Images de page
PDF
ePub

paaté de Porcien, qui est de graude Lorraine-Allemande, à l'orient de St.étendue, et célèbre dans l'ancienne his-Avold, et au couchant de Boulay. toire de France et dans les capitulaires.

Le château de Warsberg a donné le WARIZE. Warize est un grós vil-nom à une famille distinguée. Boémond lage sur la Nied, dans la Lorraine Al-de Warnesberg ou de Warsberg était lemande, avec un château assez consi-prévôt et archidiacre de Trèves et prindérable. Warize est à une lieue et demie cier de l'église de Metz, lorsqu'il fut élu au sud-ouest de Boulay sur la route de archevêque de Trèves en 1287. Cet arMetz à Boulay. A une demi-lieue de chevêque est loué principalement à cause Warize se voit un château nommé en de son humeur pacifique. Il était tout français Aux Etangs, et en allemand occupé des devoirs de l'épiscopat, n'ayant Tennschen, dépendant de la seigneurie point de plus grand plaisir que de céde Warize. L'ancienne route romaine pas-lébrer les divins mystères, de conférer sait à Tennschen et allajt à Menmerborn, les ordres, de donner audience à tout à Boucheporn, et à Hieraple. Warize le monde, de les porter à la paix, et est du diocèse de Metz, appartenant à de les réunir dans leurs difficultés par cette ville, et a titre d'archiprêtré. Bail- ses sages conseils. C'est l'éloge qu'en liage de Boulay, cour souveraine de fait Brouverus. Il n'eut qu'une seule guerre Nancy. à soutenir pendant tout son pontificat. En voici l'occasion.

La maison de Pallant est devenue proLe chateau de Schwartzberg était ocpriétaire de toute la seigneurie de Warize dont auparavant elle ne possédait qu'une cupé par une troupe de brigands, qui partie, par la cession que lui en fit Phi-pillaient les environs et faisaient mille lippe abbé de St.-Vincent en 1585. Cette seigneurie de Warize, est tombée de puis dans la maison de Schuarzemberg par le mariage de la fille du seigneur Hartard de Pallant, avec Etienne de Schuarzemberg.

maux dans le diocèse de Trèves. Boémond résolut de les exterminer et se joignit pour cela à Ferri duc de Lorraine. Celui-ci assiégea le château et obligea les assiégés de se rendre. Ceci arriva en 1290.

En 1483, le comte de Warnesberg, à la tête de quelques aventuriers et de En 1683, le prince Adolphe de Schuarzemberg, résidant babituellement à Vienne quelques bandits (1), faisait des courses indifféremment sur les terres de Lorraine, en Autriche, voyant que la terre de Wade Luxembourg et de Metz; faisant le rize était presque continuellement exposée à la confiscation pendant les guer-ravage partout, et butinant les laboules marchands, les passans et tout res de la maison d'Autriche contre la reurs, ce qui tombait entre ses mains. Les LorFrance, vendit la terre de Warize au sieur Nicolas de la Cour, pour lors in-rains en l'absence du duc René II, les Luxembourgeois, et les Messins, pour génieur au service de la France, pour se défaire de ce dangereux ennemi, réla somme d'environ vingt mille écus. solurent de l'attaquer par deux endroits, et d'assiéger à la fois deux de ses plus fortes places, Richemont-sur-Moselle et Rodemach, qu'ils prirent et ruinèrent. La Chronique manuscrite de Lorraine ajoute que ce comte de Warnesberg était un homme vicieux et sans conduite, et qu'il

WARNESBERG, ou WARSBERG, ou WARENSBERG.-Warnesberg, ou Warsberg, village à deux lieues de Boulay, de Berus et de St.-Avold. Le château de Warsberg est devenu célèbre dans notre histoire; son nom vient de la forêt nommée Waren, où il est situé. Il était bâti sur une montagne dans la

(1) Hist. de Lorr. t. v. p. 402.

