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toute frémissante, qu'il faut me séparer de toi, de toi, mon bien-aimé; mon Alphonse, de toi que j'aime comme il est donné à peu de femmes d'aimer sur cette terre. Mais tu sauras tout, et tu verras s'il était possible de différer d'un instant ce départ.

>> Tu m'as dit tout à l'heure en me quittant que toimême partais dans huit jours pour Madrid. Je serai à Villanueva; arrête-toi là, mon bien-aimé; j'aurai tant besoin de te voir!

>> La plante privée du so'eil s'étiole et meurt; la femme languit et s'éteint privée de celui qu'elle aime. Oh! viens, viens vite si tu veux que je vive, et toimème vivrais-tu sans ta

» JULIA? >>>

Julia ferma cette lettre et y mit la suscription : Monsieur Alphonse de Cueva, 12, rue de Verneuil. Manuel et Paquitta entrèrent dans ce moment, se rendant aux ordres de leur maîtresse.

Montez à cheval, dit la comtesse au premier, cette lettre à son adresse. Allez promptement et revenez de même. Dans une heure nous partons pour l'Espagne. Toi, Paquitta, dispose tout pour notre départ.

Une heure après la chaise de poste entrait dans la cour de l'hôtel. Julia y prit place avec Paquitta. Les chevaux, lancés au galop, eurent en quelques minutes franchi la barrière de l'Enfer. Genaro et Manuel escortaient à cheval.

Nous ne suivrons pas nos voyageurs sur la route d'Espagne. Le neuvième jour, à la nuit tombante, ils arrivèrent à Villanueva.

T. CASTELLAN.

(La suite au prochain numéro.)

REVUE DES MAGASINS.

L'année a commencé avec un froid très-vif. Les manteaux garnis de fourrure sont indispensables. Nous avons remarqué dans les envois de la maison de commission Lassalle et Cie des blouses russes entièrement doublées de ventre de petit-gris ou de renard de Suède; un bord de fourrure dépasse tout le tour du vêtement: il forme col, pèlerine et manchettes. On a confectionné dans la même maison des manteaux de forme longue en velours ou drap avec garniture en zibeline ou martre.

Nous avons eu occasion de signaler l'année dernière l'avantage offert par la maison Lassalle au sujet des fourrures, des acquisitions faites directement lui permettent de livrer des fourrures très-belles sans atteindre le chiffre qu'elles exigent ordinairement.

Ceci est également appliquable aux tapis de pelleteric, aux garnitures de voitures, aux livrées de domestiques, etc.

On s'occupe activement des toilettes de bal. Le satin et la dentelle jouent cette année un trèsgrand rôle. Au sujet de la dentelle, nous rappellerons à nos lectrices que la maison Caliste, rue NeuveSaint-Augustin, 23, fait fabriquer des choses admirables. Il faut citer avant tout et comme objet d'actualité les robes princesse en dentel'e des Indes, qui sont la propriété exclusive de la maison Caliste; ces robes sont à traîne avec corsage décolleté; leur effet est admirable sur un dessous de satin; le prix est de cent cinquante francs.

Nous indiquons aussi, pour toilette de jeunes femmes, de charmantes ceintures de dentelle à vingtcinq francs, des corsages de guipure cluny à trentecinq francs, des fichus régence (nouveau modèle) en guipure de Venise et en chantilly, et des fichus MarieAntoinette.

On doit s'adresser directement à la maison Caliste pour tous ces objets, et, lorsqu'on est éloigné de Paris, le seul titre d'abonnée aux Modes parisiennes suffit pour obtenir des avantages que nous sommes heureux d'indiquer.

Puisque nous parlons des toilettes de soirées, disons bien vite quelques mots au sujet des chaussures.

La maison Jouvenot, rue Saint-Honoré, 465, bien connue des femmes élégantes, s'occupe d'une manière toute spéciale des chaussures de bal; il suffit de lui indiquer le genre de costume qu'on doit porter pour obtenir de la chaussure en harmonie et avec un cachet tout particulier. Il est nécessaire d'envoyer une bottine déjà portée comme renseignement.

