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coup couvert. J'accédai à sa demande, et c'est pour vous faire part du sujet de sa visite que je suis venue aujourd'hui.

- Je vous écoute, ma tante.

Je voulais aussi vous féliciter sur l'issue de votre

procès.

Je n'avais pas la moindre inquiétude à cet égard, ma tante; mes droits étaient trop bien établis. Vous disiez donc qu'un jeune officier...

Vous aviez affaire à forte partie; vos adversaires niaient que vous eussiez des titres.

Je sais tout cela, ma tante. Ainsi... Mais l'acte de donation écrit de la main de votre époux a prévalu, et...

- Ça ne pouvait être autrement, ma tante. Parlons maintenant...

Savez-vous, Julia, que vous avez dans Génaro un brave et fidèle serviteur? Avec quelle chaleur il a pris votre défense! Comme il aimait son maître! comme il était ému en parlant de lui, le digne homme' Excellent, ma tante, et qui m'est très-dévoué. Je le crois.

Quand vous êtes arrivée dans le jardin, il venait de tout m'apprendre.

En effet, vous étiez avec lui.
Précisément, ma tante, et, comme vous devez

le penser, je connaissais déjà le résultat du procès. C'est à merveille.

Et cet officier qui, dites-vous, est venu vous demander un instant d'entretien, il y a un mois, à Madrid, vous le connaissiez?

Non. A présent oui.

Vous savez qui il est?

Sans doute.

Et le but de sa visite?

Il venait me demander... Vous demander...

Julia, continua la marquise avec l'accent d'une tendre mère, vous avez vingt et un ans; à cet âge une femme est encore bien jeune; elle n'a point encore toute l'expérience du monde; elle a besoin d'un appui, d'un protecteur, d'un mari. Le ciel vous a privée de celui que je vous avais choisi; il possédait tout ce qui devait vous rendre heureuse: rang, fortune, considération, cœur noble et généreux... Dieu en a ordonné autrement, soumettons-nous à ses décrets. Tant qu'il me conservera sur cette terre, je veillerai sur vous, mais il peut d'un jour à l'autre me rappeler à lui...

Ma tante!

- Oui, mon enfant, je suis bien vieille, et alors que deviendriez-vous sans guide, sans soutien? - Vous vivrez encore longtemps, ma tante.

A mon âge, ce serait folie que d'y compter, et ma sollicitude pour vous m'a fait prêter l'oreille à une proposition que j'ai accueillie avec empressement.

- Une proposition que vous a faite le jeune officier?

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Encore un mois! soupira Julia.

C'est ce que j'ai dit, et, malgré l'ardent désir de toucher à ce doux moment, désir bien excusable chez un amant épris, on s'est rendu à la raison. Ainsi, dans un mois rien ne s'opposera plus à votre hymen; Dans un mois, votre prétendu, qui n'est rien moins que le neveu du premier ministre, doit se rendre ici pour entendre de votre bouche la confirmation de la promesse que je lui ai faite en votre nom.

Le neveu du premier ministre, dites-vous, ma tante?

Oui, ma nièce, le neveu du cardinal Alberoni, Paolo Alberoni.

Et c'est à lui que vous avez promis ma main? Pourquoi cet effroi? dit la marquise. Ne croyez pas, Julia, que j'aie dans cette alliance recherché seulement le rang et la fortune. Vous ne seriez point heureuse avec un époux que vous ne pourriez aimer, je sais cela. Mais rassurez-vous, celui-là possède tout ce qui peut flatter l'orgueil d'une femme et fixer son amour. C'est, en un mot, un cavalier accompli et qui ne peut manquer de vous plaire.

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Que pensez-vous de lui?

C'est un jeune homme charmant et qui mérite mieux qu'aucun de nos gentilshommes espagnols, ajouta le galant docteur en regardant Julia, l'insigne honneur qui l'attend.

- Vous l'entendez, ma nièce?

Brave, loyal, généreux, bien fait de sa personne, madame la comtesse ne pouvait faire choix d'un cavalier plus digne d'aspirer à sa main.

