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Pendant les brouilleries arrivées en le grand chapitre de Trèves. Le ban de Lorraine, à l'occasion du mariage du duc Viviers contient environ soixante-dix haCharles IV, avec la princesse Nicole sa bitans.

cousine germaine, la princesse Christi- La vouerie du ban de Viviers appartene de Salm, épouse du prince François nait aux comtes de Bar. Nous trouvons de Vaudémont, père de Charles IV, se qu'en 1324, Raimond de Villette écuyer, retira avec ses enfans au château de Vi- et Jeanne sa femme, fille de Henri Deviers, où le prince son mari lui écri- vaux écuyer, vendirent a Edouard comvit de prendre garde à elle et à ses en- te de Bar, tout ce qu'ils possédaient à Vifans, et de ne se fier à toutes gens. En viers. effet on avait apposté des gens armés pour l'enlever.

Viviers-le-Gras. On connaît encore dans cette province d'autres lieux du nom de Viviers. Tels sont Viviers-le-Gras, Vivarium Pingue, village deux lieues au

L'église paroissiale de Viviers-le-Gras a pour patron Saint Elophe. Seigneur le prieur de Relanges Il y a dans l'église la chapelle de St. Claude et de St. Nicolas, fondée en 1627, par Noël du Chêne, curé du lieu,

Durant la guerre du même duc Charles IV contre la France, les Français surprirent le château de Viviers; Charles y nord-ouest de Darney, à trois de la Marche, rentra en 1635, et M. du Hallier, gou- diocèse de Toul, bailliage de Darney, verneur de Nancy, l'ayant attaqué en cour souveraine de Nancy. 1642, le força et le rasa de fond en comble. C'était la seule maison de plaisance qui fut laissée au duc après la démolition de toutes les autres: Le duc avait fait à la garnison de très-expresses défenses de recevoir les ennemis. Cette place fut emportée de force, au mois de juillet 1642. Ce château était fortifié de bonnes murailles, et environné de fossés remplis d'eau. Le corps de la place avait sept bastions et les cours en avaient six. Le village n'était pas compris dans ces fortifications. Nous ayons un plan de ce château avant sa démolition, qui est très-bien fait.

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La baronie de Viviers a été possédée pendant plusieurs siècles par la maison de Salm.

Viviers-les-Offroicourt, village deux lieues au sud-ouest de Mirecourt, diocèse de Toul; la paroisse a pour patron St. Evre.

Viviers est du bailliage de Mirecourt, cour souveraine de Nancy. Seigneurs, le roi et M. de Sommièvre.

Le Viviers, village, ban et communauté d'Etival, à trois lieues de St.-Dié. Ce village est du district et de la juridiction spirituelle de l'abbaye d'Etival, orLa terre de Viviers a été possédée par dre de prémontré. L'office de la paroisse la maison de Salm jusqu'en 1597, qu'el- se fait dans l'église abbatiale, en une chale entra dans celle de Lorraine, par le ma-pelle particulière dédiée à la Ste-Vierge en riage de François de Lorraine, comte son Assomption.

de Vaudémont, qui fut père du duc La paroisse du Viviers avait autrefois Charles IV, avec Christienne de Salm, pour succursales les églises de Saint-Mifille de Paul comte de Salm et de Marie chel, de Nompatelise, de Saint-Remi, le Veneur. de la Burgonce et de la Neuville lezViviers-sur-Chiers, village, chef-Raon-l'Etappe, qui ont été érigées en lieu d'un ban que la Chiers traverse, vicairies. trois quarts de lieues au-dessus de Lon- VOCHEREN.- Vocheren, village du guyon; il est composé de Viviers, Brau-diocèse de Trèves, communauté de Mersmont et Revémont; diocèse de Trèves, weiller, bailliage de Bouzonville, cour bailliage de Longuyon, cour souveraine souveraine de Lorraine. Ce village est mide Nancy; les seigneurs, sont, le roi et partie avec le Luxembourg, à une lieue et

demie au nord-est de Sierok, à six del Void est très-ancien, et on le trouve dès Bouzonville. le temps de Theutfride évêque de Toul , VOEL ET BROVILLE. Voël qui vivait l'an 627, et qui obtint du roi village du diocèse de Verdun, à une Dagobert pour son église de Toul, le pademi-lieue de l'étang de la Chaus-lais royal de Novient, situé dans le pays sée, quatre lieues au nord-est de St.- de Beden, sur un petit ruisseau nommé Mihiel. Saint Gorgon est patron de Vidus: Dedit etiam Rex (Dagobertus) la paroisse. interveniente eodem venerando Antislite Voël a pour annexe Doncourt-aux-(Theofrido), fiscum nominatum NovianTempliers, dont l'église a pour patron St. tum in pago Bedensi super fluviolum ViMaurice. dum cum Palatio regio et Ecclesiis ibidem constructis, et omni apparatu Ecclesiastico (1). Une chartre de Charlemagne de l'an 804, lui donne aussi le nom Broville, hameau, communauté de de palais royal. Charles-le-Gros le nomme Voël, à une lieue d'Hattonchâtel. Voël et Novientus; et le roi Charles-le-Simple, ses annexes sont du ressort du bailliage de dans un titre de l'an 922 (2), par lequel Saint-Mihiel, cour souveraine de Nan-il confirme le privilège accordé par Charcy, sous la coutume de Sainte-Croix de les-le-Chauve, en faveur de l'église de Verdun.

