La Liberté de penser: revue dʹemocratique, Volume 5Joubert, 1849 |
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Page 374
... Don Pedro a bâti ce palais . » Mal siéent dans leurs vastes salles nos modernes futilités , et , dans leurs patios ( 3 ) superbes , des hommes sans barbe et sans pourpoint . Combien de fois , dans les calmes soirées , au milieu de ...
... Don Pedro a bâti ce palais . » Mal siéent dans leurs vastes salles nos modernes futilités , et , dans leurs patios ( 3 ) superbes , des hommes sans barbe et sans pourpoint . Combien de fois , dans les calmes soirées , au milieu de ...
Page 376
... don Pedro de Castille . ROMANCE III . Ainsi qu'au sommet d'une tour solitaire planent 376 LA LIBERTÉ DE PENSER .
... don Pedro de Castille . ROMANCE III . Ainsi qu'au sommet d'une tour solitaire planent 376 LA LIBERTÉ DE PENSER .
Page 377
... don Pedro des pensées sinistres , dont les ombres obscur- cissent les traits de son visage . Ce qui préoccupe son ... don Pedro , trouvèrent à se nicher peu à peu dans son cœur et dans sa tête , tandis que , toujours vive , éveillée ...
... don Pedro des pensées sinistres , dont les ombres obscur- cissent les traits de son visage . Ce qui préoccupe son ... don Pedro , trouvèrent à se nicher peu à peu dans son cœur et dans sa tête , tandis que , toujours vive , éveillée ...
Page 378
... don Pedro de Castille . Rije Ainsi qu'au sommet d'une m oiseaux de proie , 376 LA LIBERTÉ DE PENSER .
... don Pedro de Castille . Rije Ainsi qu'au sommet d'une m oiseaux de proie , 376 LA LIBERTÉ DE PENSER .
Page 379
... don Pedro des pensee su cissent les traits de son visage .. c'est tantôt le pouvoir de ses freres appelle bâtards ... don Pedro ourt instant dame agi- 2 , d'inten- é le décret rs , eut - il es , vêtus Par un noble effort , don Fadrique ...
... don Pedro des pensee su cissent les traits de son visage .. c'est tantôt le pouvoir de ses freres appelle bâtards ... don Pedro ourt instant dame agi- 2 , d'inten- é le décret rs , eut - il es , vêtus Par un noble effort , don Fadrique ...
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Expressions et termes fréquents
allemande âme Andrieux assonnante aujourd'hui avez Bourbon BRANTÔME c'était catholicisme catholique Charlotte Corday Châteaubriand chose citoyens clergé cœur commerce Connétable conscience conseil Constitution Cormenin Croatie Danton démocratie devant Dieu dire divine dogme don Pedro ÉMILE DESCHANEL enfants esprit eût force française gens gouvernement Hecker hommes Hongrie immanent j'ai j'avais jamais jour justice l'assemblée l'École l'Église l'enseignement l'esprit l'État l'histoire l'homme l'humanité l'instruction l'unité l'Université laisser Leibniz Leverrier Liberté de penser livre Louis XVIII madame Magyars Mahomet main majorité Marat ment messieurs Michelet millions ministre monarchie monde monsieur Montalembert morale nation nationale nature panthéisme parler paroles passé pays personne peuple philosophie poëte politique Polynice porte premier principe professeur qu'un question raison Raoul Rochette religieuse religion républicain République reste révolution révolution française rien romances Russie saint semble sentiment serait seul siècle Slaves socialisme société soldats sorte Struve suffrage universel système Thiers tion trouve vérité voilà vote voulait vrai
Fréquemment cités
Page 399 - Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant de l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.
Page 141 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 285 - Le peuple entra dans le sanctuaire : il leva le voile qui doit toujours couvrir tout ce que l'on peut dire, tout ce que l'on peut croire du droit des peuples et de celui des rois, qui ne s'accordent jamais si bien ensemble que dans le silence.
Page 14 - Vous avez appris qu'il a été dit : Œil pour œil et dent pour dent; « Et moi je vous dis de ne point résister au mal que l'on veut vous faire , mais si quelqu'un vous a frappé sur la joue droite, présentez-lui encore l'autre.
Page 479 - Je hais ces cœurs glacés et morts pour leur pays Qui, voyant ses malheurs dans une paix profonde, S'honorent du grand nom de citoyens du...
Page 20 - Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises : elles conservent soigneusement pendant l'absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact '. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre la désobéissance ; vous les reléguerez dans des lits à part , vous les battrez ; mais , dès qu'elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle.
Page 16 - Dieu, dit admirablement Mahomet, Dieu s'imposa à lui-même le devoir de la miséricorde (s. vi, v. 12). » « Celui qui a commis une mauvaise action en recevra un prix équivalent ; celui qui a fait une bonne action, en recevra la récompense décuple (s. v, v. 161). » « A ceux qui feront le mal, leur rétribution sera pareille au mal ; à ceux qui ont fait le bien, le bien et des récompenses en sus (s. x, v. 27 et 28). » « Dieu est enclin à avoir pitié, à pardonner (s. xxxin, v. 24), il...
Page 352 - Soldats fédérés des faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau ! Je suis revenu seul , parce que je comptais sur le peuple des villes, les habitants des campagnes et les soldats de l'armée, dont je connaissais l'attachement à l'honneur national. Vous avez tous justifié ma confiance.
Page 402 - L'obéissance aux statuts du corps enseignant, qui ont pour objet l'uniformité de l'instruction, et qui tendent à former, pour l'état, des citoyens attachés à leur religion, à leur prince, à leur patrie et à leur famille...
Page 352 - Soldats fédérés ! s'il est des hommes nés dans les hautes classes de la société qui aient déshonoré le nom français, l'amour de la patrie et le sentiment de l'honneur national se sont conservés tout entiers dans le peuple des villes, les habitants des campagnes et les soldats de l'armée.