Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen; |
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Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et ... Jean Baptiste Robinet Affichage du livre entier - 1778 |
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Expressions et termes fréquents
ainſi anciens aſſez auſſi avant avantages avoient avoit c'eſt cauſe cent chargé choſes commerce commun comte condition contraire corps côté cour d'autres d'Eſtrades denrées différentes dire doit doivent donner effet également enfin Eſclaves eſt établi état Etats étoient étoit étrangers facile famille fans fonds font force forme fort forte général gens gouvernement Grecs guerre hommes intérêts jours juge l'argent l'Eſpagne l'Etat l'homme l'un legs liberté lieu livres loix mains maître maniere marchandiſes ment mettre mille monde mort moyens n'en n'eſt nation nature naturelle négociant nombre nouvelle objets obligé ordre paix parler particuliers payer pays pere perſonne peuple peuvent place pluſieurs porte pourroit pouvoir premier premiere preſque prince principalement produit propre provinces public qu'à qu'un qualité raiſon regarde regle rendre rien royaume s'en s'il ſans ſera ſeroit ſes ſeul ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſujets ſur terre tion titre traité trouve utile vérité Voyez
Fréquemment cités
Page 637 - Catinat, peu considéré à la cour, s'était fait un grand parti dans l'armée sans y prétendre. Un chef de parti est toujours un chef de faction : tels ont été le cardinal de Retz, Henri...
Page 154 - La guerre n'est donc point une relation d'homme à homme, mais une relation d'Etat à Etat, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu'accidentellement, non point comme hommes, ni même comme citoyens ' , mais comme soldats ; non point comme membres de la patrie . mais comme ses défenseurs.
Page 213 - Le fujet d'un defpote eft, de même que l'efclave, dans un état contre nature. Tout ce qui contribue à y retenir l'homme , eft un attentat contre fa perfonne. Toutes les mains qui l'attachent à la tyrannie d'un feul , font des mains ennemies. Voulez-vous favoir quels font les auteurs & les complices de cette violence 1 Ceux qui l'environnent.
Page 208 - ... du berceau pour les étouffer dans leurs bras, & les immoler avec une fureur mêlée de vengeance & de pitié, pour en priver des maîtres barbares. Cette atrocité, dont toute l'horreur retombe fur les Européens, leur ouvrira peut-être les yeux. Leur fenfibilité fera réveillée par des intérêts mieux raifonnés. Ils connoîtront qu'ils perdent plus qu'ils ne...
Page 674 - ... fâché de leur trouver des vertus. Le sauvage n'a pas un caractère déterminé, parce qu'on n'est pas sauvage par un vice particulier de l'âme. En général, on peut dire qu'il est craintif, timide, méfiant, etc.
Page 499 - Pour ne pas se tromper dans ces compensations, il faut bien distinguer la liberté naturelle qui n'a pour bornes que les forces de l'individu, de la liberté civile qui est limitée par la volonté générale, et la possession qui n'est que l'effet de la force ou le droit du premier occupant, de la propriété qui ne peut être fondée que sur un titre positif.
Page 209 - ... pour toujours de leur patrie. Si le fentiment ne nous trompe pas, des cultivateurs nés dans les ifles même de l'Amérique, refpirant toujours leur premier air, élevés...
Page 213 - En diftribuant toutes les propriétés au gré de leur caprice , elles ont affujetti une infinité d'hommes à la volonté, impérieufe de leurs femblables , au point de les fair.e chanter & danfer pour vivre. Vous avez parmi vous des êtres faits comme vous , qui ont confenti à s'enterrer fous des montagnes pour vous fournir des métaux , du cuivre qui vous empoifonne peut-être : pourquoi...
Page 204 - Hen. fâché qu'un Efclave fût plus honnête que moi. Mais il ya des barbares qui , regardant la pitié comme une foiblefle , fe plaifent à tenir la verge de la tyrannie toujours levée.
Page 537 - Etranger & un citoyen, doivent être terminés par le juge du lieu , & fuivant les loix du lieu. Et comme le différend naît proprement par le refus du défendeur , qui prétend ne point devoir ce qu'on lui demande ; il fuit du même principe , que tout défendeur doit être pourfuivi pardevant fon juge, qui feul a le droit de le condamner & de le contraindre.