:

se cassa le cou par une chute, son che-la cure du même lieu. Ce patronage fut val en courant s'étant abattu sous lui. l'occasion en 1750, d'un fameux proOn regarda comme un grand bonheur cès, dans lequel feu M. de Vitay, alors, dans le pays d'en être délivré - avocat-général en la cour du parlement de Nancy, signala son éloquence et sa profonde capacité.

Les seigneurs de Warsberg 'ou Warnesberg, ont toujours fait leurs reprises au duc de Lorraine pour les biens que leur

Nous avons une lettre de Robert duc

[ocr errors]
[ocr errors]

• maison possédait dans les états de de Bar dų 2 juin 1589, par laquelle il ce prince. En 1452, Henri de Wars-déclare, que comme dans la guerre qu'il berg reprend du duc de Lorraine vingt avait faite à son cousin le comte de Deuxfrancs de rente sur la saline de Cha- Ponts, il avait été logé lui et ses homteau-Salin's. Le même Henti en 1449, mes d'armes dans l'abbaye de Warnedonne son dénombrement à Jean duc de viller, où il avait causé plusieurs domCalabre pour Delling, Dentingen, Weilmages; pour les réparer il donne à ladite ler et Leydengen. En 1526, le seigneur abbaye trois muids de sel; savoir: deux de Warsberg fait hommage au duc de muids pour ladite satisfaction, et un Lorraine de la seigneurie de Freistroff. muid pour célébrer en ce lieu chacun Enfin Valter de Warnesberg donna en an pour le salut de son âme, de ses 1625, à Charles et Nicolle, duc et du- auteurs et successeurs, savoir: pendant chesse de Lorraine 'sa maison de Valder- sa vie une messe du St.-Esprit, ou de fingen, ou Vaudrevange. la Sainte-Vierge, et après sa mort une WARNEVILLER, abbaye de l'ordre messe de Requiem; lesdits trois muids de Citeaux, ou WETS WILLER. L'abbaye de sel à prendre sur la saline de Châteaude Warneviller, ou Verneviller, ou Wers- Salins. cheviller ou Werswiller; nommée apparemment ainsi du nom du comte Vernier son

C'est là tout ce que nous savons de fondateur, Worneri-Villa, ou Villare, ou l'abbaye de Warneviller. Les ducs de Villarium, de l'ordre de Citeaux, située Deux-Ponts s'étant emparés des biens de sur la rivière de Blisse, à distance égale cette abbaye et de l'abbaye même, en de Hombourg et de Deux-Pants, fut ont laissé tomber en ruines l'église et les bâtimens du monastère. Elle est du diofondée, à ce qu qu'on croit en 1170. cèse de Metz. Jean comate de Deux-Ponts

[ocr errors]

L'abbaye de Warneviller fut du nombre des biens ecclésiastiques dont s'em-y choisit sa sépulture en 1557. parerent, pendant les troubles de reli- WEILBOURG.--Weilbourg, Vilburgion occasionés par les prédications de gum, ou Willinaburg, ainsi qu'il est Luther, plusieurs princes et états de appelé dans les anciens titres, est une l'empire, qui embrassèrent les nouvelles petite ville des états de Nassaw, en Welopinions. On sait qu'ils furent mainte- teravie. Elle est capitale du comté de nus dans 'o ces possessions et droits en dé- Weilbourg, qui appartient aux comtes pendans par différens traités et surtout par de Nassaw-Sarbruck et elle est située sur la fameuse paix de Westphalie en 1648. la rivière de Lohn, aux confins des comLes dues de Deux-Ponts, depuis ces tés de Solms et de Beilstein. On dit que troubles, se sont maintenus dans la pos- Conrad I, roi de Germanie, faisait sousession de l'abbaye de Warneviller, si- vent sa résidence à Weilbourg. Il en est,, tuée dans leur duché, et dans celle des fait mention dans un diplôme de ce biens qui en dépendaient. prince de l'an 914, donné en faveur de De cette abbaye dépendaient des di-l'église d'Utrecht. On assure même qu'il mes en Lorraine, et entr'autres celles du y mourut, et qu'il y fut enterré. Wittivillage d'Holbing, et le patronage de chindus lib. 1, annal.