Julia était au supplice. Piétro, qui vint annoncer que le souper était servi, mit fin à ses souffrances. A table, la conversation prit une autre tournure. Après le souper, Julia prétexta un violent mal de tête et se retira dans sa chambre.

XVI.

Non, non, s'écria-t-elle quand elle fut seule; j'ai déjà cédé aux caprices de ma tante, je ne me sacrifierai pas deux fois. Alphonse, j'ai juré de n'aimer que toi, de n'appartenir qu'à toi; un autre ne sera jamais mon époux. La marquise peut disposer de sa fortune, mais mon cœur est à moi; elle ne parviendra point à en arracher cet amour que je t'ai voué, et sans lequel, je le sens, je ne pourrais vivre.

En parlant ainsi, Julia se promenait à grands pas. On voyait au feu de ses regards qu'elle était bien résolue, quelles qu'en dussent être les conséquences, à se soustraire à ce qu'elle appelait une injuste tyrannie. Tout à coup elle s'arrête.

Mais lui, dit-elle tristement... voilà un mois que je suis ici, et rien! Alphonse, j'espérais te voir... Pas même un mot de toi.

Elle s'assit, et, le visage appuyé sur sa main droite, elle s'abandonna à ses pensées. L'horloge du château, qui sonna minuit, la surprit dans cette attitude. Insensiblement les images que son imagination lui retraçait se voilèrent. Sentant ses membres s'alourdir, elle étendit une jambe sur le canapé, puis l'autre, laissa tomber sa tète sur le coussin, et ses yeux se sermèrent; elle s'endormit. Il était neuf heures quand elle s'éveilla le lendemain. Elle descendit au salon, où elle trouva sa tante et le docteur qui commençaient à s'inquiéter de ne pas la voir. Julia les rassura de son mieux, puis on se mit à table. Après le déjeuner, la marquise embrassa sa nièce.

Patience, mon enfant, lui dit-elle, et à bientôt. Julia ne se méprit pas sur le sens de ces paroles; mais, forte de sa résolution de résister à sa tante, elle lui dit adieu sans aigreur ni affectation, et la reconduisit, ainsi que le docteur, jusqu'à la voiture qui attendait dans la cour. Tous deux y prirent place. Presque aussitôt les chevaux s'élancèrent dans la longue allée de peupliers qui servait d'avenue au château, et quelques minutes après les deux battants de la grille se refermèrent sur eux.

Une fois délivrée de la présence de la marquise,

Julia sentit s'évanouir toutes ses terreurs. Le doute qui l'avait un instant assaillie se dissipa pour faire place à l'espoir d'un prochain retour.

- Oui, oui, se dit-elle, il m'aime et ne m'a point oubliée. Une cause indépendante de sa volonté, et dont il souffre autant que moi, l'a empêché jusqu'ici de venir; mais il ne peut tarder, sans cela il m'aurait écrit, et son silence lui-même me dit que je le reverrai bientôt.

Mais les jours se succédaient et Alphonse n'arrivait pas. Les inquiétudes de Julia se réveillèrent plus vives, plus poignantes, et personne autour d'elle à qui elle pût les confier. Elle sentit le besoin d'épancher ses chagrins dans le cœur de son amie, la marquise de Pixiola. Un matin elle fit appeler Génaro.

- Sellez un cheval, lui dit-elle, vous allez porter une lettre à Madrid. Je ne veux la confior, ainsi que la réponse que j'attends, qu'à un serviteur sûr, et c'est vous que je charge de ce soin. Allez, et, quand vous serez prêt, vous viendrez prendre mes ordres.

L'intendant salua et sortit. Julia se mit aussitôt à son secrétaire.

(La suite prochainement.)

T. CASTELLAN.

PETIT COURRIER.

Décidément la chronique devient trop indiscrète. On parle donc du mariage d'une chanteuse. La question de Caux-Patti n'est pas près de finir. L'Époque de ce jour soulève un nouvel incident :

<<< Plusieurs journaux, dit-elle, ont annoncé, puis démenti, le mariage de M. le marquis de Caux avec mademoiselle Adelina Patti. Nous sommes en mesure de constater que M. le marquis de Caux agréait avanthier soir, dans une réunion, les félicitations que lui adressaient ses nombreux amis à l'occasion de son futur mariage, qui aurait lieu, dit-on, dans deux mois. >>>

Et maintenant, Dorante, conclut M. Leguevel de la Combe, à vous l'honneur!

