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CHAP. V. Que le critique en faisant dire à saint Chrysostôme, dans l'homélie III aux Hébreux, qu'il y a deux personnes en Jésus-Christ, lui fait tenir un langage que ce Père n'a jamais tenu en aucun endroit, mais un langage tout contraire : passage de saint Chrysostôme, homélie vi sur les Philippiens. Page 202 CHAP. VI. Qu'au commencement du passage de saint Chrysostôme, homélie 11 aux Hébreux, les deux personnes s'entendent clairement du Père et du Fils, et non pas du seul Jésus-Christ. Infidèle traduction de M. Simon.

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CHAP. VII. De deux leçons du texte de saint Chrysostome également bonnes, M. Simon sans raison a préféré celle qui lui donnoit lieu d'accuser ce saint docteur.

207 CHAP. VIII. Que si saint Chrysostôme avoit parlé au sens que lui attribue M. Simon, ce passage auroit été relevé par les ennemis de ce Père, ou par les partisans de Nestorius; ce qui n'a jamais été. 208 CHAP. IX. Que Théodore et Nestorius ne parloient pas eux-mêmes le langage qu'on veut que saint Chrysostôme ait eu commun avec eux.

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CHAP. X. Passages de saint Athanase sur la signification du mot de personne en Jésus-Christ. CHAP. XI. M. Simon emploie contre les Pères, et même contre les plus grands, les manières les plus dédaigneuses et les plus moqueuses. 217 CHAP. XII. Pour justifier les saints Pères, on fait voir l'ignorance et le mauvais goût de leur censeur dans sa critique sur Origène et sur saint Athanase. CHAP. XIII. M. Simon avilit saint Chrysostôme, et le loue en haine de saint Augustin. CHAP. XIV. Hilaire diacre, et Pélage l'hérésiarque préférés à tous les anciens commentateurs, et élevés sur les ruines de saint Ambroise et de saint Jérôme. 229 CHAP. XV. Mépris du critique pour saint Augustin, et

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affectation de lui préférer Maldonat dans l'application aux Ecritures: amour de saint Augustin pour les saints livres. Page 232 CHAP. XVI. Quatre fruits de l'amour extrême de saint Augustin pour l'Ecriture: manière admirable de ce saint à la manier juste louange de ce Père, et son amour pour la vérité: combien il est injuste de lui préférer Maldonat. 235 CHAP. XVII. Après avoir loué Maldonat pour déprimer saint Augustin, M. Simon frappe Maldonat lui-même d'un de ses traits les plus malins. CHAP. XVIII. Suite du mépris de l'auteur pour saint Augustin: caractère de ce Père peu connu des critiques modernes exhortation à la lecture des Pères.

SECONDE PARTIE.

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Erreurs sur la matière du péché originel et de la grâce.

LIVRE CINQUIÈME.

M. Simon partisan des ennemis de la grâce, et ennemi de saint Augustin: l'autorité de ce Père.

CHAP. I. Dessein et division de cette seconde partie. 249 CHAP. II. Hérésie formelle du diacre Hilaire sur les enfans morts sans baptême, expressément approuvée par M. Simon contre l'expresse décision de deux conciles œcuméniques, celui de Lyon II, et celui de Flo250 CHAP. III. Autre passage du même Hilaire sur le péché originel, également hérétique: vaine défaite de M. Si

rence.

mon.

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CHAP. IV. Hérésie formelle du même auteur sur la grâce : qu'il n'en dit pas plus que Pélage sur cette matière,

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et que M. Simon s'implique dans son erreur, en le louant. Page 255 CHAP. V. M. Simon fait l'injure à saint Chrysostôme de le mettre avec le diacre Hilaire au nombre des persécuteurs du pelagianisme : approbation qu'il donne à cette hérésie. 258 CHAP. VI. Que cet Hilaire, préféré par M. Simon aux plus grands hommes de l'Eglise, outre ses erreurs manifestes, est d'ailleurs un foible auteur dans ses autres notes sur saint Paul. CHAP. VII. Que notre critique affecte de donner à la doctrine de Pélage un air d'antiquité : qu'il fait dire à saint Augustin que Dieu est cause du péché: qu'il lui préfère Pélage, et que partout il excuse cet hérésiarque. 261 CHAP. VIII. Que s'opposer à saint Augustin sur la matière de la grâce, comme fait M. Simon, c'est s'opposer à l'Eglise, et que le P. Garnier démontre bien cette vérité. 265 CHAP. IX. Que dès le commencement de l'hérésie de Pélage toute l'Eglise tourna les yeux vers saint Augustin, qui fut chargé de dénoncer aux nouveaux hérétiques dans un sermon à Carthage leur future condamnation, et que loin de rien innover, comme l'en accuse l'auteur, la foi ancienne fut le fondement qu'il posa d'abord. 267 CHAP. X. Dix évidentes démonstrations, que saint Augustin loin de passer de son temps pour novateur, fut regardé par toute l'Eglise comme le défenseur de l'ancienne et véritable doctrine. Les six premières démonstrations. 269 CHAP. XI. Septième, huitième et neuvième démonstration. Saint Augustin écrit par l'ordre des papes contre les pélagiens, leur envoie ses livres, les soumet à la correction du saint Siége, et en est approuvé. CHAP. XII. Dixième démonstration, et plusieurs preuves constantes que l'Orient n'avoit pas moins en vénéra

