Oeuvres complètes de Voltaire: Mélanges historiquesCarez, Thomine et Fortic, 1821 |
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... assez forts par vous mêmes ; j'ai été surpris que vous ayez cherché des troupes auxiliaires chez les jésuites : est - ce parce qu'ils sont aujourd'hui dispersés comme vous que vous les appelez à votre secours ? Vous combattez sous le ...
... assez forts par vous mêmes ; j'ai été surpris que vous ayez cherché des troupes auxiliaires chez les jésuites : est - ce parce qu'ils sont aujourd'hui dispersés comme vous que vous les appelez à votre secours ? Vous combattez sous le ...
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... assez com- ment un mot de plus ou de moins change la vérité en mensonge odieux . Ce premier trait peut faire- juger de Nonotte . IIe SOTTISSE DE NONOTTE , sur un édît de l'Empereur . Il s'agit d'un chrétien qui déchira et qui mit en ...
... assez com- ment un mot de plus ou de moins change la vérité en mensonge odieux . Ce premier trait peut faire- juger de Nonotte . IIe SOTTISSE DE NONOTTE , sur un édît de l'Empereur . Il s'agit d'un chrétien qui déchira et qui mit en ...
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... assez plaisants , page 28 , pour accréditer la fable de la légion thé- baine toute composée de chrétiens , tout entière environnée dans une gorge de montagnes , où l'on ne peut pas mettre deux cents hommes en bataille , au pied du grand ...
... assez plaisants , page 28 , pour accréditer la fable de la légion thé- baine toute composée de chrétiens , tout entière environnée dans une gorge de montagnes , où l'on ne peut pas mettre deux cents hommes en bataille , au pied du grand ...
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... assez que les livres carolins envoyés à Rome , et non condam- nés , traitent le second concile de Nicée , de synode arrogant et impertinent ; ce sont des faits attestés par des monuments authentiques . Ce concile de Francfort rejeta DE ...
... assez que les livres carolins envoyés à Rome , et non condam- nés , traitent le second concile de Nicée , de synode arrogant et impertinent ; ce sont des faits attestés par des monuments authentiques . Ce concile de Francfort rejeta DE ...
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... assez faible pour céder d'abord au pape sept châteaux qu'il avait en Provence . Il alla à Valence , et fut mené nu en che- mise devant la porte de l'église , et là il fut battu de verges comme un vil scélérat qu'on fouette par la main ...
... assez faible pour céder d'abord au pape sept châteaux qu'il avait en Provence . Il alla à Valence , et fut mené nu en che- mise devant la porte de l'église , et là il fut battu de verges comme un vil scélérat qu'on fouette par la main ...
Expressions et termes fréquents
absurdes affaire Albéroni assez auteur avaient beau Benoît XI c'était calomnies cardinal Albéroni cardinal de Richelieu cent mille Charlemagne Charles Charles VII Chine Chinois chose chrétiens citoyens comte confession conseil conte crime d'état Dieu dire donner duc de Guise écrit Égypte empereurs ennemis états évêque fables femmes fesait Foncemagne François Ier gouvernement Grecs guerre Henri Henri IV hommes huguenots humain imprimer j'ai jamais Jean XXII jésuites Juifs Julien l'abbé de Bourzeis l'auteur de l'Essai L'AUTEUR du libelle l'Église l'empereur l'esprit l'Europe l'histoire lettre livre lois long-temps Louis XIV madame madame de Maintenon massacres Mémoires ment messe millions mœurs monsieur mort n'avait n'était narration succincte nation ouvrage pape parler père peuples Pologne prétendu prince proscription qu'un raison religion romain Rome royaume sage saint Saint-Barthélemi sait savant serait Sésostris seul Siècle de Louis SOTTISE DE NONOTTE Testament politique teur Thou tion trouve vérité Voilà Voltaire vrai
Fréquemment cités
Page 309 - II ne faut, y est-il dit, se servir de gens de bas lieu; ils sont trop austères et trop difficiles. » Ce n'est pas citer exactement. Le testament dit dans cet endroit que les hommes d'une basse naissance sont d'ordinaire difficiles et d'une austérité épineuse : il ne dit point qu'il ne faut pas se servir d'un pauvre honnête...
