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dessous de Sierk, sur la Moselle et sur le quentée, à cause des grands miracles quí chemin de Trèves. s'y faisaient journellement. L'église était belle et grande; la nef tomba de pure caducité, le 28 janvier 1738; le chœur et la croisée qui sont bien voûtés, et de fort bon goût, subsistent encore aujourd'hui. Le village de Mervaville est entièrement ruiné; on n'y voit plus que le logement du prieur, une tuilerie abandonnée, et quelques maisons pour des fermiers.

Il y a à Mertzkirck, un ancien château ruiné, dont on ne connaît pas le fondateur. L'église du lieu a un grand air d'antiquité, bâtie de pierres de tailles, et ornée de quatre tours. La tradition du pays veut qu'elle ait été bâtie par le roi Dagobert; la preuve qu'on en donne, est qu'on y voit dans certains endroits des espèces de fleurs de lys; il en faut conclure que l'ouvrage n'est pas de Dagobert, car alors il n'était pas question de fleurs de lys dans l'écusson des rois de France.

On dit que le nom de Mervaville lui a été donné à cause des merveilles qui s'y opéraient par l'intercession de la SainteVierge.

On nous a fait présent de quelques ha- Le village de Mervaville subsistait encore ches d'armes de pierre, qu'on a trouvées en 1615, et il y a apparence qu'il ne fut dans les champs de Mertzkirck; ces haches ruiné que pendant les guerres de Lorraine, sont de différentes grosseurs, de grains et sous le duc Charles IV, durant les sièges de pierres différentes. On sait qu'autrefois du château de Moyen, en 1635, et 1639. les métaux de fer et d'airain étaient beau- MERVILLER, voyez BROUVILLE coup plus rares qu'aujourd'hui, et que l'on METLOCH.-L'abbaye de Metloch(1), se servait de pierres tranchantes, et de ha- est ainsi nommée parce qu'anciennement ches à la guerre, faute d'armes de fer et elle était située comme au milieu d'un d'airain. Parmi les Hébreux on donnait lac, aujourd'hui desséché; ce monastère assez souvent la circoncision avec des est très-ancien, on en attribue la fondation couteaux de pierre. Les auteurs profanes à saint Luitvin, successeur de saint Basin en font aussi mention pour de semblables usages aux prêtres de Cybèle. Voyez de Montfaucon, Antiquité expliquée, tom. 4, pag. 69, tom. 5, pag. 194, 195. et suplément tom. 4, pag. 129, etc.

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dans l'archevêché de Trèves, vers l'an 697. S. Luitvin se retira dans cette abbaye qu'il avait fondée, et y pratiqua pendant quelque temps les exercices de la vie monastique. Après l'abdication de son oncle saint Basin, il fut élu archevêque de Trèves en 697. Metloch fut dans la suite comme le séminaire d'ou l'on tirait les archevêques de Trèves.

Metloch est en règle, et non réformée, sous la domination des ducs de Lorraine. On y voit quelques restes d'antiquités, surtout dans une église heptagone, où il y a d'anciens tombeaux On y conserve aussi quelques manuscrits, et elle a produit des écrivains ecclésiastiques, et des hommes illustres, dont nous avons parlé dans la Bibliothèque Lorraine.

METZ. (HISTOIRE DE LA VILLE DE). Les chroniques de Metz donnent à cette ville une antiquité fabuleuse; elles

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(1) Hist. de Lorr. t. 1. pag. 463.

portent que ceux qui la fondèrent, étaient Verdun. Je ne m'arrête pas à réfuter ces venus de la confusion qui arriva à la tour fables. -de Babel, ainsi que le raconte un philoso

Les mêmes chroniques de Metz veulent phe juif, Ezycivius, ainsi qu'il l'a trouvé qu'un général romain nommé Metius, fit en très-vieux gestes des Messins; et que la conquête de Dividunum, dans le temps ces choses sont démontrées en de très-an- que Jules-César, faisait la guerre dans ciens livres bien écrits en hébreu, et ainsi les Gaules, la ruina, et en renversa les qu'on voit clairement aujourd'hui en re-murs: gardant les murailles très-anciennes.

