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Alors...

Viens, suis-moi.

Les deux amis traversèrent le petit jardin.

Arrivés au bord de la rivière par les marches de pierre dont nous avons parlé, le Génois ramena à lui la barque cachée sous les saules.

Entre, dit-il.

Où diable allons-nous par là?

Entre toujours.

Mais il faut savoir...

Entre donc, te dis-je.

Et il poussa si rudement Henriquez, que celui-ci alla rouler au fond de la barque. Génaro y sauta à son tour, détacha l'amarre, saisit un aviron et gagna le large. Le bandit, que de copieuses libations avaient mis en bonne humeur, ne répondit point, comme il l'eût fait en toute autre circonstance, à cette brutale familiarité; il se releva en riant de sa mésaventure, et, s'emparant d'un second aviron, il joignit bravement ses efforts à ceux de son camarade.

Rame sans bruit, lui dit celui-ci, et surtout retiens ta langue.

La barque, lourdement construite, mais vigoureusement poussée par ces deux hommes, descendit silencieusement le cours capricieux de la rivière. Ils naviguèrent ainsi pendant plus de deux heures sans échanger une parole.

A droite! fit tout à coup à voix basse Génaro. L'embarcation glissa dans la direction indiquée, se rapprocha du rivage, qu'elle longea sans ralentir sa marche, et au bout de quelques minutes, sur un nouvel ordre du Génois, s'arrêta dans une eau stagnante au bas d'un escalier de pierre.

XXII.

Depuis une heure, le soleil était descendu derrière la sierra. De ce côté, une ligne chaudement pourprée se dessinait encore à l'horizon; à droite, l'obscurité montait au ciel; quelques étoiles se montraient au firmament. Aux dernières lueurs du crépuscule on voyait se dresser, au haut de cet escalier, une grille de fer au-dessus de laquelle des arbres gigantesques balançaient majestueusement leurs têtes. De chaque côté, un mur élevé dé six pieds s'enfuyait en forme d'équerre, traçant une ligne blanchâtre sur un épais rideau de verdure. Il était impossible de distinguer à travers les barreaux de la grille la moindre trace d'habitation, tant l'obscurité était profonde sous ces sombres allées. Le frôlement des feuilles mollement agitées, le frottement des cailloux que le courant des eaux entraînait du rivage, troublaient seuls le silence de ce lieu désert.

C'est ici que nous nous arrêtons? dit Henriquez. - Oui, répond Génaro en s'élançant sur la première marche de l'escalier.

- Qu'allons-nous faire ici, bon Dieu?

Toi, rien; attends-moi seulement.

Tu vas me laisser là?

As-tu peur?

- Non; mais...

- Attends-moi, te dis-je, et sois prêt à partir au premier signal.

A ces mots, il franchit l'escalier, ouvre la grille avec une clef qu'il sort de sa poche, et disparaît dans les ténèbres.

Le château de Villanueva était bâti à l'extrémité de la petite presqu'île formée par le confluent de la Jarama et de la Lozoyeula. Derrière, son parc s'étendait jusqu'à Berruco; devant, la vue se reposait sur un beau et vaste jardin admirablement bien tracé, et où les fleurs exotiques se mariaient à chaque pas aux fleurs du pays. Son mur d'enceinte suivait les sinuosités des deux rivières. Au bout du jardin, une magnifique allée de platanes entrelaçant leurs branches flexibles et touffues se prolongeait en ligne droite jusqu'à la pointe de la presqu'île. Là, une grille de fer ouvrait sur un large escalier de pierre, précisément au point où la Lozoyeula se jette dans la Jarama. Cette fusion des deux rivières avait pour effet de faire refluer leurs eaux, qui, se déversant dans le centre, formaient un bassin spacieux et profond, à la surface duquel venait expirer la dernière marche de l'escalier. A droite et à gauche, entre l'allée et le mur du jardin, régnait une verte pelouse plantée également de platanes, et croisée dans tous les sens par une multitude de petites allées qui allaient toutes aboutir à un rond-point. A l'ombre de leur épais feuillage s'élevaient, dans ce rond-point, d'un côté une volière, de l'autre un pavillon.

Depuis son retour de France, ce pavillon était devenu la retraite favorite de la comtesse de San-Marco. Dans la situation de son âme, cet asile silencieux avait un charme indéfinissable pour elle. Elle y avait fait transporter quelques meubles rustiques, son clavecin et ses livres. Elle avait aussi dans une commode différents objets de toilette. Elle seule avait la clef de ce pavillon. Défense expresse à tout le monde, même à Paquitta, de venir la troubler quand elle s'y renfermait, quelque heure que ce fût. Elle aimait à y être seule, et elle passait là de délicieux instants, soit qu'elle s'abandonnât à ses rêveries, soit qu'elle lût ou fît de la musique. Le charme de cette solitude répandait sur les blessures de son cœur un baume bienfaisant, qui, en changeant le cours de ses pensées, dissipait sa tristesse et rafraîchissait ses sens. Elle entrevoyaif alors l'espérance d'un bonheur prochain. C'était surtout le soir, lorsque tout dormait dans la nature, lorsque le ciel était parsemé d'étoiles, et que la brise parfumée venait se jouer dans les boucles de ses noirs cheveux, qu'elle aimait à mêler sa voix au bruit cadencé des vagues qu'on entendait bruire au delà du mur.

