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de l'être. Peut-être M. Pailhès ne s'est-il d'ailleurs pas assez défendu de la séduction que « le grand enchanteur » semble avoir exercée sur tous ceux qui l'approchaient et peut-être lui reprochera-t-on pour son héros une indulgence parfois excessive. On aimerait aussi que son livre fût écrit d'un style non pas moins vif, ni moins spirituel, mais plus ferme, plus concis, moins sautillant; que le dessein en fût plus net et les développements moins abondants. Et peut-être aussi eût-il évité quelque obscurité, s'il avait pris plus résolument son parti d'écrire soit un ouvrage d'érudition (auquel cas il aurait fallu abréger les citations et donner régulièrement les références), soit un livre destinė au grand public, aux légitimes ignorances duquel il eût alors été bon de suppléer.

En s'attachant du reste, comme il l'a fait, à étudier dans Chateaubriand l'homme plutôt que l'œuvre, M. Pailhès a réussi à élucider plus d'une question qui intéresse au plus haut point l'histoire littéraire. Et d'abord, il nous aide à reconstituer avec plus de précision qu'on ne pouvait le faire jusqu'à présent l'histoire du Génie du christianisme 1. Commencé en Angleterre dans les premiers mois de 1799, peut-être même vers la fin de 1798, imprimé partiellement à Londres et à Paris à deux reprises différentes, communiqué à la presse, comme c'était l'usage alors, avant la publication définitive, l'ouvrage fut mis en vente par le libraire Migneret le 14 avril 1802. Dans l'intervalle de ces trois années et demie, il avait subi de nombreux remaniements, dont la Préface de la première édition (Préface supprimée depuis et que M. Pailhès aurait dû reproduire) évoque discrètement le souvenir. Primitivement, il n'était question que d'un « octavo de grandeur ordinaire, et formant un volume « d'environ 430 pages » (lettre du 17 août 1799). Un peu plus tard (lettre du 27 octobre 1799), il s'agit de « deux volumes in-8°, de 350 pages chacun ». Et l'édition d'avril 1802 finit par comprendre cinq volumes in-8° de 396, 342, 304, 352 et 160 pages. — Il résulte également des lettres publiées par M. Pailhès que Chateaubriand se trompe quand il affirme dans ses Mémoires qu'« après «la triste nouvelle de la mort de sa mère, il se résolut à changer subitement « de voie et trouva sur-le-champ le titre de Génie du christianisme ». En effet le titre primitif: De la religion chrétienne par rapport à la morale et aux beauxarts (19 août 1799) est remplacé deux mois après (27 octobre) par celui-ci : Des beautés poétiques et morales de la religion chrétienne et de sa supériorité sur tous les autres cultes de la terre; et ce n'est qu'en décembre 1800, dans la célèbre lettre du Mercure à Fontanes sur le livre de la Littérature, que, par deux fois, le titre consacré fait sa triomphale apparition. Sont-ce ces variations et ces hésitations sur le titre exact à donner au livre qui ont fait attribuer à Ballanche par J.-J. Ampère 2 la découverte du titre Génie du Christianisme? M. Pailhès ne soulève pas la question preuve apparemment qu'elle est actuellement insoluble.

Une autre question qu'il faut lui savoir gré d'avoir soulevée et discutée

1. Je crois pourtant avec M. Biré (cf. deux articles très nourris et très documentés dans l'Univers des 14 et 27 janvier 1896 sur le livre de M. Pailhès), que celui-ci exagère quelque peu la rapidité de composition de l'ouvrage. Les dates que je propose me paraissent plus vraisemblables.

2. Mélanges d'histoire littéraire et de littérature (M. Lévy, 1867), t. II: M. Ballanche. - Il est regrettable que M. Pailhès n'ait pu mettre la main sur la correspondance de Ballanche et de Chateaubriand. On aurait peut-être trouvé là la clef de plusieurs petits problèmes bibliographiques et littéraires, concernant les relations des deux écrivains, relations qu'on n'a pas jusqu'ici assez soigneusement étudiées. Le premier ouvrage de Ballanche, le livre du Sentiment, écrit vers 1796 et publié en 1801, présente de bien curieux rapports avec le Génie du Christianisme, qui s'y trouve d'ailleurs cité par anticipation dans une note et qui est appelé : Des beautés poétiques du christianisme, par Chateaubriant (sic). Le texte cité par Ballanche diffère notablement de celui de l'édition princeps du Génie (t. III, p. 103, 104).