Aviller église succursale alternative avec la paroisse de St.-Maurice, dépend de cette paroisse.

Toul, lui donne le même nom : Villam Noviantum cum Ecclesia, omnibusque appenditiis suis, cum rivulo nominato Vido per eamdem villam decurrente ad piscationem.

Void est situé dans le pays de Beden,

On trouve des lettres des habitans de Voël et de Broville, du 4 septembre 1389, par lesquelles ils se mettent sous la protection de Robert, duc de Bar, moyennant un cens d'un franchart de froment et autant d'avoine, que cha-in Pago Bedensi, qui eut dans la suite le cun laboureur desdits lieux s'oblige à lui payer par an à la saint Martin; et une livre de cire qui doit être payée par les autres habitans, qui ne sont point labou

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titre de comté; il s'étend sur les bords de la Meuse, et du côté de l'occident vers l'Orncis et dans le Barrois. Commercy, Void et Sorcy étaient dans le pays du comté de Beden.

On ignore l'origine de ce nom de Beden; car dans l'étendue de ce canton on ne trouve aucun nom qui approche de Beden, sinon Void, nommé anciennement Novientum, et à présent Vodium ou Vidum. On trouve dans le Luxembourg un pays nommé Beden ou Beda, qui se trouve dans l'Itinéraire d'Ethicus. L'abbaye d'Epternach dans le duché de Luxembourg, est située dans le. Beden : on connait aussi Bedagova, situé dans le pays de Trèves, entre Andernach et Meyn, et encore d'autres lieux, qu'il ne faut pas confondre avec le Beden, dont nous parlons.

(1) Hist. de Toul, p. 259.

(2) Histoire de Lorraine. tom. 2. p. clxxij. preuves.

Le bourg et le château de Void appar-bourg de Void et de lever le siége du tiennent au chapitre de la cathédrale de château, ce qui fut exécuté de concert Toul, qui y a ordinairement un cha-avec l'emmpereur Venceslas, qui était noine résident, qui y exerce, ou fait alors à Paris. Tout ceci arriva en 1381 exercer la justice dans le bourg et dans et 1382. les dépendances, au nom du chapitre.

En 1526 (1), la guerre ayant recom→ mencé entre l'empereur Charles V et le roi de France, presque toute l'Europe se trouva dans l'obligation d'y prendre part. Il n'y eut qu'Antoine duc de Lorraine qui non seulement demeura dans une exacte neutralité, mais refusa d'entrer

En 1226, les mêmes chanoines de Toul, cédèrent au duc de Bar, la sauvegarde du chateau de Void, et des lieux qui en dépendent (1), à charge de le rendre à la première réquisition, de n'y faire entrer que dix hommes d'armes, du gré des chanoines, et de ne faire marcher dans la ligue du roi de France avec le en guerre aucun de leurs sujets, sans leur pape, les Vénitiens, le roi d'Angleterre et exprès consentement. Le comte de Bar le duc de Milan. Il prit aussi toutes les promit réciproquement aux chanoines de mesures pour éloigner la guerre de ses les défendre envers et contre tous, excepté états; et ayant eu avis que le roi de Franle roi de France, l'empereur et les évêques ce avait donné ordre à ses troupes de de Metz et de Verdun, desquels il tenait Champagne, d'entrer sur les terres des des fiefs. trois évêchés de Toul, Metz et Verdun,

Pour récompense de sa sauve-garde, il donna avis aux chanoines de Toul on lui accorda sur chaque feu une me- qn'un corps de Bourguignons marchait sure d'avoine, une poule et un sol tou-en diligence pour se saisir de leur lois. Le traité fut confirmé par Conrade, forteresse de Void; qu'ils n'avaient légat du pape au concile de Mayence, qu'un seul moyen de les empêcher, qui où Eudes de Sorcy, évêque de Toul, était de la lui livrer pour la défendre. avait été invité, avec les prélats d'Alle

magne.

L'évêque Hector d'Ailly, qui était alors à Nancy, sollicita les chanoines d'accepter l'offre du prince; ils le firent et consentirent que Philippe de Monson y entrat au nom du duc Antoine. L'évêque Hector d'Ailly en usa de même pour sa forteresse de Liverdun; il la mit entre les mains de Philbert de Haraucourt, ce qui empêcha que les troupes de France n'y entrassent et ne s'en servissent pour engager le pays dans la guerre.