Après avoir refermé la grille derrière lui, Génaro prit la grande allée qui conduisait directement au jardin. Semblable à un spectre qui se glisse à la faveur de la, nuit, il marchait le long des arbres, le regard attentif, et prêt à se jeter au moindre bruit sous les platanes de la pelouse; son intention était de pénétrer dans le château sans être vu de personne. Tout à coup le son d'une voix accompagnée d'un clavecin frappe son oreille; il s'arrête pour écouter : c'est la voix de la comtesse. Alors il hâte le pas en redoublant de précaution pour ne pas être découvert. A la hauteur des ronds-points il aperçoit de la lumière dans le pavillon.

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ries au plus les cinq cents et quelques chevaux auxquels la Société hippique va distribuer en primes de dressage environ soixante mille francs.

On prépare la piste pour les épreuves, et l'on dresse les tribunes destinées aux amateurs de cette œuvre aussi utile que patriotique.

Le concours doit durer quinze jours, du 1er au 45 avril 4868. Nous tiendrons nos lecteurs au courant des prix qui seront décernés.

M. Frédéric Gilbert cite quelques toilettes du dernier bal des Tuileries :

<< L'Impératrice était habillée tout en crêpe vert, avec des guirlandes de fleurs de pervenche dans le bas de la robe. Beaucoup de diamants sur la tête et au cou. Sur le front une grosse abeille en diamants et en rubis.

>> La princesse de Metternich portait une robe blanche. A son entrée, il lui est arrivé un accident: tout un volant de sa jupe a été emporté.

>> Madame Korsakoff était habillée de crêpe gris.

>> Une jeune femme, oui, jolie, ma foi, avait une robe rose, et sur le dos des ailes blanches, comme celles de mademoiselle Irma Marié dans son rôle de Cupidon.

>> Il y avait aussi une Anglaise habillée de soie mauve et couverte d'herbes vertes depuis la tête jusqu'aux pieds. J'avoue que l'étrangeté de ce costume a fait rire quelques invités. >>>

La petite fète était charmante; mais il y avait, paraîtil, infiniment trop de monde; on s'écrasait les pieds, et l'on faisait queue pour arriver au souper.

On écrit de Zierikzee :

<< Un chasseur a péri d'une façon singulière dans les dunes de Burgh. Un lapin qu'il avait manqué s'étant réfugié dans son terrier, le chasseur voulut le poursuivre jusque dans ses derniers retranchements. Au moment où il mettait le pied dans une cavité où le lapin avait creusé son terrier, le sable des dunes s'affaissa et enterra vif l'infortuné chasseur. >>>

PETIT COURRIER.

Le palais de l'Industrie aux Champs-Élysées, que le ministre de la maison de l'Empereur vient de concéder pour cinq ans à la Société hippique française, est en ce moment envahi par les ouvriers charpentiers, terrassiers et tapissiers.

Sous l'habile direction de M. Dutrou, l'architecte du palais, le rez-de-chaussée va être aménagé de telle sorte qu'il pourra contenir en une seule ou deux écu

On vient de découvrir en Sicile, sur un des plateaux de la montagne de Cassero, des ruines indiquant l'existence d'une grande cité, dont l'origine remonterait à l'époque où vint s'établir en ce lieu une colonie de Syracusains. D'après les historiens, cette cité ne serait autre que l'antique Castro.

Les murailles ont un développement de deux mille mètres; leur épaisseur est de trois mètres, et elles sont construites en calcaire marneux stratifié. Ces pierres sont finement modelées. La périphérie entière de la ville est d'environ six mille mètres. Elle paraît divisée en plusieurs quartiers, et sur la partie orientale on distingue les ruines d'un temple.

Non loin de cette cité existe une autre localité depuis longtemps découverte, nommée Castro-Novo, et dont l'origine est aussi fort ancienne.

Quand je vous dis que tout ici-bas a son bon côté ! N'a-t-on pas découvert l'autre jour que le venin de vipère constitue un excellent spécifique contre la rage? Eh bien, voici maintenant un médecin, le docteur Henssler, qui se dit certain d'avoir trouvé la panacée infaillible du choléra. Dans quoi? dans la poudre à canon. C'est du moins le Courrier du Gard qui l'affirme.