Le comté de Weilbourg, qui fait par-, En 1607, Jean-Henry, Schwebel tie du comté de Nassau, fait le principal chancelier du duc, de Deux-Ponts donna apanage d'une branche de cette illustre son dénombrement au duc de Lorraine, de tout ce qu'il possédait à Weis-Kirchen, Rorbach et autres lieux au comté de Bitche.

maison.

WEIMERSCHKIRCHEN.

Wei

merschkirchen, Wimaris-Ecclesia, ancienne et première paroisse de la ville

Nous connaissons deux abbés de Bou

de Luxembourg, dont on raconte ainsi zonville du titre de Weiskirchen, Gotz. la fondation. Le château de Luxembourg ou Gotzon et Wirich. depuis son origine avait toujours demeuré

WEIS-WEILLER-Weis Weiller, au pouvoir des empereurs romains (1), village situé dans un fond, deux lieues ou des rois d'Austrasie, qui y mettaient au sud-est de Sarguemines, à cinq de, de temps en temps quelque garnison. Un Bitche; diocèse, de Metz, bailliage, de. gentilhomme, nommé Weimare, ou Wi-Sarguemines, cour souveraine de Nancy. marus, fit bâtir à une demi-lieue de là Weis-Weiller a pour annexe le village une église, à laquelle il donna son nom, de Wolffling, à deux lieues et demie de qui fut la première et la plus ancienne paroisse de Luxembourg. On conjecture Sarguemines, cinq de Bitche.

[ocr errors]

WELLING. Welling, village à

que Weimare est le même que le duc de Champagne, qui eut en 676, la garde gauche de la Sarre, une lieu au coude St.-Léger. chant de Mertzich, dans le bailliage de Mertzich et de Sárgaw, diocèse.de.. Trèves, archidiaconé de. Cardone.

En 725, Charles-Martel ayant été guéri d'une maladie mortelle l'interpar cession de St. Maximin, en reconnais Ce village appartient aux seigneurs de cession de St. Maximin, en reconnais-Crehange. En 1561, George seigneur.. sance de cette guérison, ce prince fit de de Crchange et. Pillange, maréchal hé grands biens à l'abbaye de St.-Maximin réditaire du duché de Luxembourg et de Trèves, et lui donna trois terres, savoir celles de Kuntzich, de Steinsel et de Weimerschkirchen; et par cette donation le château de Luxembourg, comme annexe de la paroisse de Weimerschkirchen, passa aux religieux de cette abbaye.

comté de Chiny, donna son dénombrement à Charles III duc de Lorraine, pour la moitié de la seigneurie de Welling, et ses descendans en ont fait de.. même..

WEYERSBACH.-Weyersbach; vilPage situé à cinq lieucs de Schambourg. WEIS.-Weis, village mi-parti avec Ce lieu est chef-lieu d'une communauté le Tréviriens à droite de la Moselle, composée de Weyersbach, Heimbach, une lieue et demie au-dessous de Sierk, Leitzweiller, Bliderding, et la cense de communauté de Berg et de Nenning, dio-Werteinstein. Cette communauté dépend cèse de Trèves, bailliage de Bouzonvilles pour le spirituel de l'archevêché de Trè cour souveraine de Nancy. ves et pour le temporel du bailliage WEIS-KIRCHEN-Weis-Kirchen, de Schambourg; cour souveraine de Nancy.

nom allemand qui signifie Blanche-Eglise, village situé sur la Schwolbe, à trois lieues au nord-ouest de Bitche; cour souveraine de Nancy, diocèse de Metz, bailliage de Bitche.

(1) Hist. de Luxembourg, t.2,p.. 205.