en

Ces chroniques portent donc que l'an du monde 1995, ou 1997, Noé étant encore en vie, trois de ses petits fils, fans de Sem, savoir: Mesres, Thémosis et Horus, (ou selon d'autres, Guetel, Jazel, et Zélecque fils aîné de Sem) avec leur tante, sœur de Sem, nommée Azita, après avoir erré long-temps, arrivèrent enfin en un lieu agréable, situé entre les fleuves de Moselle et de Seille, où l'on voit aujourd'hui la ville de Metz. Ils la båtirent et la nommèrent Dividunum.

Pour Azita, elle båtit les arches de Joui, comme nous le dirons ci-après; ainsi Dividunum, aujourd'hui Metz, est de beaucoup plus ancienne Rome: que Longo Dividunum præcedit tempore Romam.

vint

Du vivant du patriarche Abraham, dans le même pays un nommé Trèbes, qui fonda la ville de Trèves; elle fut fon1300 ans avant Rome, comme il parait par ce vers fameux :

Ante Romam Treviris stetit annis mille trecentis.

Tempore quo Cæsar sua Gallis intulit

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Venons à quelque chose de plus sérieux et de plus certain.

La ville de Metz, fut anciennement nommée Divodurum; ensuite Mediomatricum, ou plutôt civitas Mediomatricum, uo Mediomatricorum, la cité des Médiomatriciens, et enfin Metis, ou Mettis, aujourd'hui Metz.

Il est inutile de chercher les étymologies de ces noms, sur lesquels on n'a rien de certain. J'ai deux médailles de la ville de Metz, très-anciennes, en bronze, jetées en fonte, et non frappées au coin, qui portent d'un côté le cheval Pégase, avec ses ailes étendues, et au-dessous MEDIOMAT. Sur le revers est une tête sans barbe avec un casque orné d'une aigrette, et d'un espèce de diadême. Je crois que cette Après la prise de Troie par les Grecs, médaille, est du temps que Metz était ville on vit arriver dans ce pays des princes sor alliée des Romains; Tacit. l. 4. hist. c. tis de cette fameuse ville, savoir: Franco-70. Legiones in Mediomatricos sociam cinius, fils d'Hector qui donna son nom à vitatem abcessére: elle portait plus comla France; Priamus qui donna le sien à munément le nom de Divodurum, elle Paris, en mémoire du beau Paris. Son ne prit celui de Mediomatrices que plus frère était Rhemus, fondateur de la ville tard. de Rheims, l'autre se nommait Chamus, Dès le troisième et quatrième siècle (1), fondateur de Châlons-sur-Marne, l'autre on trouve dans les notices le nom de Menommé Troclus, fonda Troyes en Cham-tis; mais le nom de Mediomatrices, ou pagne, Serpanus et Lupardus, frères, Mediomatrici se voit encore plus tard dans batirent la ville de Charpagne. des monuments du onzième siècle.

Une autre colonie ayant à sa tête Tullus et Verdunus, fonda les villes de Toul et

(1) Vales. notit. Gallic. pag 328.