Pendant le grand schisme d'Occident, Jean de Neufchâtel, évêque de Toul, et le chapitre de la même ville, suivirent l'obédience de Clément VII, pendant que la plupart des bourgeois suivaient le parti d'Urbain VI, aussi bien que l'empereur Venceslas. Ce prince envoya ordre à son capitaine général, des villes de Luxembourg et de Thionville, de déclarer la guerre à l'évêque et aux chanoi- En 1500, René II, duc de Lorraine, nes de Toul. Après diverses hostilités, père du duc Antoine, avait demandé aux Huë d'Autel, sénéchal de l'empereur chanoines de Toul, qu'ils lui vendissent Venceslas, vint avec mille lances assiéger le château de Void, dans la crainte que le château de Void, qui appartenait aux les Français n'y missent garnison. Le chanoines. Ceux-ci eurent recours au chapitre s'en excusa, et le duc se saisit roi de France comme protecteur de par surprise de la forteresse, et y fit enleur église, qui dépêcha au bailli de trer Colignon de Ville avec cent cinquanChaumont, de faire commandement au te bommes; il s'empara en même temps sénéchal de Luxembourg d'évacuer le du château de Vicherey, sous prétexte de (1) Histoire de Lorraine, teme v. pages 522. 523.

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(1) Hist. de Lorr. t. 3.

p. 87.

le défendre contre les ennemis de l'église de Toul.

Le P. Benoît dans son Histoire des évêques de Toul, page 74, dit que les aventuriers conduits par Pierre de Bar, assiégèrent le château de Void vers les années 1572 et 1373, mais inutilement; il ajoute que Jean, duc de Lorraine, et Robert duc de Bar, furent aussi obligés en 1578, de lever le siége qu'ils y avaient mis. Le damoiseau de Commercy et le comte de Ligny ne furent pas plus heureux dans les tentatives qu'ils firent en 1585, pour surprendre cette place.

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L'église paroissiale de Void est bátie dans le château. Cette place, sur le pied où sont les choses, et de la manière dont on fait aujourd'hui la guerre, ne peut plus passer pour une forteresse de défense; elle est de forme quadrangulaire, flanquée de bonnes tours, avec des fossés remplis d'eau. Il est croyable que ce château avait été bâti par les Romains puisque les rois d'Austrasie de la première race le possédaient, et en firent présent à l'église de Toul. Sa situation sur la route de France le rendait important pour défendre l'entrée de ce royauEn 1545, l'empereur Charles-Quint me. Il est à quatre lieues de Toul et à une envoya un corps de troupes Espagnoles bonne de Commercy, à mille pas de la dans l'évêché de Toul, avec ordre d'at-Meuse. L'évêque et les chanoines de Toul taquer la forteresse de Void, si on leur en le possédèrent jusqu'à ce que les rois de refusait l'entrée (1). Le chapitre exact à observer la neutralité, ordonna au prévôt chanoine qui y commandait, de tenir bon. Les Espagnols tâchèrent de s'en rendre maîtres par la force; mais la valeur du chanoine rendit leurs efforts inutiles. Le cardinal de Lorraine, le duc de Guise et le conite d'Aumale, envoyés de la part du roi de France, vers le même chapitre de Il y a à Void trois papeteries: on y tient Toul, le sollicitèrent vivement d'accorder marché tous les samedis, et vingt foires la liberté d'y faire entrer garnison Françai-par an; ce bourg contient plus de trois se, mais ils trouvèrent dans les chanoines cents feux. la même fermeté qu'ils avaient fait paraître lorsque l'empereur leur avait fait pareille demande.

France ayant soumis les trois évêchés sous leur obéissance, ont snpprimé toutes ces petites souverainetés qu'on voyait dans le pays.

Il y a dans l'église paroissiale de Void quelques chapelles érigées en titres de bénéfice. L'hôpital, dont le revenu est uni à celui de la ville de Toul.

Langort est un village ruiné, voisin de Void, dont il ne reste qu'une chapelle ou église, et le moulin nommé encore Langort.

Laye, Layum, est un petit village du diocèse de Toul, entre Foug et Pargneysur-Meuse, à deux lieues de Toul, bailliage de Commercy. L'église a pour patron saint Remy. Ce lieu se nomme ordinairement Lay-Saint-Remy-en-Haye, fort différent de Laye-Saint-Christophe près Nancy.

Le comte de Lignéville en 1650, s'empara de la forteresse de Void, qui était défendue par quelques troupes Françaises, de la part du marquis de la Ferté. La même année, M. de la Ferté ayant été blessé au siége de Ligny, laissa le commandement de l'armée à Falkeistein, colonel Allemand, qui alla assiéger le château de Void, où le colonel Garnier commandait un corps de Lorrains, qui se défendirent avec beaucoup de vigueur; mais Garnier ayant été pris la garnison fut obligée de se rendre prisonnière, Eve, était à ce qu'on croit de race royale,

de guerre.