L'honneur de quoi, s'il vous plaît? L'honneur de qui? Il serait bien plus honorable, ce me semble, de laisser les gens se marier en paix, si c'est leur bon plaisir, que d'empiéter avec cette inconvenance sur les attributions du maire et du curé.

M. de Caux doit être singulièrement agacé de voir tant de nez curieux fourrés dans ses petites affaires. Eh! messieurs, ne vous occupez que de ce qui vous regarde.

Mais voilà que le moraliste s'adresse aussi bien à moi qu'aux autres!

Passons vite à autre chose.

Quand vous voyez patiner quelques-unes de ces jolies Russes, étrangement blondes, aux yeux profonds et froids comme les lacs gelés de leur pays, ne sentez-vous pas vaguement que vous avez affaire à de nouvelles civilisées, et que les princesses d'aujourd'hui étaient des Walkyries hier?、

Un fait divers que je lis dans la Liberté justifie mon dire:

<< La haute protectrice d'un pensionnat de demoiselles de Saint-Pétersbourg avait remarqué avec déplaisir la frisure trop coquette des élèves de l'établissement; en conséquence, la directrice de l'institution fit couper court leur chevelure. Cette mesure extrême révolta les jeunes demoiselles, qui résolurent de se venger. La nuit, au milieu de l'obscurité, elles assaillirent l'auteur présumé du méfait, lui enveloppèrent la tête d'un drap, la terrassèrent, et la maltraitèrent tellement que la mort s'ensuivit quelques jours après. Leur colère ne fut pas calmée par cet acte de vengeance; elles exercèrent encore des actes de violence sur une de leurs anciennes condisciples qui remplaçait chaque soir la directrice. »

Tout cela n'empêche pas les jeunes filles russes de devenir des grandes dames accomplies.

*

Est-ce un canard? est-ce une vraie nouvelle? Glatigny, le poëte des Vignes folles, fait rage en ce moment à New-York avec ses improvisations. Sa première séance a rapporté trois mille cinq cents dollars, environ dix-huit mille francs!

Où donc est le temps, ô lyrique bohème, où tu jouais les sénateurs de carton sur la scène du ThéâtreHistorique?

Et comme il doit te sembler étrange de plonger chaque soir tes doigts maigres dans autant d'or qu'en touche au bout de l'an un sénateur pour de vrai!

Et ces prosaïques Yankees, comme ils encouragent les poëtes!

Depuis le premier janvier, on peut entrer librement à la Bourse avec sa canne, voire même avec son parapluie.

Ce qu'on va s'en casser sur les reins... je me le demande.

**

Michelet part la semaine prochaine pour le Midi. S'il a retardé son départ, malgré le froid, c'est pour mettre la dernière main au nouvel ouvrage qu'il va publier: la Montagne.

**

M. Pierre Leroux fait en ce moment à Lausanne des conférences philosophiques et religieuses.

Le philosophe ne recevra pas en monnaie de billon le dixième de ce que Glatigny reçoit en or.

Bonne nouvelle.

La neige s'en va et le carnaval arrive.

PHILIBERT AUDEBRAND.

La Démagogie en 1793, par C. A. Dauban, est le tableau le plus saisissant et le plus vrai de cette terrible époque. Un beau volume in-8°, avec fac-simile de dessins inédits et de gravures du temps. Prix : 8 fr. franco. H. Plon, éditeur, 40, rue Garancière.

Une femme d'esprit trouvera tout un arsenal de travestissements irrésistibles pour les bals de la saison dans le beau livre consacré à Madame de Pompadour par M. Campardon. Les travestissements portés par les grandes dames et par les nobles personnages de la cour de Louis XV y sont décrits jusqu'aux menus détails. Un bel in-8o avec portrait. Prix: 8 fr. franco. - H. Plon, éditeur, 10, rue Garancière.

