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criptions, plusieurs urnes, beaucoup de Tuilerie Colliaux, le moulin de Failly et médailles, des débris de colonnes et de dépendances. Ces lieux suivent la couchapiteaux fort beaux. En 1720, on y tume de St.-Mihiel.

était autrefois eonsidérable.

trouva deux espèces de cloches entières, faites en forme de timbre de pendule: on y découvre encore quelques anciennes flèches et autres armes antiques. Ce canWADGASSE, Abbaye de Prémenton est assez étendu, la terre est de diftré. Wadgasse (l'abbaye de), ou férente espèce, noire et brûlée; on y Watgasse, ou comme on la nomme comaperçoit les fonde mens de quelqu'édi-munément Wartgasse, ordre de préfice, ce qui fait conjecturer que ce lien montré, diocèse de Trèves, situé sur la Sarre, à une lieue ou environ de la VRONCOURT.-Vroncourt, ou Ve-ville de Sarre-Louis, dans le comté de roncourt, Veroncuria, village du dio-Nassau-Sarbruck, entre les terres de cèse de Toul, à une lieue au sud-ouest France et de Lorraine, fut fondée en de St.-Thiébaut, à quatre et demie de 1135, par Giselle, veuve de Frideric la Marche, bailliage de cette ville, pré- comte de Nassau-Sarbruck, du consensidial de Chalous, parlement de Parisement de son fils Simon, et avec l'aple roi en est seul seigneur haut justi-probation et par le conseil d'Adalberon cier, M. Baconval y a des droits sei- archevêque de Trèves, qui confirma la gneuriaux et un château. même année ce nouvel établissement. Le La paroisse a pour patron St.-Médard. Vroncourt-sur-Brenon. Vroncourt, ou même année. L'église de ce pape Eugène III, en fit de même la Veroncourt-sur-Brenon, village du dio-monastère fut consacrée par l'archevêque

Adalberon en 1157.

nouveau

cèse de Toul, à un quart de lieue de Vézelise, bailliage de la même ville, cour souveraine de Lorraine; l'église est Le premier abbé de Wadgasse est dédiée à Notre-Dame dans sa Nativité. Walframe, auparavant religieux de l'abCette cure était une dépendance de For-baye de prémontré, qui gouverna l'abcelles-St.-Gorgon et fut érigée en cure en baye depuis 1135, jusqu'en 1158.

1606.

VULMONT.-Vulmont, petit village du diocèse de Metz, autrefois Almont, situé près la côte de Delme, à trois lieues et demie au nord-est de Nomeny. La plus grande partie du ban de Vulmont est du pays Messin, la partie Lorraine est du bailliage de Château-Salins, cour souveraine de Nancy.

Les ducs de Lorraine ont autrefois

prétendu que l'abbaye de Wadgasse faisait partie de leur souveraineté. Je trouve en effet une lettre de Seifride Hultzling abbé des religieux de cette abbaye, en date du 11 janvier 1571, par laquelle ils reconnaissent le duc de Lorraine pour leur souverain, le supplient de vouloir agréer et approuver l'élection de l'abbé moderne comme originaire de son pays.

Les contestations concernant la sou

Vulmont est annexe de Fauville et de Sailly alternativement, et par année; Fauville et Sailly sont villages d'évêché; il y a dans Vulmont une église sous l'invo-veraineté sur l'abbaye de Wadgasse (1), cation de saint Nicolas. furent terminées cette même année, par

Ce village est composé de douze ou une transaction faite le 25 août 1581, treize habitans; il y a en ce lieu une par laquelle le comte Philippe de Nastour fort ancienne presqu'entièrement sau-Sarrebruck se déportait au profit du ruinée, qui appartient à messieurs Pro

tin. De Vulmont dépendent Bérupt, la (1) Cartulaire de Lorr., p. 891.

