Études et leçons sur la Révolution française, Volume 2F. Alcan, 1898 - 300 pages |
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Expressions et termes fréquents
10 août 18 brumaire Adrien du Port Auguste Comte AULARD avaient Bacourt Bibl Bonaparte Buchez c'était Carnot catholicisme catholiques Cinq-Cents citoyens clergé Comité de salut Comité de surveillance commissaires Commune Concordat Conseil exécutif constitution civile constitutionnel Consulat Convention Corps législatif coup d'État Danton décadi déclare décret députés dictature Diderot dire Directoire discours duc de Broglie églises évêques Fabre d'Eglantine floréal fructidor gallicane général Girondins gouvernement Grégoire guerre homme Jacobins journal journées justice l'an VIII l'Assemblée législative l'État l'Etre suprême l'histoire laissé liberté lois Louis XVIII maire manuscrit Marat massacres Mémoires ment ministre Mme Roland Moniteur Mortimer Ternaux n'avait nation nationale pape patrie patriotes Petion peuple philosophie politique positive premier Consul prisonniers prisons proclamation publique rapport réfractaires religion républicains République Révolution française Robespierre royalistes salut public séance semble Sénat sénateurs sentiment seulement Siéyès Stanislas de Girardin surtout Système de politique Talleyrand théophilanthropes thermidor tion tribunal Tribunat Voltaire vote
Fréquemment cités
Page 132 - Je reconnais que l'universalité des citoyens français est le souverain, et je promets soumission et obéissance aux lois de la République.
Page 122 - La loi ne reconnaît aucun ministre du culte ; nul ne peut paraître en public avec les habits, ornements ou costumes affectés à des cérémonies religieuses.
Page 52 - ... il n'est plus temps de discourir, il faut piocher la fosse de nos ennemis; ou chaque pas qu'ils font en avant, pioche la nôtre.
Page 68 - Hier fut un jour sur les événements duquel IL FAUT peut-être laisser UN VOILE. Je sais que le Peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice...
Page 230 - Ne négligez aucune occasion de prouver à vos concitoyens que la superstition n'aura pas plus à s'applaudir que le royalisme des changements opérés le 18 brumaire.
Page 280 - Je ne puis voter pour une telle magistrature jusqu'à ce que la liberté publique soit suffisamment garantie ; alors je donnerai ma voix à Napoléon Bonaparte.
Page 53 - C'est en ce moment, messieurs, que vous pouvez déclarer que la capitale a bien mérité de la France entière.
Page 60 - La section, considérant les dangers imminents de la patrie et les manœuvres infernales des prêtres, arrête que tous les prêtres et personnes suspectes , enfermés dans les prisons de Paris, Orléans et autres, seront mis à mort.