Le docteur Henssler, qui se trouve à Campo (Brésil), où sévit le choléra, après avoir essayé de tous les remèdes, s'est souvenu qu'on guérissait quelquefois les chiens empoisonnés avec une solution de poudre et d'huile : << Puisque, se dit-il, cela fait du bien aux chiens empoisonnés, pourquoi cela n'en ferait-il pas également aux hommes qui le sont? » Vous savez que pour beaucoup de médecins le choléra n'est autre chose qu'un empoisonnement.

Partant de là, le docteur Henssler a fait des expériences, des recherches; si bien que d'expériences en expériences il a fini par découvrir que le chlorate de poudre guérissait infailliblement tous les cholériques. Voilà donc la poudre à canon devenue un élixir de longue vie, à la condition, bien entendu, de n'y pas ajouter un boulet.

Un loueur de voitures avait élevé, sans jamais le laisser sortir, un jeune chien de Terre-Neuve, qui s'était toujours montré fort doux. Le maître mourut, et le chien en parut vivement affecté. Avant-hier, on faisait la vente des objets provenant de la succession. M. X..., épicier, qui se trouvait là, vit le chien, l'acheta, le musela, et l'emmena séance tenante à son domicile, rue Blomet, à Vaugirard. Arrivé là, il démusela le chien. Cet animal, qui n'avait jamais porté la muselière, et qui n'était pas habitué au mouvement de la rue, sauta à la gorge de son nouveau propriétaire et l'étrangla net.

Le mot de la fin. Empruntons-le à la Situation (le journal):

<<< Tout augmente! s'écriait hier avec douleur un pauvre diable d'employé. Le pain a augmenté, le vin a augmenté, la viande a augmenté, et février a vingtneuf jours.

>> Tout augmente! »

Le carnaval sera plus long et le printemps plus fleuri que de coutume.

PHILIBERT AUDEBRAND.

Une femme d'esprit trouvera tout un arsenal de travestissements irrésistibles pour les bals de la saison dans le beau livre consacré à Madame de Pompadour par M. Campardon. Les travestissements portés par les grandes dames et par les nobles personnages de la cour de Louis XV y sont décrits jusqu'aux menus détails. Un bel in-8o avec portrait. Prix: 8 fr. franco. - H. Plon, éditeur, 10, rue Garancière.

L'Almanach Prophétique pour 1868 renferme, outre tous les renseignements météorologiques désirables, les articles les plus extraordinaires sur la magie, les démons, les sorcelleries, les horoscopes, les revenants, etc. Prix: 50 centimes, chez tous les libraires.

Tout le monde apprend à dessiner, au collége ou dans sa pension; mais quand on a copié beaucoup d'études, voire de grandes académies, on est aussi incapable de faire un croquis qu'on l'était avant de commencer l'étude du dessin. Le croquis cependant, pour toute personne qui ne veut pas se livrer sérieusement à la peinture, est la partie la plus agréable de l'art. Pourquoi les professeurs n'enseignent-ils pas à croquer d'après nature, et surtout à croquer de souvenir? C'est que le croquis n'est pas de l'art comme on l'entend à l'Institut, et tous les professeurs sont ou veulent être des hommes sérieux, des académiciens.

Laissez donc les professeurs faire de l'art académique, et apprenez à faire des croquis; c'est moins noble, mais cela vous distraira, et cela seul vous donnera l'air de savoir dessiner.

Vous pouvez apprendre sans maître, tout simplement en copiant de bons modèles de croquis, et en vous exerçant, lorsque vous les aurez copiés, à les refaire de mémoire. Avant peu vous serez en état de croquer d'après nature. Continuez à faire de mémoire ce que vous aurez copié, et vous ne tarderez pas à pouvoir reproduire ce que vous aurez vu au spectacle, dans le monde, partout. Vous ferez des croquis sur les albums de vos amis, vous saurez donner une idée exacte des hommes et des choses que vous aurez à décrire; en un mot, vous jouirez du dessin; et vous n'en tirerez aucun profit, aucun amusement, si vous ne savez pas faire un croquis.

Pour vous exercer, nous mettons à votre disposition deux Albums que vous pouvez acheter pour étudier tous les genres de croquis, ou parmi lesquels vous pouvez choisir le genre de croquis que vous préférez.

Ces deux Albums, qui valent beaucoup plus cher, nous vous les offrons à 7 francs chacun, rendu franc de port.

Ce sont les Croquis passe-temps de Victor Adam, - et les Croquis de figures, animaux et paysages de Dubuisson.

Vous pouvez n'acheter qu'un Album si vous voulez; pour cela, envoyez un bon de 7 francs à M. Philipon, 20, rue Bergère. - 14 francs pour deux Albums.

Paris. - Typographie Henri Plon, rue Garancière, 8.