2

2

WIEBERSWEILLER, Weibers weiller, village du diocèse de Metz, deux lieues de Fénétrange, deux et demie de Saralbe et de Bouquenom. Ce lieu fait partie d'une des quatre seigneuries, qui composent la terre, de Fénétrange, que

[ocr errors]

l'on nomme Schwanensalz, ou le Col- Wimbay, et dont les eaux vont se rende-Cigne, bailliage de Fénétrange. dre dans la Meuse. Ce lieu est du bailliage et siège présidial de Verdun... Jossecourt était annexe de Wimbay suivant le Pouillé de Machon.

zey,

[ocr errors]

WIS, ou WISSE. Wis, ou Wisse, de Château-Salins et de Dieuze, une et ou Weiss, Wissa, village à deux lienes demie au nord de Marsal, diocèse de Metz.

WIMBAY.-Wimbay, ou Weymbey Wambasius bourg ou village, situé à gauche de la Meure, entre St.Mihiel et Verdun, entre Tilly et Boudiocèse de Verdun, doyenné de St.-Miel. St.-Remi est patron de cette paroisse. Ce lieu appartenait au neuvième siècle à des moines du diocèse de Rouen, qui y transportèrent les reliques de saint L'ancienne maison de Wisse tirait son Nicaise et de ses compagnons, saint Quirin, etc., qui y demeurèrent jusqu'au nom de ce village (1). Elle portait d'arrègne du roi Henry I, au onzième siècle. gent à trois têtes de morins de sable, 2 et 1. Nous trouvons en 1155, ou Nicolas Pseaume évêque de Verdun, réunit la terre de Wimbay au domaine 1160, Mennardus de Visus, qui a de son église au seizième siècle (1). Wim-souscrit à la chartre de fondation de bay était alors entre les mains du comte l'abbaye de Haute-Seille. La maison de d'Estaples. Wisse a été partagée en plusieurs branches, dont la plus illustre et la plus M. de Colbert dans le rapport qu'il connue est celle des seigneurs de Gerfait au roi Louis XIV, d'un voyage béviller, qui sont souvent mentionnés qu'il fit en Lorraine en 1656, par or-dans les titres des quatorzième et quinde sa majesté, dit que Wimbay situé à zième siècles: mais nous ignorons comquatre lieues de Verdun, et à deux de ment, quand, et par qui la maison St.-Mibiel, à côté de la rivière de Meuse, de Wisse est entrée dans celle de Gerétait une place à soutenir un siége. Le bévillerroi donna ses ordres au sieur Gillet lieutenant-général en la justice royale de Verdun de la démolir, ce qu'il exécuta avec beaucoup de diligence: il ne l'eut pas plutôt mis hors d'état, que Jean de Wert, général de l'armée de l'empereur, y arriva avec des troupes pour s'en emparer. Il y reste encore un côté du logement principal, dont le maire prévôtal se sert et au moyen de quel que fermeture qu'il a fait faire, il est en quelque façon à couvert des courses.

Le château de Wimbay avait été bâti par Louis d'Haraucourt évêque de Verdun, mort en 1456, ce château était bien fortifié, et d'un accès assez difficile.

Il y a dans ce village une papeterie et un moulin sur un ruisseau, qui prend sa source à une demi-lieue au-dessus de

(1) Hist. de Verdun, p. 439, 442..

Olry Wisse mourut eb 1540, sans laisser aucun enfant, mais il avait trois sœurs, filles de Jean Wisse de Gerbé

viller.

La première nommée Marguerite, épousa Henry de Lignéville.

La seconde appelée Madeleine, fut mariée à Hue du Châtelet.

Enfin Eve la troisième, fut femme de Jacques de Germini.

C'est par le mariage de Madeleine
Wisse de Gerbéviller que la terre de

Gerbéviller est entrée dans la maison du
Châtelet.