(2) Hist. de Tout. p. 34. 634.

Ourches ou Orcades près de Vaucouleurs. Voyez Ourches.

Odelric ou Udalric fils de la comtesse

descendu de St. Arnoul, il est mort archevêque de Reims.

VOID-D'ECLE (LE).- Est un village

.

sur le Madon, ban et paroisse d'Ecle, à forensis ou Vavrinsis, ou Vabrensis ow deux lieues et demie, et du bailliage de Vaprensis Pagus, le pays de Voivre. Darney-en-Vôges; cour souveraine de Nan-Ce pays est un des plus fertiles de la Lorcy, diocèse de Toul. VOID-DE-GIRANCOURT (LE). raine, et s'étend du midi au nord, entre Est un village situé sur un ruisseau, au rosé de grandes rivières, mais de plusieurs la Meuse et la Moselle; il n'est point arban et de la paroisse de Girancourt, à ruisseaux ou petites rivières, et a quancinq lieues de Darney, deux et demie d'E- tité de d'étangs très-poissonneux. On pinal. VOINEMONT.- Voinemont, Vene-vieut des halliers, ronces et épines, Vepeut croire que le nom de Vepria, lui lümons, village du diocèse de Toul, à pris, dont ce pays était autrefois coudroite du Madon, une lieue au levant de vert. Vézelise, bailliage de la même ville. L'église a pour patron St. Etienne.

Lemainville est annexe de Voinemont, l'église a pour patron St. George. Marquisat d'Haroué.

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Mais aujourd'hui il est très-bien cultivé bourgs, de villages et forêts. Les plus reet contient un grand nombre de villes, de marquables des lieux renfermés dans l'éVOINVILLE.-Voinville, ou Woin-Hattonchátel, Stenay, la Tour-en-Voitendue de la Voivre, sont: Apremont, ville, ou Wainville, village du diocèse vre, Malatour, Fresne-en-Voivre, Vide Verdun, deux lieues au levant de gneulle--en--Voivre, Viéville, Woël, Saint-Mihiel, à la source du Madin, Aviller, Doncourt -- aux marquisat d'Heudicourt, bailliage de St.- Saulx-en-Voiore, Marcheville, MaiTempliers, Mihiel, cour souveraine de Nancy. St. zerez, Parey, Harville, Moulotte, WaPierre est patron de cette paroisse. On donville-en-Voivre, Conflans, Bellancompte en ce lieu environ trente habi- court, Bullion, Fleury-en-Voivre, Un nommé Hugues Maulgarniz d'A-Hatz, Saint-Benoit-en-Voivre, NorroyEssey, Nonsard, la Marche, autrefois premont, fit un échange, au mois de mai le-Sec, Dompaire-en-Voivre, Val-en1234, avec l'abbé Drogon et les religieux | Voivre, etc. de St.-Mihiel, de tout ce qu'il possédait à Voinville.

tans.

pays

de

La Voivre est située entre le VerBeuve ou Beuvin, qui consomma l'éta- duché de Mosellane et le pays de Carmes; dunois, le Toulois, le Scarponois, le blissement du collège de la Marche à Pa- entre les rivières de l'Ottein ou Ostein, ris et qui l'augmenta, était né à Voin-l'Orne et du Cher. I comprenait dans ville. Il était avocat au parlement et rec- son étendue une partie du Toulois, du teur de l'université; il fit bâtir le collége Verdunois, du comté de Castre, du Scarsous le nom de Guillaume de la Marche, ponois et du pays de Carmes ; ainsi il n'est fondateur et son ami. Il y établit six pla-pas étonnant qu'il ait été partagé en deux ces de boursiers étudians, qui doivent être comtés. de Voinville, Buxières et Buxerulle. Beuvin mourut le 8 avril 1432, et fut in-tre Louis-le-Germanique et Charles-lehumé dans le choeur des carmes de la Chauve en 870, il est fait mention des place Maubert. On dit tous les jours deux comtés de Voivre, Vavrenses Codans cette église une messe pour le re-mitatus II. Ces deux contrées nous sont pos de son âme; et comme elle se dit dès connues sous les noms de grande et petite le point du jour, on l'appelle la Messe du Voivre. Dans un titre d'Adalberon évêCliquet. VOIVRE (LA).- La Voivre, en latin de l'an 953, Dom-Martin est dit être situé que de Metz, pour l'abbaye de Gorze, Vepria ou Vebria, d'où l'on a fait Va-dans le pays de Voivre: In pago Vavrinse

Dans le partage des provinces fait en-.

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