L'Esprit des journaux, françois et étrangers, Numéro 4Valade, 1778 |
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Expressions et termes fréquents
adreffes affez ainfi Année littéraire auffi Aulu-Gelle auroit avoient avoit c'eft C'eſt c'étoit caufe ceffe chofe clavecin confeil confidérable connoiffance connoître Darquier dauphin defirer déja devoit difcours differtation dit-il efpece efprit enfans enfuite eſt étoient étoit fage faifant faifoit falpêtre fans fanté favoir fciences fe trouve feconde fecours femble fens fent feroit fervir feul fiecle fieur fociété foin foit fomme fous fouvent fouverains François Frontin ftyle fuccès fuivant fujet fur-tout Gourcy grace homme intéreffant jour journal journal encyclopédique jufqu'à jufte l'abbé Coyer l'auteur l'efprit l'hiftoire l'ufage laiffer Lekain lord Pigot lorfque madame malade maniere matiere Mémoires ment mercure Moldavie mufique n'avoit n'eft Nabab naiffance néceffaire obfervations occafion Orgon ouvrage paffage paffer paroît particuliere perfonnes philofophe plaifir plufieurs poffible pourroit préfent premiere prince princeffe propofe Proyart puiffe raifon refte Rencurel s'eft Scythes ſes Tanjaor tems teur théatre tion traité troifieme Valachie Zamaleski
Fréquemment cités
Page 101 - Mais vous possédez leurs faveurs. Tout s'éteint, tout s'use, tout passe : Je m'affaiblis, et vous croissez; Mais je descendrai du Parnasse Content, si vous m'y remplacez. Je jouis peu, mais j'aime encore; Je verrai du moins vos amours : Le crépuscule de mes jours S'embellira de votre aurore.
Page 254 - S: le mien que vous aurez pour juge. Je vois de près la tombe où fera mon refuge ; Dix luftres font déjà retranchés de mes jours ; Mais ma haine vous refte , elle vivra toujours. Oui, c'eft pour vous punir, que je veux me furvivre; Mes yeux fermés, mon ombre eft prête à vous pourfuivre^ Dans peu , demain peut-être...
Page 253 - Et tremblez de corrompre un cœur comme le fien, Un cœur qui ne refpire & ne veut que le bien. Vous épiez , cruels , un moment de...
Page 360 - Pofte faifoit les fignaux au troificme , à mefure qu'il les voyoit faire au premier , la nouvelle fe trouvoit portée de Paris à Rome prefque en auffi peu de tems qu'il en falloit pour faire les fignaux à Paris.
Page 260 - O toi qui, de la Seine enfin, comblant les vœux , Reparais sur ses bords honorés par tes veilles ; Toi dont ma lyre osa , pour le sang des Corneilles, Implorer le cœur généreux ; Phénix qui renais de ta cendre , Étonnement du monde, honneur du nom français , Voltaire , ne cesse jamais De nous plaire et de nous surprendre ! Ces quatre-vingts hivers, dont tu braves le faix , Semblent , expiant tes succès , Moins te vieillir que te défendre. Oh ! qu'avec tant d'éclat la vieillesse a d'attraits...
Page 8 - Roi étoit allé dans fon appartement , il y trouva cette petite piece de vers , que lui avoit préfenté un pauvre Officier, dont on avoit réduit la penfion. Si le fils du Roi notre Maître , Par fon crédit...
Page 360 - ... ces differens fignaux étoient autant de lettres d'un alphabet dont on n'avoit le chiffre qu'à Paris & •à Rome. La grande portée des lunettes faifoit la diftance des poftes dont le nombre devoit être le moindre qu'il...
Page 252 - Je ne t'envîrai point cet horrible plaisir. Tranquillement assis sous l'olive sacrée, Je montrerai la paix des beaux-arts entourée : Je peindrai sous le chaume un roi consolateur Ranimant d'un regard l'humble cultivateur, Et des champs à la cour revenant plus sensible...
Page 252 - La postérité calme est pour lui sans couleur : L'innocence et la paix n'ont plus rien d'énergique : II lui faut, pour briller, quelque revers tragique, Quelque grand criminel pour le peindre à grands traits. Un règne heureux échappe à ses regards distraits.
Page 261 - ... aux jeux de Melpomène, De voir Aménaïde en pleurs Intéresser à ses douleurs Les larmes de ta jeune reine ! Les Grâces , triomphant sur le trône des lis , Ont ramené les arts à la cour de Louis. Partage avec Buffon le temple de mémoire ; Les Muses t'ont donné la gloire ; Jupiter désarmé te donne encor la paix. Sous tes lauriers la foudre expire ; L'Envie elle-même t'admire; Et la Parque étonnée a suspendu ses traits. Mais ne va point troubler ta joie et nos hommages , Ni de tes...