Les Médiomatriciens avaient pour capi-prélats par leurs libéralités ont beaucoup tale Divodurum, selon Tacite: Divodu- augmenté les biens de cet évêché, déjà rum (Mediomatricum id oppidum est). fort riche par lui-même. On les a vu souElle est située sur la Moselle, qui vent faire la guerre à leurs voisins, fonder l'arrose au couchant, et sur la Seille qui la des monastères et des églises collégiales, baigne à l'orient et au midi: Venance For-user des droits régaliens, frapper monnaie, tunat (1), en décrit élégamment l'agréable faire la guerre et la paix, établir des lois, situation. On peut juger de sa grandeur et avoir séance dans les Diètes de l'empire, de sa puissance, par ce que dit Tacite : que fournir leur contingent pour les frais des les légions romaines de Vitellius y étant armées de l'Empire, etc. arrivées, y égorgèrent quatre mille habi- Les évêques de Metz exerçaïent ancientans, à propos de rien, et par une pure nement leur juridiction spirituelle sur plufureur militaire, s'imaginant apparemment sieurs églises d'Alsace, qui sont aujourque les citoyens de cette ville avaient cons-d'hui sous la juridiction de l'évêque de piré leur perte, quoique ce fut une ville Strasbourg: ce dernier évêché ne fut fondé, alliée des Romains, qui en demeurèrent ou plutôt doté que par le roi Dagobert II, les maîtrǝs jusqu'à l'irruption des Huns, qui y donna pour évêque saint Arbogaste, qui la prirent et la saccagèrent. que quelques-uns comptent pour le preLes Français s'en saisirent quelque mier évêque de Strasbourg, qui vivait temps après, et s'y sont maintenus jus-au septième siècle, et mourut en 679. qu'aujourd'hui. Thierri, fils de Clovis, en Nous n'ignorons pas ce que l'on raconte fit la capitale de son royaume d'Austrade saint Materne, que l'on dit avoir été sie (1). Après la décadence de la maison de envoyé de Rome à Strasbourg par l'apôtre Charlemagne, Metz fut sous la puissance saint Pierre, y avoir annoncé la foi et aux du roi de Germanie, ou des empereurs environs, et y avoir fondé un évêché ; d'Allemagne. mais on forme sur ce sujet des difficultés Il y a assez d'apparence que Metz devint que nous ne prétendons pas discuter ici. ville impériale, lorsqu'elle passa sous la Il nous suffit de montrer qu'encore longdomination des Othons, empereurs d'Al- temps après saint Amand, premier évêque lemagne, vers l'an 936, ou assez long-de Strasbourg, les évêques de Metz ont temps après, car il est malaisé de fixer le été reconnus pour seigneurs temporels et temps précis de cette érection de Metz en spirituels, à Saverne, dans les abbayes de ville impériale. Neuviller, et de Marmoutier, à Dasbourg, Les évêques de Metz, pour la plupart aux châteaux de Gerolsek, etc. C'est ce furent très-puissans et de très-grande nais-que reconnaissent les auteurs qui ont écrit sance; car depuis Drogon, fils de Charle-exprès l'histoire d'Alsace, comme Wimmagne, et frère de l'empereur Louis le phelingius, Beatus Rhenanus, Bruschius, Débonnaire, on vit presque toujours des Meurisse, suffragant de Metz, et en derprinces et des seigneurs sortis de maisons nier lieu Daniel Scheflin dans son histoire souveraines, occuper le siége de Metz. On d'Alsace, tom. 1. pp. 338, 346, 547, compte jusqu'à cinq ou six évêques de Metz, qui ont porté le titre d'archevêques; plusieurs ont été tirés des maisons de Lor raine, de Bar, de Flandres, de Luxembourg, de Bade, de Blamont, etc., et ces

(1) Venant. 1. 3. ad villicum Episc. Met. carmine XII.

(2) Idac. chronic. Aimon. 1. 3. c. r. Greg. Turon. histor. Franc. 1. 1. c. 3. hist. Metz a Paul. Discono, etc.

où il montre que les premiers évêques de Strasbourg, saint Arbogaste, Florin, Videgerne, vivaient au huitème siècle; car pour saint Amand qui vivait sous Dagobert premier, c'était un évêque régio– naire, qui n'avait point de siége fixe arrêté.

D'autres au contraire, comme les auteurs de Gallia Christiana, tome 5. p. 778. 779, donnent pour premier évêque de

Strasbourg, après saint Materne, saint Amand, qui en 546, assista au concile de Cologne, et qui est fort différent de saint Amand évêque d'Utrecht. Il nous suffit de montrer ici que l'évêque de Metz exerçait sa juridiction spirituelle sur plusieurs églises de l'évêché de Strasbourg, encore assez long-temps après saint Amand et saint Arbogaste.