offre un intérêt plus général. Reprenant à son compte une très judicieuse indication de Vogüé, M. Pailhès se demande si la fameuse mélancolie chateaubrianesque n'aurait pas une origine en grande partie physiologique. Et recueillant les aveux qu'a laissés çà et là échapper le grand écrivain, les rapprochant les uns des autres, les éclairant au moyen de faits et d'observations que lui suggère l'étude des influences héréditaires, il établit qu'on aurait tort de prendre pour une simple métaphore le mot de Chateaubriand dans ses Mémoires sur sa «< tristesse physique ». Il serait certes à souhaiter qu'un médecin ou un psycho-physiologiste contrôlât ces inductions qui, si elles étaient justes, ne tendraient à rien moins qu'à faire de l'un des plus grands ancêtres du romantisme un malade de génie. Et ainsi se trouveraient confirmées les vues de M. Brunetière sur l'élément morbide qui, à la suite de Rousseau, s'est comme insinué dans la littérature de la première moitié du XIXe siècle.

Un point non moins nouveau du livre de M. Pailhès est le chapitre où il démontre, contrairement à l'opinion commune, que les Études historiques, bien loin d'être une œuvre hâtive de la vieillesse de Chateaubriand, ont été composées tout à loisir, et dans la belle période du génie de l'auteur, entre l'Itinéraire et les premiers chapitres des Mémoires, soit en 1811. M. Pailhès remarque avec raison que M. Faguet, trompé, comme Villemain et Sainte-Beuve, par la date de la publication (1831), ne mentionne même pas les Études. S'il avait aujourd'hui à refaire son article, il est probable qu'il les relirait plus attentivement, et qu'il les mettrait à la place qu'elles doivent occuper dans l'œuvre de Chateaubriand, peut-être avant l'Itinéraire, et tout à côté du Génie et des Martyrs.

On le voit, M. Pailhès a bien mérité de ceux qui s'intéressent à l'histoire littéraire de notre siècle. Il n'a pas voulu écrire sur Chateaubriand la monographie précise, complète, définitive que nous attendons encore il a bien compris qu'il était trop tôt pour l'entreprendre; mais il a déblayé le terrain et préparé d'excellents matériaux. Et après avoir lu son livre, on se rend mieux compte des difficultés du sujet, et de la nature des questions très délicates et d'ailleurs tout actuelles qu'il faudrait avoir résolues pour le traiter. Ce ne sera pas sortir de notre sujet, ni quitter M. Pailhès, que d'en indiquer en terminant quelques-unes.

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Aujourd'hui donc où l'on se préoccupe, avec beaucoup de raison, des rapports et des échanges des littératures modernes entre elles, il y aurait lieu d'étudier de près ce que Chateaubriand a dû à nos voisins. Il est certain qu'il leur doit beaucoup, et qu'il a été, au début du siècle, entre les littératures étrangères et la nôtre un intermédiaire presque aussi puissant que Mme de Staël elle-même. Il savait assez peu d'allemand, il est vrai, et ne pouvait lire Goethe dans le texte; mais l'italien et l'espagnol même lui étaient familiers; surtout, il connaissait très bien l'anglais : l'Essai sur les révolutions est émaillé d'anglicismes; on ne saurait assez dire ce que les Martyrs doivent au Paradis perdu, dont il donna en 1836 une traduction d'ailleurs assez médiocre 3; et il a beau, dans l'un de ses premiers articles au Mercure (en mars 1801) critiquer très vivement Young, il l'imite et s'en inspire plus d'une fois dans le Génie du christianisme. Il y aurait un bien intéressant chapitre d'histoire littéFaire à écrire sur les origines anglaises de la pensée de Chateaubriand. C'est, ne l'oublions pas, en Angleterre, où il resta sept ans, qu'eut lieu pour lui la crise religieuse il s'agirait donc de savoir avec précision quelles influences livresques » ou autres il y a subies, et s'il faut en tenir compte pour l'histoire

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1. Dans son art. sur Chateaubriand (Revue des Deux Mondes, 15 mars 1892, p. 455). 2. Cf. les art. sur le Mouvement littéraire au XIX® siècle (Nouvelles questions de eritique) et sur la Folie de J. J. Rousseau (4° série des Etudes critiques).