Page 112 - Il sera bien loin de s'en tenir à cette connaissance; il recherchera quel a été le vice radical et la vertu dominante d'une nation; pourquoi elle a été puissante ou faible sur la mer; comment et jusqu'à quel point elle s'est enrichie depuis un siècle; les registres des exportations peuvent l'apprendre. Il voudra savoir comment les arts, les manufactures se sont établis; il suivra leur passage et leur retour d'un pays dans un autre.
Page 266 - ... ner le parti huguenot, rabaisser l'orgueil des grands, et relever « son nom »: premièrement, parce qu'un tel discours est rempli d'un orgueil insupportable ; secondement, parce qu'il est entièrement faux. Toute la France sait que, dans l'année 1624, j'entrai au conseil malgré la répugnance extrême du roi.
Page 106 - On sent bien que c'est là le rhéteur qui parle : s'il avait été un peu philosophe, il aurait vu l'absurdité de ce qu'il avance. Il me semble que si l'on voulait mettre à profit le temps présent, on ne passerait point sa vie à s'infatu'er des fables anciennes. Je conseillerais à un jeune homme d'avoir une légère teinture de ces temps reculés ; mais je voudrais qu'on commençât une étude sérieuse de l'histoire au temps où elle devient véritablement intéressante pour nous : il me semble...
Page 108 - Peut-être arrivera-t-il bientôt dans la manière d'écrire l'histoire ce qui est arrivé dans la physique. Les nouvelles découvertes ont fait proscrire les anciens systèmes. On voudra connaître le genre humain dans ce détail intéressant qui fait aujourd'hui la base de la philosophie naturelle.
Page 23 - Laplupartde tous nos historiens, qui se copient tous les uns les autres, supposent que la Pucelle fit des prédictions et qu'elles s'accomplirent. On lui fait dire qu'elle chassera les Anglais hors du royaume; et ils y étaient encore cinq ans après sa mort. On lui fait écrire une longue lettre au roi d'Angleterre; et assurément elle ne savait ni lire ni écrire; on ne donnait pas cette éducation à une servante d'hôtellerie dans le Barois ; et son procès porte qu'eIle ne savait pas signer...
Page 107 - ... une étude sérieuse de l'histoire au temps où elle devient véritablement intéressante pour nous; il me semble que c'est vers la fin du quinzième siècle. L'imprimerie, qu'on inventa en ce temps-là, commence à la rendre moins incertaine.
Page 296 - C'est un progrès naturel. Car quiconque croit quelque chose, estime que c'est ouvrage de charité de la persuader à un autre ; et pour ce faire , ne craint point d'ajouter de son invention, autant qu'il voit être nécessaire en son conte, pour suppléer à la résistance et au défaut qu'il pense être en la conception d'autrui.
Page 338 - Les dix-neuf citoyens échappés devaient, selon eux, faire révolter tout le canton. Le président d'Oppède, trompé par une information frauduleuse de Guérin, demanda au roi des troupes pour appuyer la recherche et la punition des dix-neuf prétendus coupables. François I er , trompé à son tour, accorda enfin les troupes.
Page 181 - J'envisage encore le siècle de Louis xiv comme celui du génie et le siècle présent comme celui qui raisonne sur le génie. J'ai travaillésoixanteansàrendreexactement justice aux grands hommes de ma patrie. J'ai obtenu quelquefois pour récompense la persécution et la calomnie. Je ne me suis point découragé. La vérité m'a été plus précieuse que les clameurs injustes ne sont méprisables. Je ne me défends point ; je défendsceuxqui sont morts en servant la patrie ou en l'instruisant.