duc Charles III de Lorraine, de ses pré-mains il y avait sur cette montagne une tentions sur les abbayes de Longeville et forteresse, où les payens allaient adorer sous le nom de de Frauvenlauthren, et sur quelques au- une divinité connue

tres lieux; et le duc réciproquement se Diane d'Ardenne (1). Le diacre Waldéportait en faveur dudit comte des droits froy, ou Wulfilia, Lombard de naqu'il prétendait sur les abbayes de Her- tion, s'étant retiré sur cette montagne, bieshem, de Wadgassen, et sur les di-il y éleva une colonne auprès de l'imes de quelques villages des environs, dole même, sur laquelle il demeurait et en outre il transporta audit comte les jours et les nuits debout et nu pieds seize muids de sel de rente sur la saline en prières; souffrant de grandes douleurs, de Dieuze.

exposé aux injures de l'air, à l'exemple du fameux St.-Siméon le Stylite, qui avait édifié l'Orient par une vie de même genre: car pendant l'hiver il était saisi d'un tel froid, que les ongles de ses pieds se fendaient et tombaient d'euxmêmes, outre que l'eau qui coulait sur sa barbe, s'y gelait par la rigueur de la saison, et en

L'abbaye de Wadgasse a beaucoup souffert dans le XVI siècle, par les désordres des paysans hérétiques révoltés, qui chassèrent la plus grande partie des religieux. Le révérend père Hermant Mertz, abbé de Wadgasse, rétablit en 1714, l'adoration et le culte public de l'eucharistie, que les princes de Nas-pendait comme des chandelles. Sa nourriture était un peu de pain avec des lésau-Sarbruck, qui sont protestants, avaient défendu depuis près d'un siècle. gumes et sa boisson de l'eau.

Ce rétablissement se fit par une procession solennelle.

Walfroy gémissait cependant de voir les payens se prosterner aux pieds de La prévôté de Haguenau dépendait l'idole de Diane; il se mit à leur préautrefois de l'abbaye de Wadgasse, mais cher que cette idole n'était rien. Ses excette prévôté ayant été ruinée par les hortations ne furent pas sans effet, il guerres, et saccagée par les hérétiques, gagna plusieurs habitans du pays, et les les religieux qui y demeuraient, furent ayant convertis à la foi, il les engagea obligés d'en sortir, et se retirèrent dans à renverser eux-mêmes l'idole. Ce saint l'abbaye de Tous-les-Saints, dans la Fo-homme était descendu de sa colonne pour aider les nouveaux convertis à briser leur rêt-Noire. idole; après avoir fait cette bonne œuLe prieuré de Mertzick (Marcetum), dans le bourg du même nom, chef-lieuvre, il y remonta; mais saint Magnerie, d'un bailliage Lorrain, dépend aussi de évêqué de Trèves, étant venu le visiter l'abbaye de Wadgasse; il est desservi accompagné de quelques autres évêques, par des religieux prémontrés. Ce prieuré fut donné à Walframe, premier abbé de Wadgasse, par Hillin, archevêque de

Trèves en 1156.

ils lui remontrèrent. que la voie qu'il suivait n'était pas bonne, qu'il n'était pas comparable à Siméon d'Antioche, qui a vécu sur une colonne, ni capable de mener une vie si austère, à cause

Dépend aussi de Wadgasse la prévôté de la rigueur du climat descendez donc ou prieuré de Kleinbouckenein.

lui dirent-ils, au plutôt et demeurez avec que vous avez rassemblés

A

WALFROY (Saint), abbaye ruinée.-vos frères ici. St. Walfroy se rendit à ses raisons L'abbaye de St.-Walfroy fut batie par le saint de ce nom, vers la fin du sixième il descendit de la colonne, et tandi: qu'il s'entretenait avec l'évêque de Trè ́siècle, sur une haute montagne à une lieve et demie d'Yvoy ou Carignan, dans

le diocèse de Trèves. Du temps des Ro- (1) Gregor. Turon. I. 8. c. 151.