Tout le monde sait que l'évêque Bertrand, qui a siégé depuis 1187 jusqu'en 4210 est considéré comme le législataur de la ville de Metz, que c'est lui qui y a réglé la manière d'élire les magistrats, d'administrer la justice, de rédiger par écrit les traités et les contrats.

fit entendre que cette ville était de l'ancien domaine de Lorraine, et qu'elle s'en était soustraite par quelques sommes d'argent, qu'elle avait prêtées au duc Godefroi de Bouillon, lorsqu'il entreprit le voyage d'outre-mer. Je ne sais si René employa ces raisons, mais elles ne sont nullement certaines. On ne voit pas que la ville de Metz ait jamais fait partie du domaine des anciens ducs de Lorraine.

Metz a eu l'avantage d'être du nombre des villes impériales, et elle était même, suivant le témoignage des auteurs allemands, l'une des quatre villes appelées impériales par prééminence, Sant quoque, disent-ils, Imperii civitates, quæ priIl est vrai que depuis que la ville de mariæ et speciali privilegio, per excelMetz s'est mise en possession du droit de lentiam, imperii civitates dicuntur; nempe commune, et qu'elle a été érigée en Augusta, Aquisgranum, Metis et Lubeca. ville impériale, elle a beaucoup aug-Aussi l'empereur Charles IV en fit-il choix menté son autorité, et a exercé les droits pour y faire publier dans la Diète généde régale; et cela pour l'ordinaire aux rale qu'il y convoqua à la fin du mois dépens de l'autorité épiscopale, comme de décembre 1356 les sept derniers chaon le va voir par l'écrit que nous al-pitres de la célébre Bulle d'or, qui est lons donner et qui a été composé à l'oc- regardée comme la première des lois casion des difficultés mues entre la ville fondamentales de l'empire germanique. et le parlement de Metz, contre les pré tentions de M. de St.-Simon, évêque de cette ville, qui voulait prendre le nom et la qualité de prince de Metz, qui lui a été en effet adjugée par arrêt du conseil du roi. Mémoire sur l'état de la ville de Metz et les droits de ses évéques, avant l'heureux retour des trois évéchés sous la domination de nos rois.

C'est à ce titre de ville libre impériale, que Metz avait voix et séance aux Diètes de l'empire, et qu'elle jouissait dans son territoire de tous les droits régaliens, ce qui n'appartient qu'aux états immédiats.

Son droit de séance et de suffrage est bien démontré par les lettres qu'elle a reçues des directeurs du cercle du Rhin, dont elle faisait partie; et par les manLes villes qui ne reconnaissent d'autres demens qui lui ont été adressés par les puissances que l'empereur et l'empire, empereurs ès années 1446, 63, 86, 89, qui ont droit de séance et de suffrage 93, 95 et 96, 1503, 1508, 9, 11, 12, dans les Diètes, et qui possèdent sou-15, 17, 18, 25, 25, 26, 28, 29, 31, verainement les régales dans leurs terri- 32, 42, 43, 46 et 51, soit pour fournir toires, sont villes libres impériales. son contingent, soit pour envoyer ses Celles qui au contraire reconnaissent la députés aux Diètes et journées tant im- supériorité des princes ou des états par- périales que circulaires, convoquées à - ticuliers, ne sont que municipales. Worms, Spire, Mayence, Nuremberg,

Du Haillan, et Nicolas Giles, rap-Ausbourg, Cologne, Ulm, etc. aux fins portent que le duc René I pour engager d'y traiter avec les autres états de l'emle roi Charles VII à se joindre à lui pire, des affaires qui le concernaient; et pour faire le siége de Metz en 1444, lui dont les armes de la France, portées en