Dans ce moment où le luxe de la chaussure n'est point en arrière, nous croyons rendre service en recommandant la maison Jouvenot, qui a surtout la réputation méritée de fournir le monde élégant et les femmes comme il faut.

En jupes de ville et de soirée, les avantages offerts par le jupon parisien régulateur de la maison Dugé, rue d'Aboukir, no 9, n'échapperont à personne. C'est au moyen d'agrafes adaptées à la ceinture que ce jupon se remonte à volonté; la ceinture est à tournure gracieusement combinée pour faire valoir la coupe biaisée. Les modèles pour costume du soir sont en tissu blanc de soie ou mousseline avec volant; ceux pour la ville sont variés de tous les tissus cachemire.

Les robes de foulard de la Malle des Indes, dessins de l'Exposition, sont très-recherchées comme toilette de bal. Nos gravures les ont mises souvent sous les yeux de nos abonnées. Les foulards à rayures satinées, dites robes Impératrice, font de délicieuses toilettes à traîne; elles rivalisent avec le satin et exigent moins de frais de garniture. Au moment des grandes réunions, la Malle des Indes vient de compléter ses assortiments, qui avaient été absorbés par la vente de

la saison d'Exposition. On peut donc ce mois-ci demander la collection des échantillons, qui est aussi variée qu'admirable.

On nous demande souvent des renseignements au sujet des machines à coudre. Les machines à coudre sont devenues indispensables, et chaque famille doit en posséder. Nous les connaissons toutes, et nous nous plaisons à constater la supériorité des machines Wilcox et Gibbs de la maison Gritzner, boulevard de Sébastopol, 82,

Faciles à conduire, d'un mécanisme qui n'exige aucun apprentissage et ne se dérange jamais, travail sans aucun bruit ni la moindre fatigue, telles sont les qualités premières que l'expérience décerne aux machines Gritzner. Une autre raison nous engage aussi à en recommander l'acquisition, c'est que ces machines sont réellement celles qui conviennent pour tous les ouvrages délicats dont les femmes aiment à s'occuper: broderie en soutache, piqûre de lingerie, ouate sur satin ou taffetas, coutures et points de chaînette sur la mousseline et la batiste, etc.

Comme machines d'atelier, les Wilcox et Gibbs ont eu aussi de très-grands succès, car elles ont été adoptées dans les maisons d'éducation, les ouvroirs, etc., acquises par les soins des conseils d'administration des principales villes de France. Dans un prochain article, nous nous occuperons spécialement de la machine Bonaz, qui est consacrée à la broderie et pour laquelle la maison Gritzner a eu un si grand succès pendant toute la durée de l'Exposition universelle.

La parfumerie, choisie dans une maison en réputation, doit protéger la beauté et conserver l'éclat de la jeunesse.

Les nouveaux magasins de la Reine des abeilles, maison Violet, boulevard des Capucines, rotonde du Grand-Hôtel, à l'angle de la rue Scribe, ont, par un établissement en rapport avec leur renommée, attiré l'attention du monde élégant. Les produits supérieurs des fabriques de la Reine des abeilles embrassent tout ce qui est nécessaire à une toilette bien ordonnée. On y remarque des produits spéciaux pour la beauté des cheveux, la pommade fondante à la duchesse, la crème Sévigné et la pommade à la violette; puis des eaux parfumées: l'eau de Beauté de l'Impératrice et la Rosée des abeilles; des dentifrices eau et poudre de qualité extra, des poudres de riz parfumées à l'ambroisie, et enfin le savon de thridace, dont la supériorité est tellement établie qu'il est inutile d'insister sur son emploi.

On a donc un double but en visitant les magasins du boulevard des Capucines, celui d'abord de connaître un établissement dont la réputation d'élégance sera bientôt européenne, et ensuite celui de choisir l'excellente parfumerie dont on connaît la valeur.

On peut, même à côté des maisons les plus en vogue, désigner quelques spécialités; voici l'extrait de fleurs

de lis pour blanchir la peau et la préserver des rides et des gerçures.

Ce produit a été créé par M. Bayle, jeune chimiste, qui, en débutant dans la carrière scientifique, a voulu se faire des clientes parmi les femmes du grand monde.