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ves, celui-ci fit renverser la colonne, subsista; mais ayant été ruiné et l'église et obligea Walfroysà demeurer avec ses réduite en cendres, les reliques du saint frères dans le monastère. furent miraculeusement conservées, et *Saint Grégoire de Tours, accompa- on les trouva après l'incendie, entières gné de Félix ambassadeur de Gontran dans leur chasse. Lybert archevêque de roi de Bourgogne, fit en 585, un voyage Trèves, touché de ce prodige, forma le à Coblentz, où Childebert roi d'Austra-dessein en 980, d'en faire la translasie tenait sa cour; il passa par Ivoy et tion dans la ville d'Yvoy Tout le clergé se détourna pour aller voir St. Walfroy et une foule innombrable de peuple assur la montagne C'est de la bouche même sistèrent à cette cérémonie. Depuis cette 'de ce saint, qu'il apprit les circons- translation, et les fréquens ravages de tances de sa vie. la ville d'Vvoy, on ne sait ce que sont Le jour de la naissance de saint Wal- devenues ces reliques; et il ne reste que froy, aussi bien que celui de sa mort le lieu de la sépulture de saint Walfroy sont inconnus. Ce qu'il y a de certain, sur la montagne. Cette montagne est à c'est que Grégoire de Tours le vit en trois lieues de Montmédy et à dix-sept 585, et qu'alors il y avait plus de vingt de Metz. Il n'y reste plus actuellement ans qu'il professait la vie solitaire. Ce saint qu'un crmitage avec une chapelle à l'enmourut dans un àge avancé, et fut endroit où le saint a été inhumé; la déterré dans l'église de St.-Martin, qu'il votion des peuples n'en est pas moins avait fait bâtir, laquelle depuis ne fut grande. plus appelée que saint Walfroy, par les Au pied de la montague de St. Walmiracles qui s'y faisaient par son inter-froy est situé le village de la Ferté, sur cession; ce qui y attire encore des peu-la rivière de Chier, à deux lieues et ples éloignés, le 1" juillet jour de son demie de Montmédy. On traverse ce vilanniversaire. lage pour entrer en Champagne, sur un St. Walfroy, dès les premières an-grand pont de pierre qui est sur la rinées de sa retraite avait fait bâtir un mo-vière, au milieu duquel est une tour et nastère et une église, sur la montague un pont-levis pour empêcher le passage où il s'était retiré. Le roi Childebert y de l'ennemi. Ce village est très-ancien, avait beaucoup contribué, ainsi que l'é- et a eu de beaux privilèges qui lui ont vèque St. Magnerie. Le monastère a fleuri été accordés par les comtes de Chiny, pendant plusieurs siècles, et la règle qu'on et confirmés en 1342, par le sire d'Auy suivait était celle de St. Benoit Ce mo- teuil et de Stupigny, sénéchal de Luxemnastère subsistait encore en 979, lorsque bourg, pour le marquis de Moyminne, Albert, archevêque de Trèves, pour met- duc de Luxembourg et comte de Chiny, tre les reliques de St. Walfroy en sù-à l'occasion de ce que ce village avait reté, les fit transporter solennellement été pris et ravagé par le comte de St.-Pol. en la ville d'Yvoy. Les guerres fréquentes au dixième siècle entre les empereurs et les rois de France, ruinèrent tous ces ainsi appelée, dit-on, par les Latins, cantons et le monastère de St.-Walfroy à Feritate, parce que vers l'an 884, fut renversé et abandonné. Depuis ce les Goths, les Normands et les Vanda'temps-là il ne s'est plus relevé, et il n'en les avaient ravagé cet endroit, avec une resta qu'une église paroissiale, sous le nom cruauté et une férocité jusqu'alors inde St.-Walfroy.

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La Ferté était anciennement une ville,

connue.