Jean Wissc de Gerbéviller fut député par les régens de Lorraine, après la

(1) Hist. de Lorr., t. v, p. ccclvi. preuves.

mort du duc Jean (1), pour inviter le L'archevêque Baudouin de Luxemduc Nicolas à revenir en Lorraine. Ni-bourg, fit enfermer de murailles la ville colas était pour lors à la cour de France, de Witlich. Verner de Falchenstein, qui d'où il partit en 1471, pour prendre mourut en 1418, avait commencé à en possession de ses états.

1

Le même Jean de Wisse de Gerbé viller après la mort du duc Nicolas fut choisi par l'assemblée des seigneurs Lorrains (2), pour aller à Joinville auprès de la princesse Yolande d'Anjou, épouse de Ferri II, comte de Vaudémont, fille du roi René d'Anjou et d'Isabelle de Lorraine, lui offrir la couronne.

bâtir le château ; son sucesseur Otton de Ziegenheim l'acheva. On élut dans cette ville en 1567, pour archevêque de Trèves, Jacques III, de l'illustre maison

d'Etz.

[ocr errors]

A un mille de la ville de Witlich dans une vallée, on voit une source d'eau tiède, salutaire pour ceux qui ont l'estomac faible (1), qui souffrent des maux de rate, ou sont saisis de fièvres lentes. On boit de ces eaux et on s'y baigne. Ces eaux sont aussi bonnes pour les ulcères, la gale, et les démangeaisons de la peau.

Vaultrin de Wisse, fils de Jean, se distingua pendant les guerres que le duc René II, eut à soutenir contre le duc de Bourgogne. Il commandait dans Rozières, lorsque cette petite ville fut as- Witlich est la capitale ou chef-lieu siégée par les seigneurs Lorrains, à qui d'un gouvernement ou grand-bailliage de elle se rendit (5). Il fit plusieurs courses l'électorat de Trèves, d'où dépend un sur les villages, qui obéissaient au nombre considérable de bourgs, de vilduc de Bourgogne. Il contribua beau- leges et de hameaux, dont on peut voir coup à la victoire que le duc René rem-les noms dans l'histoire de Trèves de M. porta en 1477, sur le duc Charles-le- de Hontheim, Tom. 3, p, 8. Hardi dans la bataille donnée devant WOLLFLINGEN. Wollflingen, Nancy, où ce dernier fut tué. Comme village de la Lorraine-Allemande, anVautrin de Wisse était fort expérimenté, nexe de Weisweiller, à deux lieues et et qu'il entendait fort bien l'allemand, demie de Sarguemines, cinq de Bitche, il fut d'un très-grand secours au duc diocèse de Metz, bailliage de SargueRené par sa valeur et les bons conseils minés, cour souveraine de Nancy. qu'il donna en cette circonstance. Il se Mathieu I, duc de Lorraine, du conmit lui-même à la tête des Suisses, et sentement de la duchesse Berthe chargea si à propos le duc de Bourgo-épouse, et de son frère Baudouin, acgne par derrière, qu'il le fit reculer. corda à l'abbaye de Stulzbron, que WITLICH. Witlich, en latin Viduc Simon son père avait fondée en telliacum ville d'Allemagne au cercle 1135, la terre de Wollflingen. WÓLKERANGE, ou VOLCRANGE.du Bas-Rhin dans le diocèse de Trèves, sur la rivière de Leser, qui descend Wolkerange, ou Velcrange, en Allede Mandesscheit et entre dans la Meuse mand Wolckringen, village du diocèse vis-à-vis de Veldents. Witlich n'était de Metz, sur le revers d'une montagne, qu'un bourg lorsqu'il fut brûlé l'an 1146, vis-à-vis l'ermitage de St.-Michel, à six durant la guerre entre l'archevêque Adak lieues de Metz, une de Thionville, préberon et le comte de Namur, où l'ar-vôté de cette dernière ville, parlement chevêque cut tout l'avantage.

[merged small][merged small][merged small][ocr errors][merged small]

de Metz.

son

le

L'ancien château de Wolkerange aujourd'hui ruiné, a donné le nom à une

(1) Zeyler, Topug. Archiep. Trevir. p. 36.

« PrécédentContinuer »