On est toujours sûr d'un succès quand on s'adresse à la coquetterie et qu'on la sert en maître. L'époque des bals est une bonne entrée en scène pour l'extrait de fleurs de lis, car il paraît qu'il donne au teint un éclat admirable et qu'il imprègne le tissu dermal d'un parfum suave et délicieux. C'est la maison Hauduc, rue Basse-du-Rempart, 64, qui a le dépôt de cette eau de beauté, dont le flacon est de cinq francs.

Nous rappelons les éloges accordés à la ceinture Impératrice de madame Vigourous, rue du Port-Mahon. Le modèle que cette habile corsetière prépare pour les toilettes décolletées et qu'elle fait en moire ou satin est un petit chef-d'œuvre de grâce et de bon goût. C. D.

PETIT COURRIER.

M. Paul Foucher a fait une jolie découverte. Le dénoûment nouveau imaginé par M. Alexandre Dumas pour Hamlet, et qui consiste à laisser vivre le prince, n'est pas de lui; il l'a emprunté à la traduction de Ducis.

Voici les deux derniers vers de l'Hamlet français :
Mais je suis homme et roi - réservé pour souffrir,
Je saurai vivre encor, je fais plus que mourir.

On n'a pas oublié que l'honnête Ducis, après avoir remplacé dans son Othello l'oreiller qui étouffe Desdémone par le classique poignard, s'apercevant que les belles dames s'évanouissaient de douleur, refit une scène finale où tout le monde s'embrassait devant Iago, forcé d'avaler un petit verre de poison.

Un trait de délicate générosité attribué au duc de Luynes par M. Feyrnet :

<< Lorsque son fils tira à la conscription, tous les jeunes gens de Dampierre qui tombèrent ce jour-là au sort furent rachetés aux frais du duc. >>>

Une dame revenait de Belgique, rapportant pour quatre mille francs de dentelles. Son souci était grand en approchant de la frontière, qu'elle était désireuse de franchir sans payer à la douane l'énorme droit de quinze pour cent. Elle fait part de son embarras à un officieux voisin.

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M. Louis Figuier vient d'ajouter un nouveau volume à son bagage déjà si intéressant de publications utiles. Après avoir étudié, les années précédentes, les zoophytes, les mollusques et les insectes, il raconte aux enfants et aux grandes personnes les Poissons, les Reptiles et les Oiseaux.

Selon les habitudes de la maison Hachette, ce volume est illustré avec autant de luxe que d'exactitude. Ce que le travail de M. Figuier demande de recherches et de patience est inimaginable; il se tromperait parfois, qu'on ne saurait vraiment le lui reprocher, mais toutes ses informations me paraissent très-sûres, appuyées de documents et relevées d'une pointe humouristique charmante pour les profanes :

<< Je suis sûr que vous ignoriez que, le climat de la France étant peu différent de celui des États-Unis, il suffirait d'une paire de serpents à sonnettes pour acclimater cet aimable reptile dans le bois de Boulogne. Au surplus, le venin des serpents est d'une parfaite innocuité lorsqu'on l'avale, et produit simplement sur la langue l'impression qu'y ferait un corps gras.

>> Aux gourmets, M. Figuier apprend que l'invention de la soupe à la tortue ne remonte qu'a 1752. C'est l'amiral Anson qui apporta le premier cet animal en Europe.

» Aux aveugles, il fait une révélation non moins précieuse! Le caniche traditionnel peut être très-bien remplacé par une oie; les oiseaux de cette famille rendent le même service en tirant leurs maîtres par le bas de leur vêtement. Toutefois, à Paris, ce mode de locomotion offrirait quelques dangers. >>>

Il s'agit de Théodoros.

La lettre par laquelle il faisait la demande de la main

de la reine Victoria avait été remise par lui au consul anglais Cameron, et il en attendait assez impatiemment la réponse, quand il fit un beau matin la rencontre de ce dernier qui, penché sur le sol, l'examinait attentivement.

Que faites-vous là? dit le négous.

Sire, répondit Cameron, j'ai écrit à mon gouvernement que le sol d'Abyssinie était propre à la culture du coton, et j'ai reçu l'invitation de l'examiner avec le plus grand soin.