3. Cf. l'article très dur de G. Planche recueilli dans les Portraits littéraires, t. II.

de ses idées. Si le jeune et savant critique qui semble s'être donné pour tâche l'étude des littératures comparées, et à qui nous devons un si remarquable livre sur J.-J. Rousseau et les origines du cosmopolitisme littéraire, pouvait faire la lumière sur cette période encore trop peu connue de la vie de Chateaubriand, il nous rendrait un très grand service 1.

On nous en rendrait un autre en essayant de déterminer avec exactitude la part qui revient à Chateaubriand dans la formation de ce qu'on appelait autrefois le mal du siècle » et de ce que j'appellerais plus simplement la mélancolie romantique. Elle est assurément très grande, cette part, aussi grande, et peut-être plus, que celle d'un Byron et d'un Goethe; et qui sait si, à cet égard, l'action de Chateaubriand ne s'est pas fait sentir jusqu'à notre époque, et si tel de nos jeunes pessimistes n'est pas un de ses lointains héritiers, plutôt qu'un disciple de Schopenhauer? Je le croirais volontiers pour ma part l'auteur de René me paraît être le premier pessimiste véritable qu'ait produit notre littérature, généralement plus tournée vers l'action que vers le rêve, et, partant, peu disposée au pessimisme. Et puisque ce pessimiste a fait école parmi nous, analyser la vraie nature de son pessimisme, en rechercher les origines, en suivre l'influence sur les artistes et les écrivains de son temps et du nôtre, ce ne serait pas seulement préparer une définition plus exacte de son génie, de son œuvre et de son rôle; ce serait contribuer, et puissamment, à l'histoire des idées littéraires et morales au XIXe siècle.

Cette histoire enfin ne serait pas complète, si l'on n'y faisait une large place à Chateaubriand considéré comme le principal initiateur du mouvement de renaissance religieuse qui caractérise les premières années du siècle. On a souvent observé que la littérature du xixe siècle était, dans son ensemble, sinon plus religieuse, au moins plus imprégnée de christianisme, je ne dis pas que celle du xvii, mais que celle même du xvm. Or, si l'on cherche la raison de ce fait, on n'en trouvera pas d'autre que l'influence souveraine de Chateaubriand et le succès prestigieux du Génie du christianisme. Comment cette influence s'est-elle exercée, sur quels esprits, et dans quelles circonstances? N'a-t-elle duré qu'un temps, ou au contraire ne s'est-elle pas comme imposée à toute la pensée du siècle qui s'achève? Ne serait-il pas possible d'en décrire avec précision les vicissitudes et d'en retracer l'histoire? N'est-ce pas elle que l'on retrouve au fond de ce qu'on est convenu d'appeler le néo-christianisme contemporain? En un mot, de Chateaubriand aux romantiques, à Lamartine, à Lamennais, à Lacordaire, des romantiques à Renan, et de Renan à M. de Vogüé, n'y a-t-il pas comme une filiation d'idées et d'aspirations qu'il serait bon de mettre nettement en lumière et d'apprécier avec indépendance?... Il suffit, je pense, de poser toutes ces questions pour en montrer l'intérêt général et, je le répète, toujours actuel. On voit combien il importe de les résoudre avant de porter sur Chateaubriand un jugement qui embrasse la totalité de son œuvre et de son influence. Ces questions, il va sans dire que M. Pailhès n'avait pas à les discuter, encore bien moins à les résoudre. Il en a préparé la solution, ce qui est déjà bien quelque chose. Et c'est pourquoi nous attendons avec impatience le livre déjà « tout prêt » où il nous promet « Du nouveau sur Joubert ».

VICTOR GIRAUD.

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1. Sur le goût de Chateaubriand pour les langues et les littératures étrangères et sur la connaissance qu'il en avait, cf. Marcellus: Chateaubriand et son temps (1 vol. in-8°, M. Lévy, 1859), p. 51, 52, 111, 112, 116, 118, 120, 135, 136, 190, 195, 196, 219, 252, 289, 311, 336, 458.