Italie, l'invasion du Turc, et le dessein | après la saint André 1516 et du samedí formé par les Suisses de se soustraire à devant la division des apôtres 1322. l'empire, ne formaient pas les moindres Le Princier et les cinq abbés élisaient cbjets. annuellement le 21 mars chacun une per

Ces lettres et ces mandemens, les ins-sonne, du nombre de six, choisis du Patructions de la ville à ses députés aux raige, dont le maître échevin devait être Diètes, et les comptes des frais de dépu- tiré en cette année; le nom de ces six tation, se conservent dans ses archives personnes était écrit séparément sur auavec les départs de ces mêmes Diètes; tant de petits rouleaux de parchemin, et l'on y voit encore des lettres de créance qui étaient mis ensuite dans un chaperon datées d'Ausbourg du 26 juin 1496 sur ou boête, dont le Princier en tirait un au les personnes de Philippe, Louis et Ja-sort, et celui dont ce rouleau contenait cob Baudran, envoyés par l'empereur le nom, était proclamé maître échevin; Maximilien à la ville de Metz, touchant en cas d'absence du Princier et des abbés, des affaires particulières de l'empire. ils étaient remplacés par d'autres électeurs également désintéressés et déterminés par ces absens.

La supériorité territoriale, et les droits régaliens, dont Metz jouissait souverainement, comme état de l'empire, sont Les Paraiges (appellés par les empereurs soutenus de preuves également authenti- Parentela) étaient des espèces de tribus, ques; on les rapportera à mesure que à l'imitation des romaines; il y en avait l'on établira l'exercice de chacun de ces six, dont cinq étaient composés de nodroits. bles et notables bourgeois, et le sixième du commun.

1

L'on commence par celui de la création des officiers. Le maître échevin, chef de Les cinq premiers s'assemblaient dans la république, était annuel et élu par le différens quartiers dont ils tiraient leur Princier de la cathédrale, et par les ab-¡ dénomination; ils avaient chacun diffébés de Gorze, de Saint-Vincent, de Saint-rens chefs d'hôtel, et leur sceau partiArnou, de Saint-Symphorien et de Saint-culier; celui du Paraige de Porte-MoClément, nommés électeurs perpétuels, d'un commun accord de toute la cité, dans la vue de prévenir les brigues et les dissentions si ordinaires dans une élection de cette importance. La forme de cette élection, qui fut confirmée par les lettres de l'empereur Frederic Barbe-rousse, données à Constance le quatorzième des calendes de mai 1181, a été encore perfectionnée par les atours (1) du vendredi

(1) Atour, de l'an 1316. Il y en a d'autres des années 1250, 1314, 1326, 1346, 1358, 1406, 1429, etc. Ce terme atour, signifie une loi, ou réglement de police; il dérive apparemment de l'hébreu torah, une loi, ou hattorah, la loi. On remarque plus d'un nom dérivé de l'hébreu dans le langage de Metz, où il y a eu des juifs depuis long-temps.

Les mots atornare, atournare, attournatio, attournatus, attornamentum, se remarquent souvent dans les anciens titres de France et d'Angleterre, et ils se prennent ordinairement

selle, était de quatre bandes en face; celui de Juirue, une aigle sans membres; celui de Saint-Martin, trois besans, dont le premier était chargé d'une croix; celui de Porte-Seille, une tour crénelée, et celui d'Outre-Seille, un écusson chargé de chevrons. Le grand sceau commun de la cité, était la représentation du martyre de saint Etienne; et le scel secret, qui servait aussi de contre-scel, portait l'effigie de saint Paul; la ville avait pour armes un écusson mi-parti d'argent et de sable sur l'aigle impériale, qui seule, dans les principes d'allemagne, suffit pour prouver l'immédiateté.

pour marquer un procureur, un homme chargé de poursuivre les affaires d'un autre. Mais on ne voit pas bien d'où ce terme, pris en ce sens, peut dériver. Voyez la nouvelle édition du Glossaire de Ducange, sous le mot attornare.

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