Les magasins de la Ville de Saint-Denis, rue du Faubourg-Saint-Denis, viennent de créer un comptoir spécial pour les costumes d'enfants. Nous sommes d'autant plus heureux d'appeler l'attention sur ces nouveautés, qu'elles offrent l'immense avantage des toilettes complètes, depuis la chaussure jusqu'à la coiffure, à des prix réellement bon marché. Pour petites filles, il y a des costumes de sorties et des toilettes de soirées. Pour petits garçons, on y trouve tous les genres en vogue, depuis le vêtement de bébé jusqu'à celui de l'écolier. De charmants pardessus en drap-cachemire ou velours, bordés de galons perlés, complètent ces toilettes.

Le rayon de lingerie de la Ville de Saint-Denis peut être cité comme un des plus complets et des mieux assortis non-seulement en linge de ménage et linge de trousseau, mais encore en lingerie élégante confectionnée.

Les agrandissements considérables des magasins de la Ville de Saint-Denis ont permis d'ajouter une foule d'articles qu'il est impossible de trouver réunis dans aucune des maisons du même genre.

Toute atteinte accidentelle à la pureté ou à l'éclat du teint, à moins qu'elle n'ait pour cause un état maladif, est réprimée ou prévenue par l'usage du lait antéphélique pur ou mélangé d'eau.

Employé tantôt pur, tantôt mélangé d'eau, le lait antéphélique détruit radicalement, dans l'espace de dix à quinze jours: 1° le lentigo ou les éphélides (taches de rousseur, son, lentilles, etc.); 2o le masque, taches qui affectent le visage des femmes durant ou après la grossesse, et que les médecins appellent aussi éphélides.

Ce mode d'emploi, le plus expéditif, irrite passagèrement l'épiderme et produit parfois un léger gonflement qui se dissipe de lui-même, sans qu'il soit nécessaire de recourir aux émollients.

Cet accident, toujours sans danger, est l'indice certain que les taches sont atteintes et détruites dans leur germe.

Les personnes que pourrait effrayer une légère excitation doivent ajouter au cosmétique moitié ou deux tiers d'eau filtrée. L'action sera plus lente sans être moins sûre. La peau du visage reprendra son éclat et ses nuances normales, sans éprouver la moindre irritation.

Il se trouve des dépôts du lait antéphélique dans toutes les villes de France et de l'étranger.

Tout le monde se souvient de cette curieuse Galerie des ROBERT MACAIRE, cette satire de notre époque, composée par Philipon et dessinée par Daumier dans le temps de sa plus grande verve. Cette collection, qui s'est vendue très-cher en grand format, devenue tout à fait introuvable aujourd'hui dans le commerce; cette collection, disons-nous, existe encore en un Album de cent dessins dont les pierres commencent à s'épuiser et ne fourniront bientôt plus d'exemplaires. Nous invitons les amateurs à se la procurer sans retard. Elle se vend 15 francs; mais les abonnés des Modes parisiennes et ceux du Journal amusant ont droit à la recevoir franco en France, moyennant 44 francs adressés par un bon de poste ou un billet à vue sur Paris au directeur du journal, rue Bergère, 20.

On n'a pas oublié cette charmante statue de Jeanne d'Arc exécutée par la princesse Marie, fille de LouisPhilippe; eh bien, une délicieuse petite réduction de ce chef-d'œuvre, en métal galvanisé bronze, de 25 centimètres de hauteur, tout à fait pareille aux statuettes de ce volume qui se vendent 50 et 60 francs, est donnée aux abonnés des Modes parisiennes, tout emballée et rendue franco sur tous les points de la France, moyennant 20 francs. Adresser sa demande, accompagnée d'un bon de 20 francs, au directeur des Modes parisiennes, rue Bergère, 20.

45 francs prise au bureau du journal.

ÉTRENNES.

Grand choix d'Albums comiques pour cadeaux du jour de l'an. CHAQUE ALBUM SE VEND 6 FR., CHEZ M. E. PHILIPON, 20, rue Bergère.

