdun, doyenné d'Hatton-châtel, une l'an 347. Il fut rapporté par saint Pau-lieue au-dessus de St. Mihiel, Barrois lin son successeur en 347 ou 348. Je trouve que le même monastère était aussi nommé de saint Hilaire. Voyez l'histoire de Lorraine, tome 3, p. 5 et 157. Preuves: apparemment à cause que saint Adolin qui donnait le nom de saint Hi-laire au monastère qu'il réformait, y mit la réforme.

non-mouvant. Il y a dans ce lieu un château avec fossés et pont-levis, bâti par Robert, duc de Bar en 1390.

Il déchargea en même temps les habitants de Mécrin du service qu'ils devaient auparavant au château de St.-Mihiel, et les obligea à la garde, jour et nuit, du nouveau château de Mécrin, et leur remet d'autres cens et redevances qu'ils lui devaient.

L'église a l'air antique : on la croit du dixième ou douzième siècle. Dans l'intérieur du château se voient plusieurs maisons habitées par des gens du lieu. On y remarque en particulier la maison curiale, mais le curé ne l'occupe pas à présent.

On assure que saint Hidulphe, archevêque de Trèves, rassembla dans l'abbaye de saint Maximin jusqu'à cent religieux, après quoi il se retira dans les montagnes de Vôge, où il fonda l'abbaye də Moyenmoutier. Je n'entreprends pas de donner ici l'histoire complète de l'abbaye de saint Maximin. Je remarquerai seulement qu'elle a essuyé, dans une si longue suite d'années, une infinité de vi→ Brasseite, église succursale, dépencissitudes; que les archevêques de Trèves dante de la cure de Mécrin, patron saint ont fait diverses tentatives pour la sou-Léonard. Il y a dans ce lieu environ 80 mettre à leur juridiction, et même pour habitants. M. Paris en est seigneur haut, faire unir ses revenus à leur crosse ar- moyen et bas justicier. Il y a un moulin chiepiscopal; mais que les abbés de saint à l'ordre de Malthe, apparemment à cause Maximin se sont toujours maintenus dans de la commanderie de Marbotte.

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leur indépendance, et que l'observance MEINFELD ou MUNSTER-MEINde la règle de saint Benoit s'y est conser- FELD. Meinfeld est une ville située vée dans sa pureté jusqu'aujourd'hui. On dans le pays de Trèves sur la Moselle, peut voir notre histoire de Lorraine, et près du lieu où saint Nicetius, archevêcelle du Luxembourg, du révérend père que de Trèves, båtit un château sur la Bertholet.

Nous avons donné à la tête du troisième tome de l'histoire de Lorraine, la liste chronologique des abbés de saint Maximin.

ou

rive gauche de la Moselle, en un lieu nommé en allemand Bischoffstein, la roche de l'évêque. Venance Fortunat dit que ce château était environné de la Moselle, et de la petite rivière de MAZIROT. -. Mazirot, village ré- Rhon (1). Quem musella tumens Rhopondant à Mirecourt, diocèse de Toul, danus quoque parvulus ambit. Près de patron, saint Pierre-aux-Liens. Seigneur, là se voit la campagne de Meinfeld, M. Mauleon de la Bastide, et le sieur qui est d'une fertilité extraordinaire. Prudhomme. Bailliage de Mirecourt, cour Brouverus croit que Venance a voulu exsouveraine de Lorraine. La maison de primer Meinfeld sous le nom de MedioMazirot porte de gueules à l'écu d'argent lanus.

mis en abyme.

Dépend Chaussécourt ou Chauvecourt. (2) Venant-Fortunat. de Castello Nicetii MECRAIGNE ou MÉCRIN. Mé- carmine.

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