PÉRIODIQUES

Academy. N° 1252 W. Morris, Old french romances.

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Chance, The Rhone called Rose or Roze in Provençal. - Algers, Pamela's daughter. - N° 1254 : Mary Darmesteter, Froissart. N° 1255 Brachet, An historical grammar of the French language rewritten and enlarged by Paget Toynbee. - N° 1258: Les dernières poésies de Marguerite de Navarre, p. p. Lefranc.

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96,

Allgemeine Zeitung, Beilage. — 112 : A. Jansen, Zur Rousseau Litteratur. 115 et 116 M. C. Manghius, Die deutschen Sprachgrenzen in der Schweiz. Archiv für das Studium der neueren Sprachen und Litteraturen. 3 et 4 A. Bauer, Doppelter ethischer Dativ im Französischen. G. Tanger: Breymann, Die neusprachliche Reformlitteratur. A. Tobler Mélanges de philologie romane dédiés à C. Wahlund; Raimon Vidal, La chasse aux médisants, p. p. Mercier; Schumann, Französische Lautlehre für Mitteldeutsche. — G. Cohn: Französische Lehrbücher, von Schneitler und Oster - E. Pariselle Génin und Schamanek, Conversations françaises; Durand, Die vier Jahreszeiten für die französische Konversationsstunde.

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Athenæum. N° 3581 Macdonald, Studies in the France of Voltaire and Rousseau No 3583 Old French Romances, done into English by William Morris, with an introduction by Jon Jacobs. Studies in the France of Voltaire and

Rousseau.

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Bulletin du Bibliophile. 15 juin Eugène Asse, Les petits romantiques : A. Fontaney (fin). — L'abbé Ch. Urbain, Un amateur lorrain, correspondant de Peiresc, Alphonse de Ramberviller (suite). Georges Vicaire, Revue des publications nouvelles. 15 juillet Lucien Marcheix, Notes tirées d'un manuscrit inédit de J.-J. Bouchard. L'abbé Ch. Urbain, Alphonse de Ramberviller (suite). Georges Vicaire, Revue des publications nouvelles. 15 août : Félix Desvernay, Origines de l'imprimerie à Lyon. - Pierre Gauthiez, Quelques notes sur l'Arétin. L'abbé Ch. Urbain, Alphonse de Ramberviller (suite). Georges Vicaire, Revue des publications nouvelles. 15 septembre: Maurice Tourneux, La bibliothèque des Goncourt (1er article). Dupré-Lasale, Les amis et les protégés de L'Hospital. L'abbé Ch. Urbain, Alphonse de Ramberviller (suite). Georges Vicaire, Nécrologie : le baron Jérôme Pichon. Le Correspondant.

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10 juin Edmond Biré, L'Académie francaise pendant 25 juin et 10 juillet: Une correspondance inédite de M. Guizot: lettres à M. et à Mme Charles Lenormant (1854-1874).

la Révolution.

Die neueren Sprachen. IV, 1 F. Hummel, Ergänzungen zu dem franz. Hand und Schulwörterbuch von Sachs. Osw. Gerhardt, Eine Unterrichtsstunde im Französischen, gehalten von einem Franzosen mit Anfängern. R. Kron: Fetter, Lehrgang der franz. Sprache. — 2: W. Vietor, Zur Frage der neuphilologischen Wortbildung, 1. M. Prollius, Der neusprachliche Ferienkursus in Köln. 3 Vietor, Zur Frage der neuphilologischen Wortbildung, 2. E. Wilke, Anschauungsunterricht im Englischen und Französischen. — A. Gund

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lach Fleischhauer, Französisches Lese-und Uebungsbuch.
Hoyermann und Uthlemann, Spanisches Lesebuch.
Montesquieu, deutsch von Kressner. 0. Gerhardt
Schulwesen in Frankreich.

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A. Kressner :

A. Gundlach: Sorel, Schwemer, Das höhere

Franco Gallia. XIII, 4 Gittée, L'exposition du Tartufe. Comptes rendus Mussafia et Gartner, Altfranzösische Prosalegenden. zösisches Lesebuch.