WALLECK.-Walleck, hameau deux

Quant aux reliques de St.-Walfroy, elles furent conservées dans Féglise de ce lieues au sud-est de Bitche, diocèse de nom, tout le temps que le monastère Metz. Il est situé au pied d'un rocher,

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haut et escarpé au sommet duquel sont raine, se rendit à Walschbroun par ordeux tours encore entières, de quatre-dre de sa majesté polonaise, fit chervingts pieds de haut, une citerne et des cher le bassin, et s'assura par beaucoup logemens dans le roc, restes d'un vieux d'expériences de sa découverte. M. Bachateau. Ce lieu est du bailliage de Bitligand fut encore envoyé sur les lieux che, cour souveraine de Nancy. au mois de septembre suivant avec M.

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WALMUNSTER. Walmunster ou Ronnow, premier médecin du roi, et on Wolmunster, village du diocèse de Metz, commença dès-lors à rétablir l'usage de mairie sur la Schwolbe, ces eaux. Un grand nombre de malaà quatre lieues dies qui avaient résisté à tous les autres de Bitche, bailliage de cette ville, cour souveraine de Nancy. remèdes ont été parfaitement guéries. Sur les vertus et l'application de l'huile de Walmunster, village du diocèse de Petrole, on peut consulter les ouvrages Metz, une lieue au sud-est de Bouzon-des médecins. Il y en a plusieurs qui ville, bailliage de même nom, cour sou- ont traité expressément de celle de Walsveraine de Nancy. broun.

Walmunster, village du diocèse de Metz, doyenné de Heding, dépendant de l'abbaye de Metloch.

WALSBROUN.

Walsbroun ou

WARC.-Warc, village du diocèse de Verdun, de l'archidiaconé de la Voivre, doyenné d'Amelle, situé dans une plaine à gauche de la rivière d'Orne, à quatre lieues de Verdun, une et demie Walschbroun, village sur la petite ri-d'Etain ; juridiction de Verdun, parlement vière de Horn, au comté de Bitche, de Metz. La paroisse a pour patron St. trois lieues au nord de cette ville; dio- Firmin. cèse de Metz, bailliage de Bitche, cour souveraine de Nancy. La paroisse a pour patron saint Benoit,

Le village est situé au pied d'une montagne bitumineuse, sur laquelle il y avait un château spacieux et assez fort, dont il reste encore des pans de murs et des parties de tours. On dit que ce château avait été bâti en 1490.

Le nom de Warc vient apparemment de Warecium, Warecta, Garachium, Garacia, une terre novale qui est en Nous disons en français le Gueret, la friche, qui n'a pas encore été défrichée. terre nouvellement mise en culture et

défrichée; le mot Friche vient de la même racine. Voyez le Glossaire de M. Ducange, au mot Warectum.

Warc est assez célèbre dans l'histoire Ce qui rend cet endroit plus remar-du Verdunois (1). Vers l'an 1336, Phiquable, est une source d'eau minérale, lippe de Florenges, seigneur de Buzy, s'éet l'huile de Pétrole qui découle de tant opposé à un accommodement qui la montagne; cette source était autrefois avait été fait entre les bourgeois de Vertrès-fréquentée, et elle a été célébrée dun et leur évêque Henri d'Apremont, par d'habiles médecins. On voyait en- fut insulté par un bourgeois de la ville; core en 1590, les vestiges des bains Philippes de Florenges, pour s'en venger, qu'on y avait construits; depuis ce temps- tua le bourgeois dans le faubourg même la le bassin où se rassemblaie ces eaux de Verdun. Les parents du mort assem→ salutaires avait été comblé et couvert d'un blèrent leurs amis, et les bourgeois en chemin public. C'est sous le règne du armes allèrent brûler le bourg de Buzy, roi de Pologne, Stanislas I, qu'on a la veille de la fête de saint Pierre de projeté de recouvrer ce trésor. Au mois l'an 1556. de mars 1756, M. Baligand ingénieur on-chef des ponts-et-chaussées de Lor-]

́(1) Hist. de Verdun, p. 332 et 333.

