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Ne rejetez jamais nos très-humbles prières; Faites briller sur nous l'éclat de vos lumières; Et pour nous témoigner que vous brûlez d'amour, Donnez dans nos combats votre puissant secours.

Priez pour nous, François (notre bienheureux père),

Dans le céleste leu;

R. Afin que nous puissions (ayant quitté la terre) Aller jouir de Dieu.

Oraison. O Dieu! qui avez, etc., page 350.

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BREF

DE N. S. P. LE PAPE ALEXANDRE VII,

En réponse à la lettre de remercîment que fit à Sa Sainteté, après la canonisation, M. le comte de Sales, filleul et neveu de saint François de Sales.

A notre très-cher fils François, comte de Sales, salut et bénédiction apostolique.

NOTRE fils bien-aimé, entre les grâces très-signalées dont il a plu à Dieu de nous favoriser au-dessus de notre mérite, ç'a été de nous conduire à l'ouvrage de la canonisation du grand François de Sales, lequel, dès notre jeunesse, nous avons toujours révéré pour sa grande sainteté, et l'avons, dès ce tems-là, choisi comme notre maître, pour être notre directeur en la vie spirituelle, par le moyen de ses sacrés écrits', qui tiennent une doctrine toute dorée et toute salutaire. Par ce choix, notre très-cher fils, vous pouvez connaître l'affection et la charité paternelle que nous avons pour vous et pour tous les vôtres; et d'autant plus que nous croyons que vous réglez vos mœurs et vos actions, et celles de vos enfans, sur un tel prototype; et quoique vous le fassiez déjà par votre propre mouvement, nous ne laissons pas de vous y exhorter par une amitié paternelle, pour vous y porter avec une nouvelle vigueur, étant bien raisonnable que ceux qui ont l'honneur d'appartenir de si près à ce grand Saint, ne négligent point un si bel exemplaire, que la main de Dieu a tiré de leur famille pour l'admiration de tout l'univers. Ses plus proches doivent, par dessus les autres, être ses imitateurs; et afin que vous et votre maison puissiez heureusement, avec l'aide et faveur du ciel, vous attacher aux sacrés vestiges de ce grand Saint, obtenir la continuation et le comble des biens spirituels et temporels, nous vous accordons, de tout notre cœur, notre bénédiction apostolique et pontificale. Donné à Rome, à sainte Marie-Majeure, sous l'anneau du Pêcheur, le 3 juin 1665, le onzième de notre Pontificat.

Scellé et Signé, JEAN-FLORENTINUS.

nérale.
Protestation de l'ame à Dieu pour s'établir dans une
ferme résolution de le servir, et pour conclure
les actes de pénitence.
Conclusion de tout ce qui a été dit du premier degré
de la pureté de l'ame.

Il faut purifier l'ame de toutes les affections aux pé-
chés véniels.

Il faut purifier l'ame de toute affection aux choses
inutiles et dangereuses.

Il faut même purifier l'ame des imperfections natu-
relles.

SECONDE PARTIE.

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