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Gids. Juin Van Deventer, Honoré de Balzac.

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Giornale storico della letteratura italiana. 80 et 81 Toldo, Contributo alla storia della novella francese del XV et XVI secoli. Journal des Débats politiques et littéraires. 16 juin Jalliffier, Revue historique Alfred Maury. 18 juin Une préface de M. Gaston Paris (en tête de Guillaume d'Orange, de M. Georges Gourdon). Édouard Rod, Anecdotes et souvenirs (d'après M. Jules Levallois). 20 juin Paul Diénay, Pour égarer l'histoire (Mémoires de Barras). Émile Faguet, Criticologie. 22 juin Jules Lemaître, la Semaine dramatique. 23 juin René Doumic, Si la critique est une plaisanterie. Édouard Rod, A propos d'un poète roumain (Alexandre Stourdza). — 26 juin : Chasle Pavie, Confidences romantiques : Victor Pavie. 28 juin André Hallays, A propos de Lorenzaccio. 29 juin : Jules Lemaître, La Semaine dramatique. 30 juin Henri Chantavoine, M. Paul Bourget Idylle tragique. 3 juillet J. Bourdeau, La psychologie des sentiments. I. 4 juillet Philippe Godet, Les origines de Jean-Jacques Rousseau. — 6 juillet Jules Lemaître, La Semaine dramatique. S., M. Ferdinand Buisson. 8 juillet Maurice Spronck, Paradoxe sur la preciosité. Arvède Barine, Plaidoyer pour Mme Roland. - 9 juillet: Édouard Rod, A propos des lettres de Tourgueneff. 11 juillet Henri Chantavoine, Moines et papes, par M. Emile Gebhart. 12 juillet A. Le Braz, La poésie populaire au théâtre. Jules Lemaître, La Semaine dramatique. 15 juillet Édouard Rod, les Écrivains impersonnels. 18 juillet Paul Diénay, M. Edmond de Goncourt. 20 juillet S., Littérature comparée (Pétrarque et Ronsard). - Jules Lemaître, La Semaine dramatique. 27 juillet S., Un bon citoyen (Spuller). Lemaître, La Semaine dramatique. 28 juillet Émile Faguet, Les divertissements, de M. Gaston Paris. 1er août Paul Diénay, M. Zola se repose. 3 août Émile Faguet, La Semaine dramatique. - 6 août : Édouard Rod, Le présent et l'avenir de la littérature italienne. 7 août J. Bourdeau, La psychologie des sentiments. II. 8 août Guy Tomel, Les frères Lionnet littérateurs. 10 août Émile Faguet, La semaine dramatique. 12 août Émile Haumant, Le premier séjour de Tourgueneff en France. 13 août Édouard Rod, Sur Alfred de Musset. 15 août Édouard Rod, L'abbé Prévost. 19 août Paul Diénay, La Crise du livre. 17 août Émile Faguet, La Semaine dramatique. 18 août René Doumic, Busles en tous genres. Jules Legras, La Mouche de Henri Heine (Mme Camille Selden). Émile Gebhart, Un Ruy-Blas historique. 21 août A. Albert Petit, Littérature de célibataires. 24 août Émile Faguet, La Semaine dramatique.

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G. Baguenault de Puchesse, Brantôme historien. 31 août Émile Faguet, La Semaine dramatiqne. E.-C., Le poète Gentil Bernard. Édouard Rod, La propriété des ouvrages de l'esprit. deau, Un centenaire de René Descartes. A. Albert-Petit, Chansons de route. 5 septembre Émile Faguet, Posthumes de Constant Martha.

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A. Le Braz, Un condisciple de Renan. 7 septembre Émile Faguet, La Semaine dramatique. 8 septembre Félix Reyssié, Au pays de Fénelon. 14 septembre Émile Faguet, La Semaine dramatique. château de Fénelon (Sainte-Mondane). Kritischer Jahresbericht über die Fortschritte der romanischen Philologie. Hrsg. von K. Vollmöller, II Band, 1891-1894, 1: E. Koschwitz, Allgemeine Phonetik.-F. Skutsch, Vorhistorisch-lateinische Forschung. W. Meyer40

REV. D'HIST. LIttér, de la FrANCE (3o Ann.). — III,

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