Les amis et les partisans de Philippe tres qui composaient ce nom adorable de Florenges ayant aussi pris les armes, étaient jaunes comme de l'or pur, sur se mirent en embuscade près le pont de une prunelle; du plus beau bleu céleste Warc, tuèrent presque tous les bour-sur l'autre. Bien que ce garçon eut l'œil geois de Verdun, qui revenaient de Buzy, vif, il re voyait de jour les objets chargés de butin. que confusément, mais il assurait qu'il voyait la nuit assez distinctement.

Sous l'épiscopat de Guillaume Fillatre, évêque de Verdun, vers l'an 1440, Boinville est annexe de Warc. Ce lieu ce prélat ayant entrepris de réformer les est célèbre dans l'histoire de Verdun par mœurs de son clergé et de ses diocésains, la résistance que fit la garnison du chày employa imprudemment des voies de teau de ce lieu en 1545, contre les violence, qui excitèrent les uns et les troupes hérétiques commandées par le autres contre lui. Robert de Sarbruck, comte de Furstemberg. Nicolas Pseaume damoiseau de Commercy, prit le parti depuis évêque de Verdun, n'étant encore des mécontens, et ordonna aux troupes qu'abbé de saint Paul de la même ville, de son château de Chavency de rançon-continua les dépenses que son onele et ner le village de Warc, et on lui paya son prédécesseur dans cette abbaye avait deux cent cinquante florins d'or, pour commencé de faire pour fortifier le châse racheter du pillage. Ceci fait juger que ce bourg était alors considérable.

teau de Boinville. Guillaume comte de Furstemberg qui commandait l'armée proteslante, déclara la guerre aux VerduEn 1711, une nommée Thamasse nois, parce qu'ils avaient doané du sePrioux, femme d'un nommé Robinet cours à ceux de Metz leurs voisins, pour du village de Warc, accoucha d'un fils, empêcher les ministres d'y prêcher leurs qui naquit avec la figure d'un soleil nouveautés : mais ni la force des tours où l'on expose le saint sacrement, dis-de ce château, ni la brave résistance de tinctement marqué sur sa poitrine: on y ceux qui le défendaient, ne purent voyait même la trace d'un. Christ, qui le garantir de l'incendie et du pillage. était d'une plus grande blancheur que Plusieurs prêtres, et un grand nombre le reste de la figure. Ce soleil était ren- de séculiers, qui s'y étaient réfugiés versé et un peu relevé en bosse; de sorte furent fait prisonniers, et rachetés enque pour le bien voir et le distinguer, suite par l'abbé de saint Paul moyenil fallait se mettre derrière l'enfant, et nant une grosse somme d'argent qu'il regarder la figure par-dessus son épaule.délivra. Le château de Boinville fut La mère dit que dans le temps de sa con-encore pris et brûlé en 1659, par le ception elle regarda fixement et avec comte Picolomini général de l'armée im- ¡ une très-grande application le saint sa-périale. crement exposé dans le soleil. On peut former sur ce phénomène deux questions; la première, comment ce soleil a pu sezon, qu'Othon comte de Porcien fit bàformer sur la poitrine de l'enfant ; la setir dans ses terres le château de Warc, conde, pourquoi il était renversé et le qui est situé sur la Meuse, à une demi lieue de Mézières. M. l'abbé de Lon

haut en bas ?

Nous lisons dans la chronique de Mou

guerue dit que Warc faisait partie du Quelque temps auparavant on avait vû pays de Porcien, nommé en latin pagus un jeune Flamand né juif: sur un de Porticensis, ou Porcensis, ou Porcianus. ses yeux on voyait écrit visiblement le Château-Porcien, ville et château, situé nom de Dieu en hébreu, et dans l'au-sur le bord septentrional de la rivière tre le même nom écrit en grec. Les let-d'Aisne, est la principale place de la prin

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