- Comment, reprit aussitôt Théodoros, vous avez reçu d'Angleterre une réponse pour examiner un sol qui m'appartient, et moi, l'empereur, je n'en ai pas encore reçu à la lettre que j'ai envoyée! Gardes, ajouta-t-il en fureur, en se tournant vers sa suite, empoignez-moi cet homme et fourrez-le en prison, lui et tous les Anglais qui se trouvent dans le royaume.

Si Théodoros n'a pas fait encore fusiller ses prisonniers, il manque absolument d'énergie, et me paraît indigne de figurer dans la galerie des tyrans célèbres.

M. Oscar de Vallée a publié dans le Moniteur universel un article remarquable sur Démosthènes. Vous voyez que ce n'est pas de l'actualité, et il a trouvé des accents éloquents pour écrire la mort de l'orateur. Je parie que vous ignoriez comment a fini le grand Athénien :

« Il a fui pour la seconde fois, après un retour triomphal dans Athènes, vers Calaurie, son SainteHélène. Il s'est jeté dans le temple de Neptune; les soldats d'Antipater l'y poursuivent et ils vont, profanant un lieu saint, lui donner la mort. Il demande à Archias quelques instants pour se recueillir et écrire. Il place alors sur ses lèvres, les lèvres de Démosthènes, un stylet empoisonné, puis il se lève, se découvre, et, au seuil du temple, ayant pendant sa vie défendu la liberté et la patrie, il protége en mourant la religion, mère de toute grandeur. Portant sur Archias un regard assuré, il lui dit :

>> - Tu peux jouer à présent le rôle de Cléon et abandonner mon corps sans sépulture. Pour moi, Neptune, je sors vivant de ton temple, afin de ne le point profaner par ma mort. Mais il n'a pas tenu à Antipater et aux Macédoniens que ton sanctuaire n'ait été souillé par le meurtre. >>>

Voilà de ces choses qu'on ne voit plus chez les ora

teurs.

PHILIBERT AUDEBRAND.

Une femme d'esprit trouvera tout un arsenal de travestissements irrésistibles pour les bals de la saison prochaine dans le beau livre consacré à Madame de Pompadour par M. Campardon. Les travestissements portés par les grandes dames et par les nobles person

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Madame Cavé a fait exécuter des modèles pour son cours de dessin sans maître; il en existe deux cahiers composés chacun de 20 feuilles. Avec ces cahiers, on peut conduire un élève depuis le premier point de départ jusqu'au dessin d'après nature. Ils ne sont point indispensables à la méthode; mais, étant choisis et exécutés dans les idées de l'auteur, ils sont préférables aux autres modèles. Ils sont, du reste, aussi bon marché que tous les autres, puisque le prix de chaque cahier n'est que de 40 fr. On les vend au bureau du journal les Modes parisiennes, rue Bergère, 20.

ÉTRENNES.

Grand choix d'Albums comiques pour cadeaux du jour de l'an. CHAQUE ALBUM SE VEND 6 FR., CHEZ M. E. PHILIPON, 20, rue Bergère.

LES DIFFÉRENTS PUBLICS DE PARIS, par G. Doré.
LA MÉNAGERIE PARISIENNE, par G. Doré.
LES FOLIES GAULOISES, par G. Doré.
AH! QUEL PLAISIR D'ÊTRE SOLDAT! par G. Randon.
L'ÉCOLE DU CAVALIER, par G. Randon.
LES PETITES MISÈRES, par G. Randon.

M. VERJUS, HISTOIRE D'UN MONSIEUR TRÈS-IRRITABLE, par G. Randon.

MESSIEURS NOS FILS ET MESDEMOISELLES NOS FILLES, par G. Randon.

LES TATONNEMENTS DE JEAN BIDOUX DANS LA CARRIÈRE MILITAIRE, par Cham.

AH! QUEL PLAISIR DE VOYAGER! par Cham.
L'ART D'ENGRAISSER ET DE MAIGRIR, par Cham.
L'ART DE RÉUSSIR DANS LE MONDE, par Cham.
M. PAPILLON, par Cham.