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tion la doctrine de saint Augustin contre Pélage, que l'Occident: actes de l'assemblée des prêtres de Jérusalem saint Augustin attentif à l'Orient comme à l'Occident: pourquoi il est invité en particulier au concile œcuménique d'Ephèse. Page 272 CHAP. XIII. Combien la pénétration de saint Augustin étoit nécessaire dans cette cause. Merveilleuse autorité de ce saint. Témoignage de Prosper, d'Hilaire, et du jeune Arnobe.

276 CHAP. XIV. On expose trois contestations formées dans l'Eglise sur la matière de la grâce, et partout la décision de l'Eglise en faveur de la doctrine de saint Augustin. Première contestation devant le pape saint Célestin, où il est jugé que saint Augustin est le défenseur de l'ancienne doctrine. CHAP. XV. Quatre raisons démonstratives qui appuyoient le jugement de saint Célestin. 281

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CHAP. XVI. Seconde contestation sur la matière de la grâce émue par Fauste de Riès, et seconde décision en faveur de saint Augustin par quatre papes. Réflexions sur le décret de saint Hormisdas. 284 CHAP. XVII. Des quatre conciles qui ont prononcé en faveur de la doctrine de saint Augustin: on rapporte les trois premiers, et notamment celui d'Orange. 285 CHAP. XVIII. Huit circonstances de l'histoire du concile d'Orange, qui font voir que saint Augustin étoit regardé par les papes et par toute l'Eglise comme le défenseur de la foi ancienne. Quatrième concile en confirmation de la doctrine de ce Père. 287 CHAP. XIX. Troisième contestation sur la matière de la grâce, à l'occasion de la dispute sur Gotescalc, où les deux partis se rapportoient également de toute la question à l'autorité de saint Augustin.

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CHAP. XX. Quatrième contestation sur la matière de la grâce, à l'occasion de Luther et de Calvin qui outroient la doctrine de saint Augustin; le concile de Trente

n'en résout pas moins la difficulté par les propres termes de ce Père. Page 292 CHAP. XXI. L'autorité de saint Augustin et de saint Prosper, son disciple, entièrement établie : autorité de saint Fulgence combien révérée; ce Père regardé comme un second saint Augustin.

293 CHAP. XXII. Tradition constante de tout l'Occident en faveur de l'autorité et de la doctrine de saint Augustin. L'Afrique, l'Espagne, les Gaules, saint Césaire en particulier, l'Eglise de Lyon, les autres docteurs de l'Eglise gallicane, l'Allemagne, Haimon et Rupert, l'Angleterre et le vénérable Bède, l'Italie et Rome. 295 CHAP. XXIII. Si après tous ces témoignages il est permis de ranger saint Augustin parmi les novateurs : que c'est presqu'autant que le ranger au nombre des hérétiques; ce qui fait horreur à Facundus et à toute l'Eglise. 297 CHAP. XXIV. Témoignages des ordres religieux, de celui de saint Benoît, de celui de saint Dominique et de saint Thomas, de celui de saint François et de Scot. Saint Thomas recommandé par les papes, pour avoir suivi saint Augustin: concours de toute l'Ecole : le maître des 299

sentences.

LIVRE SIXIÈME.

Raison de la préférence qu'on a donnée à saint Augustin dans la matière de la grâce. Erreur sur ce sujet, à laquelle se sont opposés les plus grands théologiens de l'Eglise et de l'Ecole.

CHAP. I. Doctrine constante de toute la théologie sur la préférence des Pères qui ont écrit depuis les contes tations des hérétiques. Beau passage de saint Thomas, qui a puisé dans saint Augustin toute sa doctrine : pas302

sages

de ce

Père.

CHAP. I. Ce que l'Eglise apprend de nouveau sur la doctrine passage de Vincent de Lerins. Mauvais artifice de M. Simon et de ceux qui à son exemple en appellent

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