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LA MÉNAGERIE PARISIENNE, par G. Doré.
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AH! QUEL PLAISIR D'ÊTRE SOLDAT! par G. Randon.
L'ÉCOLE DU CAVALIER, par G. Randon.
LES PETITES MISÈRES, par G. Randon.

M. VERJUS, HISTOIRE D'UN MONSIEUR TRÈS-IRRITABLE, par G. Randon.

MESSIEURS NOS FILS ET MESDEMOISELLES NOS FILLES, par G. Randon.

LES TATONNEMENTS DE JEAN BIDOUX DANS LA CARRIÈRE MILITAIRE, par Cham.

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L'ART D'ENGRAISSER ET DE MAIGRIR, par Cham.
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M. PAPILLON, par Cham.

LES TORTURES DE LA MODE, par Cham. COMMENT ON DÉBUTE AU THÉATRE, par Baric. VOYAGE PITTORESQUE EN BRETAGNE, par Darjou. LES PROUESSES DE MAITRE RENARD, par Collette, d'après Wilhelm de Kaulback.

LES TRIBULATIONS DE LA VIE ÉLÉGANTE, par Girin.
LE PARISIEN HORS DE CHEZ LUI, par Girin.
LE TABAC ET LES FUMEURS, par Marcelin.
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Le prix de chaque Album rendu franco en province est de 7 francs. Toute personne qui nous demandera cinq Albums les recevra franco au même prix qu'achetés dans nos bureaux, - c'est-à-dire pour 30 francs au lieu de 35 francs.

Tous ces albums sont dessinés par les artistes les plus aimés du public parisien. On peut à bon marché faire le bonheur des enfants et des parents, qui placeront ces amusants petits ouvrages sur la table de leur salon. Adresser un bon de poste de 7 francs par chaque Album que l'on désire acquérir à M. E. PHILIPON, 20, rue Bergère, à Paris.

En ajoutant 2 fr. au prix de chaque Album, on le reçoit relié en toile anglaise, avec plaque à froid et titre doré.

LE LOTO GÉOGRAPHIQUE

POUR

L'AMUSEMENT ET L'INSTRUCTION DES ENFANTS.

Ce jeu est le loto ordinaire d'un côté, et de l'autre les cartons portent les indications des villes de France; le numéro contient le nom du département correspondant. La situation géographique et la population de chaque ville sont également indiquées sur chaque

carton.

Nous avons fait un arrangement avec l'inventeur de ce jeu qui nous permet de le donner à nos abonnés à un prix bien inférieur à celui demandé par les marchands de jouets.

Nos abonnés qui désireront se procurer le loto géographique peuvent nous adresser un bon de poste de 10 francs; nous expédierons le jeu bien emballé et franco dans toutes les localités de France où se trouve une gare de chemin de fer ou un bureau de messageries.

Le prix du loto géographique est de 7 francs pris dans nos bureaux.

Adresser un bon de poste à M. E. Philipon, 20, rue Bergère.

Paris. - Typographie Henri Plon, rue Garancière, 8.

COSTUMES DES DIFFÉRENTES NATIONS MODERNES.

Chaque costume se vend 40 centimes, et 45 centimes expédié franco. -Toute personne qui en achètera au moins 50 les recevra francs de port, sans augmentation de prix.

Tous ces costumes sont dessinés d'après nature, gravés sur acier par les premiers graveurs, et coloriés à l'aquarelle retouchée. Ils sont imprimés sur beau papier vélin dans un format qui permet de les joindre aux beaux ouvrages de librairie. On peut les intercaler dans les volumes qui traitent des différents pays, ou en former des atlas et les joindre à ces ouvrages.

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Notre collection compte dès aujourd'hui 446 costumes. Nous expédions une feuille coloriée, à titre d'échantillon, et le Catalogue détaillé des costumes déjà publiés à toute personne qui nous en fait la demande franco, et qui joint à cette demande 50 centimes en timbres-poste. Adresser les lettres à M. E. PHILIPON, 20, RUE BERGÈRE.

Nous ne pouvons donner dans le Journal qu'une idée de la bonne exécution de nos costumes. Chaque feuille de notre collection est IMPRIMÉE EN TAILLE-douce sur un très-beau papier, et COLORIÉE avec soin.

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