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CHAP. VIII. Preuve par saint Chrysostôme que les peines du péché ne passoient à nous qu'après que le péché y avoit passé. Passage sur le Psaume L. Page 493 CHAP. IX. Que saint Chrysostôme n'a rien de commun avec les anciens Pélagiens, et que saint Augustin l'a bien démontré. CHAP. X. Que saint Chrysostôme ne dit pas qu'on puisse être puni sans être coupable, et que les nouveaux Pélagiens lui attribuent sans preuve cette absurdité. 495 CHAP. XI. Que saint Chrysostôme a parfaitement connu la concupiscence, et que cela même c'est connoître le fond du péché originel.

496 CHAP. XII. En passant on note l'erreur de quelques-uns qui mettent le formel ou l'essence du péché originel dans la domination de la convoitise. 498 CHAP. XIII. En quoi consiste l'essence ou le formel du péché originel, et quelle a été la cause de la propagation.

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CHAP. XIV. Comment la concupiscence est expliquée par saint Chrysostôme : deux raisons pourquoi sa doctrine n'est pas aussi liée et aussi suivie que celle de saint Augustin, quoique la même dans le fond. 500 CHAP. XV. Quelques légères difficultés tirées de saint Clément d'Alexandrie, de Tertullien, de saint Grégoire de Nazianze, et de saint Grégoire de Nysse. CHAP. XVI. Saint Clément d'Alexandrie s'explique luimême le passage de Tertullien où il appelle l'enfance un âge innocent: que ce passage est démonstratif pour le péché originel: autre passage de Tertullien dans le livre du Baptême.

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CHAP. XVII. Saint Grégoire de Nazianze et saint Grégoire
de Nysse.
CHAP. XVIII. Réponse aux réflexions de M. Simon sur
Théodoret, Photius et les autres Grecs, et première-

ment sur Théodoret.

BOSSUET. V.

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CHAP. XIX. Remarques sur Photius.

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Page 510 CHAP. XX. Récapitulation de la doctrine des deux derniers livres prodigieux égarement de M. Simon. 512 CHAP. XXI. Briève récapitulation des règles de Vincent de Lerins, qui ont été exposées, et application à la matière de la grâce. 514 CHAP. XXII. On passe à la doctrine de la grâce et de la prédestination, et on démontre que les principales difficultés en sont éclaircies dans la prédestination des petits enfans.

LIVRE DIXIÈME.

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Semi-pelagianisme de l'auteur. Erreurs imputées à saint Augustin. Efficace de la grace. Foi de l'Eglise par ses prières, tant en Orient qu'en Occident.

CHAP. I. Répétition des endroits où l'on a montré ci-dessus que notre auteur est un manifeste semi-pelagien, à l'exemple de Grotius.

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CHAP. II. Autre preuve démonstrative du semi-pelagianisme de M. Simon dans l'approbation de la doctrine du cardinal Sadolet. 533 CHAP. I. Répétition des preuves par où l'on à và que M. Simon accuse saint Augustin de nier le libre arbitre.

537 CHAP. IV. M. Simon est jeté dans cet excès par une fausse idée du libre arbitre : si l'on peut dire comme lui, que le libre arbitre est maître de lui-même ENTIÈREMENT: passages de saint Ambroise. 539

CHAP. V. Que M. Simon fait un crime à saint Augustin de l'efficace de la grâce: ce que c'est, selon ce critique, que d'être maître du libre arbitre ENTIÈREMENT, et que son idée est pélagienne. CHAP. VI. Que M. Simon continue à faire un crime à saint

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Augustin de l'efficace de la grâce: trois mauvais effets de la doctrine de ce critique. Page 544 CHAP. VII. Le critique rend irrépréhensibles les hérétiques qui font Dieu auteur du péché, en leur donnant saint Augustin pour défenseur. 546 CHAP. VIII. On réduit à deux chefs les erreurs que M. Simon attribue à saint Augustin sur le libre arbitre: premier chef, qui est l'efficace de la grâce. 548 CHAP. IX. On commence à proposer l'argument des prières de l'Eglise : quatre conséquences de ces prières, remarquées par saint Prosper, dont la dernière est que l'efficace de la grâce est de la foi. 549 CHAP. X. Que les prières marquées par saint Prosper se trouvent encore aujourd'hui réunies dans les oraisons du Vendredi saint; et que saint Augustin, d'où saint Prosper a pris cet argument, les a bien connues. 551 CHAP. XI. Saint Augustin a eu intention de démontrer, et a démontré en effet que la grâce qu'on demandoit par ces prières emportoit certainement l'action. CHAP. XII. Prières des liturgies grecques. CHAP. XIII. Prières de la liturgie attribuée à saint Chry→ sostôme : ce qu'il rapporte lui-même de la liturgie de son temps, et les réflexions qu'il fait dessus. 558 CHAP. XIV. Abrégé du contenu dans les prières, où se trouvent de mot à mot toute la doctrine de saint Augustin et la foi de toute l'Eglise sur l'efficace de la grâce.

