Lexique de la langue de Molière comparée à celle des écrivains de son temps: commentaires de philologie historique et grammaticale, Volume 3Imprimerie nationale, 1897 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 80
Page 1
... j'ai sur le cœur . Tart . , I , 1 . Il máchoit de dépit quelque mot dans sa bouche . LA FONT . , VII , p . 56 : L'Eun . , III , 2 . MACHINE , machination , intrigue , moyen d'agir . 927 Cet homme ... .. Qu'abuse à ses yeux , par sa ...
... j'ai sur le cœur . Tart . , I , 1 . Il máchoit de dépit quelque mot dans sa bouche . LA FONT . , VII , p . 56 : L'Eun . , III , 2 . MACHINE , machination , intrigue , moyen d'agir . 927 Cet homme ... .. Qu'abuse à ses yeux , par sa ...
Page 28
... J'ai crainte ici - dessous de quelque manigance . – L'Ét . , I , 4 . 780 Le remède plus prompt où j'ai su recourir , C'est de pousser ma pointe et dire en diligence - A notre vieux patron toute la manigance . – Dép . am . , III , 1 ...
... J'ai crainte ici - dessous de quelque manigance . – L'Ét . , I , 4 . 780 Le remède plus prompt où j'ai su recourir , C'est de pousser ma pointe et dire en diligence - A notre vieux patron toute la manigance . – Dép . am . , III , 1 ...
Page 44
... j'ai marqué l'ambassade , Il est resté d'abord et muet et confus . - Éc . des Mar. , II , 3 . * C'est - à - dire lorsque j'ai dit que l'ambassade venoit de sa part . Ellipse un peu forte . ... : L'époux digne et fortuné que les Dieux ...
... j'ai marqué l'ambassade , Il est resté d'abord et muet et confus . - Éc . des Mar. , II , 3 . * C'est - à - dire lorsque j'ai dit que l'ambassade venoit de sa part . Ellipse un peu forte . ... : L'époux digne et fortuné que les Dieux ...
Page 49
... j'ai martel en teste , et tout autre l'auroit . HAUTEROCHE , Crisp . music . , V , 5 . 49 Que dites - vous du billet que j'ay écrit à M. Eutrope , pour lui donner martel en téte ? - ID . , Cocher , sc . 7 . personne masquée . MASQUE : 1 ...
... j'ai martel en teste , et tout autre l'auroit . HAUTEROCHE , Crisp . music . , V , 5 . 49 Que dites - vous du billet que j'ay écrit à M. Eutrope , pour lui donner martel en téte ? - ID . , Cocher , sc . 7 . personne masquée . MASQUE : 1 ...
Page 67
... J'ai vu par la fenêtre un homme tout à l'heure Qui menoit par la main Aminte à sa demeure . MENER , amener . MONTFLEURY , Dame médecin , I , 1 . 1674 Je suis ici venu .. Sans en faire récit , Je sais ce qui vous mène . – Éc . des Fem ...
... J'ai vu par la fenêtre un homme tout à l'heure Qui menoit par la main Aminte à sa demeure . MENER , amener . MONTFLEURY , Dame médecin , I , 1 . 1674 Je suis ici venu .. Sans en faire récit , Je sais ce qui vous mène . – Éc . des Fem ...
Autres éditions - Tout afficher
Lexique de la langue de Molière comparée à celle des écrivains de ..., Volume 3 Charles-Louis Livet Affichage du livre entier - 1897 |
Lexique de la langue de Molière comparée à celle des écrivains de ..., Volume 3 Charles-Louis Livet Affichage du livre entier - 1897 |
Lexique de la langue de Molière comparée à celle des écrivains de ..., Volume 3 Charles Louis Livet Affichage du livre entier - 1897 |
Expressions et termes fréquents
amour Amph avoit beau belle BENSSERADE Bertr bibl BOIS-ROBERT BOSSUET BOUHOURS Bourg BRUY C'est-à-dire celuy CHAPELAIN Chassang chose cœur Coméd Contes Coquette CORN Corneille Cotgrave Crisp Crit d'Alfar D'OUVILLE D'URFÉ Dand David Dép DESPR Diction dire donne édit elzév Escarb esté Estienne estoit estre Fabl Fâch femme Fille capitaine FONT Fourb franç FURETIÈRE Garc gens gent gentilh Guzm HAUTEROCHE Hist homme hypocondre ibid interm j'ai j'ay Jouaust Juan l'Académie L'Astrée l'Éc L'Ét locution LORET Madame MALH Marmouset Méd Ménechmes mesme mignon Misanth Molière Monsieur MONTFLEURY Muze histor Nouv OEuvr Ovide bouffon parler passe personne peste pique Poés Polyandre Pourc Princ pronom QUINAULT quoy REGNARD Richelet rien ROCHEF SAINT-AMANT SARASIN Scap SCARRON SEGRAIS sens seroit Sév Sgan Simandre SOREL sorte SUBLIGNY Tart Trad trav Trigaudin univ Vaudev Vaugelas verbe veux Virg Voilà
Fréquemment cités
Page 643 - Lorsque nous concevons la substance , nous concevons seulement une chose qui existe en telle façon qu'elle n'a besoin que de soi-même pour exister. En quoi il peut y avoir de l'obscurité touchant l'explication de ce mot : N'avoir besoin que de soi-même ; car, à proprement parler, il n'ya que Dieu qui soit tel, et il n'ya aucune chose créée qui puisse exister un seul moment sans être soutenue et conservée par sa puissance. C'est pourquoi...
Page 26 - Oui, toujours des marquis : que diable voulez-vous qu'on prenne pour un caractère agréable de théâtre ? Le marquis aujourd^iui est le plaisant de la comédie. Et, comme dans toutes les comédies anciennes on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même dans toutes nos pièces de maintenant il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie.
Page 615 - Oui, je comprends cela. ALAIN C'est justement tout comme, La femme est en effet le potage de l'homme; Et quand un homme voit d'autres hommes parfois, Qui veulent dans sa soupe aller tremper leurs doigts, II en montre aussitôt une colère extrême.
Page 461 - Quel avantage at-on qu'un homme vous caresse, Vous jure amitié, foi, zèle, estime, tendresse, Et vous fasse de vous un éloge éclatant, Lorsqu'au premier faquin il court en faire autant ? Non, non, il n'est point d'âme un peu bien située Qui veuille d'une estime ainsi prostituée, Et la plus glorieuse a des régals peu chers Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers.
Page 343 - Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 623 - N'avoir besoin que de soimême; car, à proprement parler, il n'ya que Dieu qui soit tel, et il n'ya aucune chose créée qui puisse exister un seul moment sans être soutenue et conservée par sa puissance. C'est pourquoi on a raison dans l'école de dire que le nom de substance n'est pas univoque...
Page 767 - Cela est vrai, elle a les yeux petits; mais elle les a pleins de feu, les plus brillants, les plus perçants du monde, les plus touchants qu'on puisse voir.
Page 764 - Ces gens, dis-je, qu'on voit d'une ardeur non commune Par le chemin du Ciel courir à leur fortune, Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au...
Page 445 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies, Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre, et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.