Commentaire sur la Loi des successions: formant le titre premier du livre troisième du Code civil, Volume 1Durand, 1839 - 8 pages |
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... après cette explication , il paraîtra sans doute moins étonnant que l'ouvrage , qui parut d'ailleurs presque immédiatement après l'émission de la loi nouvelle sur les successions et qui fut le premier commentaire sur cette loi ...
... après cette explication , il paraîtra sans doute moins étonnant que l'ouvrage , qui parut d'ailleurs presque immédiatement après l'émission de la loi nouvelle sur les successions et qui fut le premier commentaire sur cette loi ...
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... après les présomptions les plus naturelles et les plus vraisem- blables . 7. Lorsqu'une succession est ouverte , les biens qui en dépen- dent se trouveraient vacans et à l'abandon , si la loi n'y avait pas pourvu . Pour qu'ils ne ...
... après les présomptions les plus naturelles et les plus vraisem- blables . 7. Lorsqu'une succession est ouverte , les biens qui en dépen- dent se trouveraient vacans et à l'abandon , si la loi n'y avait pas pourvu . Pour qu'ils ne ...
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... après laquelle la succession est déférée au parent le plus proche dans la ligne préférée , a été mo- difiée par trois exceptions . La première résulte du bénéfice de représentation , accordé par la loi à tous les descendans en ligne ...
... après laquelle la succession est déférée au parent le plus proche dans la ligne préférée , a été mo- difiée par trois exceptions . La première résulte du bénéfice de représentation , accordé par la loi à tous les descendans en ligne ...
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... après leurs lumières et leur conscience , si , des circonstances qui sont connues , il résulte des présomptions suffisantes pour déclarer la survie de l'une plutôt que de l'autre des personnes qui ont péri dans le même événement ( 1 ) ...
... après leurs lumières et leur conscience , si , des circonstances qui sont connues , il résulte des présomptions suffisantes pour déclarer la survie de l'une plutôt que de l'autre des personnes qui ont péri dans le même événement ( 1 ) ...
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... après cette distinction , il est évident que ce sont les lois 17 et 18 , et non la loi 9 , qui peuvent se concilier avec notre législa- tion actuelle , puisque cette législation préfère toujours les hérì- tiers du sang ; puisqu'elle ne ...
... après cette distinction , il est évident que ce sont les lois 17 et 18 , et non la loi 9 , qui peuvent se concilier avec notre législa- tion actuelle , puisque cette législation préfère toujours les hérì- tiers du sang ; puisqu'elle ne ...
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Expressions et termes fréquents
acte authentique aïeul alimens appelés à succéder articles ascendans ascendant aurait eue branche paternelle cendans cession Code civil collatéraux concours conjoint survivant consanguins conseil d'état décédé sans postérité décès déclaré indigne déférée défunt n'a laissé descendans d'eux descendans de frères descendans légitimes descendant disposé disposition de l'art division doit donation effet également enfans légitimes enfans naturels entre-vifs établi exclus faveur frères ou sœurs Gilbert héritiers légitimes issus l'aïeul l'article l'ascendant donateur l'autre ligne l'égard l'enfant légitime l'héritier l'un légalement législateur ligne paternelle lorsqu'il Maleville mariage mort civile motifs parens légitimes père et mère personnes peuvent proche puisqu'il qu'ainsi quart quoiqu'il quotité réclamer reconnaissance représentation réserve résulte réversion s'il saisine serait seul côté sœurs d'un seul sœurs du défunt sœurs germains sœurs légitimes souche succèdent succes successeurs irréguliers succession du donataire successions ab intestat suivant l'art survécu termes de l'art ticle tiers tion titre tribunat trouve turel utérins
Fréquemment cités
Page 73 - Lorsque les faits punis par l'article précédent auront été commis par suite d'un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l'arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.
Page 518 - La succession de l'enfant naturel décédé sans postérité, est dévolue au père ou à la mère qui l'a reconnu ; ou par moitié à tous les deux, s'il a été reconnu par l'un et par l'autre.
Page 490 - En ligne collatérale, la représentation est admise en faveur des enfants et descendants de frères ou sœurs du défunt, soit qu'ils viennent à sa succession concurremment avec des oncles ou tantes, soit que tous les frères et sœurs du défunt étant prédécédés, la succession se trouve dévolue à leurs descendants en degrés égaux ou iuégaux.
Page 386 - La reconnaissance faite, pendant le mariage, par l'un des époux, au profit d'un enfant naturel qu'il aurait eu, avant son mariage, d'un autre que de son époux, ne pourra nuire ni à celui-ci, ni aux enfants nés de ce mariage. Néanmoins elle produira son effet après la dissolution de ce mariage, s'il n'en reste pas d'enfants.
Page 543 - ... 342. Un enfant ne sera jamais admis à la recherche soit de la paternité, soit de la maternité, dans les cas où, suivant l'article 335, la reconnaissance n'est pas admise.
Page 112 - Toute succession échue à des ascendants ou à des collatéraux, se divise en deux parts égales : l'une pour les parents de la ligne paternelle, l'autre pour les parents de la ligne maternelle. Les parents utérins ou consanguins ne sont pas exclus par les germains; mais ils ne prennent part que dans leur ligne, sauf ce qui sera dit à l'article 752.
Page 55 - L'étranger jouira en France des mêmes droits civils que ceux qui sont ou seront accordés aux Français par les traités de la nation à laquelle cet étranger appartiendra.
Page 73 - Il n'ya ni crime ni délit, lorsque l'homicide, les blessures et les coups étaient ordonnés par la loi et commandés par l'autorité légitime. ARTICLE 328 Il n'ya ni crime ni délit, lorsque l'homicide, les blessures et les coups étaient commandés par la nécessité actuelle de la légitime défense de soi-même ou d'autrui.
Page 228 - La dot constituée par le mari seul à l'enfant commun, en effets de la communauté, est à la charge de la communauté; et dans le cas où la communauté est acceptée par la femme, celle-ci doit supporter la moitié de la dot, à moins que le mari n'ait déclaré expressément qu'il s'en chargeait pour le tout, ou pour une portion plus forte que la moitié.
Page 68 - L'étrangère qui aura épousé un Français, suivra I» condition de son mari. I 3 • L'étranger qui aura été admis par l'autorisation de l'Empereur à établir son domicile en France, y jouira de tous les droits civils, tant qu'il continuera d'y résider.