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CHAP. XV. Conséquence de saint Augustin: la discussion des Pères peu nécessaire: la prière suffisante pour

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CHAP. XVI. Erreur de M. Simon de louer saint Chrysostôme de n'avoir point parlé de grâce efficace. Les prières la prouvent sans disputer. CHAP. XVII. Erreur de s'imaginer que Dieu ôte le libre

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arbitre en le tournant où il lui plaît: modèle des prières

de l'Eglise dans celle d'Esther, de David, de Jérémie, et encore de Daniel. Page 567 CHAP. XVIII. Preuve de l'efficace de la grâce par l'Oraison dominicale. CHAP. XIX. Les deux dernières demandes expliquées par saint Augustin et par les prières de l'Eglise, démontrent l'efficace de la grâce.

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571 CHAP. XX. Saint Augustin a pris des anciens Pères la manière dont il explique l'Oraison dominicale. Saint Cyprien, Tertullien. Tout donner à Dieu. Saint Grégoire de Nysse.

575 CHAP. XXI. La prière vient autant de Dieu que les autres bonnes actions.

578 CHAP. XXII. On prouve par la prière que la prière vient de Dieu.

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CHAP. XXIII. L'argument de la prière fortifié par l'action de grâces. 584 CHAP. XXIV. La même action de grâces dans les Grecs que dans saint Augustin. Passages de saint Chrysostôme.

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CHAP. XXV. Ni les semi-pélagiens, ni Pélage même ne nioient pas que Dieu ne pût tourner où il vouloit le libre arbitre. Si c'étoit le libre arbitre même qui donnoit à Dieu ce pouvoir, comme le disoit Pélage. Excellente réfutation de saint Augustin.

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CHAP. XXVI. La prière de Jésus-Christ pour saint Pierre : J'ai prié pour toi en saint Luc. xx11. 32. Application aux prières de l'Eglise.

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CHAP. XXVII. Prière du concile de Selgenstad, avec des remarques de Lessius.

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LIVRE ONZIÈME.

Comment Dieu permet le péché selon les Pères grecs et latins : confirmation, par les uns comme par les autres, de l'efficace de la grâce.

CHAP. I. Sur quel fondement M. Simon accuse saint Augustin de favoriser ceux qui font Dieu auteur du péché. Passage de ce Père contre Julien. Page 594 CHAP. II. Dix vérités incontestables par lesquelles est éclaircie et démontrée la doctrine de saint Augustin en cette matière première et seconde vérités : que ce Père avec tous les autres ne reconnoît point d'autre cause du péché que le libre arbitre de la créature, ni d'autre moyen à Dieu pour y agir, que de le permettre.

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CHAP. III. Troisième vérité, où l'on commence à expliquer les permissions divines: différence de Dieu et de l'homme que Dieu permet le péché, pouvant l'empêcher. CHAP. IV. Quatrième vérité, et seconde différence de Dieu et de l'homme. Que l'homme péche en n'empêchant pas le péché lorsqu'il le peut; et Dieu, non. Raison profonde de saint Augustin. 598 CHAP. V. Cinquième vérité : une des raisons de permettre le péché est que sans cela la justice de Dieu n'éclateroit pas autant qu'il veut, et que c'est pour cette raison qu'il endurcit certains pécheurs. 600 CHAP. VI. Sixième vérité établie par saint Augustin comme par tous les autres Pères, qu'endurcir du côté de Dieu n'est que soustraire sa grâce. Calomnie de M. Simon contre ce Père. CHAP. VII. Septième vérité également établie par saint Augustin, que l'endurcissement des pécheurs du côté

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