LES TORTURES DE LA MODE, par Cham. COMMENT ON DÉBUTE AU THÉATRE, par Baric. VOYAGE PITTORESQUE EN BRETAGNE, par Darjou. LES PROUESSES DE MAITRE RENARD, par Collette, d'après Wilhelm de Kaulback.

LES TRIBULATIONS DE LA VIE ÉLÉGANTE, par Girin.
LE PARISIEN HORS DE CHEZ LUI, par Girin.
LE TABAC ET LES FUMEURS, par Marcelin.

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Etc., etc., etc.

Le prix de chaque Album rendu franco en province est de 7 francs. Toute personne qui nous demandera cinq Albums les recevra franco au même prix qu'achetés dans nos bureaux, c'est-à-dire pour 30 francs au lieu de 35 francs.

Tous ces albums sont dessinés par les artistes les plus aimés du public parisien. On peut à bon marché faire le bonheur des enfants et des parents, qui placeront ces amusants petits ouvrages sur la table de leur salon. Adresser un bon de poste de 7 francs par chaque Album que l'on désire acquérir à M. E. PHILIPON, 20, rue Bergère, à Paris.

En ajoutant 2 fr. au prix de chaque Album, on le reçoit relié en toile anglaise, avec plaque à froid et titre doré.

LE LOTO GÉOGRAPHIQUE

POUR

L'AMUSEMENT ET L'INSTRUCTION DES ENFANTS.

Ce jeu est le loto ordinaire d'un côté, et de l'autre les cartons portent les indications des villes de France; le numéro contient le nom du département correspondant. - La situation géographique et la population de chaque ville sont également indiquées sur chaque

carton.

Nous avons fait un arrangement avec l'inventeur de ce jeu qui nous permet de le donner à nos abonnés à un prix bien inférieur à celui demandé par les marchands de jouets.

Nos abonnés qui désireront se procurer le loto géographique peuvent nous adresser un bon de poste de 40 francs; nous expédierons le jeu bien emballé et franco dans toutes les localités de France où se trouve une gare de chemin de fer ou un bureau de messageries.

Le prix du loto géographique est de 7 francs pris dans nos bureaux.

Adresser un bon de poste à M. E. Philipon, 20, rue Bergère.

Paris. - Typographie Henri Plon, rue Garancière, 8

COSTUMES POUR TRAVESTISSEMENTS, THÉATRES DE SOCIÉTÉ,

CAVALCADES HISTORIQUES, ETC.

Ces costumes sont gravés sur acier, et finement coloriés. Chaque feuille se vend séparément 50 centimes, expédiée franco en province. Adresser un bon de poste ou des timbres-poste à M. E. PHILIPON, 20, rue Bergère, à Paris.

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Dame de Trèfle. - Damier.

Suissesse. Marinière.

11. Bouquetière.

12. Page Louis XIV.

13. Duègne.

14. La Fileuse.

15. Fantaisie Louis XVI.

TRAVESTISSEMENTS ÉLÉGANTS (DEUX SUR LA MÈME FEUILLE).

La Musique. - Un Papillon.

Un Facteur. - Une Poule.

Amazone Louis XV. -Fantaisie italienne. | La Vapeur. - La Photographie.

L'Incroyable. - La Canotière.
Le Paon. - Le Postillon.
Fantaisie Louis XV. - Le Cerf-volant.

CARTES DE VISITE

AMUSANTES

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servant aussi, dans les repas de famille et d'amis, à marquer à table la place des convives.

Ces cartes, qui ont obtenu un immense succès, sont dessinées par MM. Maurisset et Grévin; elles sont coloriées à l'anglaise, c'està-dire imprimées en deux teintes. Dans une partie du dessin, l'artiste a réservé une place restée blanche qui sert à inscrire son nom si l'on veut faire du dessin une carte de visite, le nom du convive si l'on emploie ces cartes à marquer les places à table.

Comme les cent cartes sont variées de sujets, on trouve toujours le moyen de faire allusion au goût, aux habitudes, à la profession de son invité; c'est un amusement pour les convives.

Les cent cartes variées se vendent 5 fr. Pour les abonnés du journal, 3 fr. seulement, soit à Paris, soit franc de port pour les départements.

Adresser un bon de poste de 3 fr. à M. PHILIPON, 20, rue Bergère.

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