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DESSINS DU JOURNAL AMUSANT EN ROULEAUX.

Nous avons fait imprimer, sur des rouleaux de papier, les dessins de notre Journal amusant, et l'on se sert de ces rouleaux pour tapisser les salles de billard ou les salles à manger à la campagne; on les emploie

aussi pour les kiosques et pour tous autres lieux. La collection se com pose de cinq rouleaux dans lesquels pas un seul dessin ne se trouve répété. Ces rouleaux, doubles en largeur des rouleaux de papier peint ordinaires, ne coûtent que 3 fr. 50 c. à toute personne qui nous adresse un bon de 17 fr. 50 pour les cinq rouleaux; nous les expédions franco - en France, sauf la Corse et l'Algérie. - Adresser un bon de poste à M. Philipon, 20, rue Bergère.

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LES DIFFÉRENTS PUBLICS DE PARIS

ALBUM COMIQUE

Paris, au bureau. Cartonné. 8 fr.

LITHOGRAPHIÉ PAR GUSTAVE DORÉ.

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Départements, rendu franco. Cartonné. 10 fr.

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Broché.
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Adresser un bon de poste à M. Philipon, rue Bergère, 20.

7 fr.

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Les prix ci-dessus sont sujets à varier par suite des changements qui surviennent dans les tarifs des postes. Le prix d'abonnement pour l'Angleterre est de 8 fr. 50 c. pour trois mois, 17 fr. pour six mois, - 34 fr. pour un an, mais à la condition de payer ce prix directement, à Paris, sans aucun frais d'aucune sorte pour l'administration, et de retirer, également sans frais pour nous, la prime accordée aux abonnements d'une année.

Si l'on s'adresse à notre correspondant de Londres, M. Delizy, no 1, Finch Lane, Cornhill, - comme il doit être dédommagé des frais de correspondance, port d'argent, port de la prime, etc., etc., le prix est augmenté. Suivant l'usage français, tous les abonnements se payent d'avance, les journaux ne faisant aucun crédit. A Londres, DELIZY, DAVIES et Co, no 1, Finch Lane, | A Cologne et à Sarrebruck, à la direct. génér. des postes; Cornhill, et n° 4, Cecil street, Strand;

A Saint-Pétersbourg, DuFour, libraire de la cour im-
périale;

A Bruxelles, chez MM. BROUWET, DECQ, GERUZET;
A Leipzig, chez MM. DURR et Cie, libraires;

A Venise,

idem;

A la Nouvelle-Orléans, chez M. HÉBERT, libraire;
A Madrid, Sres SAAVEDRA, calle Mayor, no 10;

A Buenos-Ayres, chez M. DUPUIS-MONNIER;
A la Havane, M. LANGWELT.

Pour l'Autriche, l'Allemagne, la Prusse et la Russie, on s'abonne chez MM. les directeurs des postes de Cologne et de Sarrebruck (Prusse).

On souscrit, à Lyon, au Magasin de papiers peints de Mme Gagnieur, rue Saint-Pierre, 27.

AVIS AUX ABONNÉS DES DÉPARTEMENTS ET DE L'ÉTRANGER. L'administration des Modes parisiennes ne manque jamais de remettre la prime à toute personne qui fait un abonnement d'un an; mais il arrive très-souvent que ces primes sont gardées par les intermédiaires qui ont fait la souscription.

D'autres fois, l'abonné de l'étranger a payé pour un abonnement d'un an, et l'intermédiaire n'a pris, lui, qu'un abonnement de six mois. - Au bout de six mois il renouvelle l'abonnement, mais il a frustré l'abonné de son droit à la prime, qui se donne seulement aux abonnés d'un an.

Nous invitons donc ceux de nos abonnés des départements et de l'étranger qui ont versé dans les mains d'un intermédiaire le montant de l'année d'abonnement, nous les invitons, disons-nous, à réclamer leur prime à cet intermédiaire, et à considérer comme un indigne mensonge toute affirmation que cette prime (l'abonnement étant fait pour un an) a été refusée par l'administration du Journal. Pour l'ANGLETERRE, MM. Delizy, Davies et Cie, no 1, Finch Lane, Cornhill, à Londres; Pour l'ESPAGNE, M. C. A. Saavedra, calle Mayor, 10, à Madrid,

se chargent de remettre les primes contre remboursement des frais de port et de douane.

AVIS.

Lorsqu'une de nos abonnées voudra obtenir le patron d'une robe, d'un mantelet ou d'un manteau représenté sur nos gravures, elle pourra nous envoyer franco 1 fr. 25 c. en timbres-poste, et nous lui adresserons, franc de port, le patron qu'elle désire. Ce patron sera tout coupé, et de grandeur naturelle; mais il faut nous désigner avec soin l'objet qu'on demande, et nous indiquer la livraison dans laquelle se trouve le dessin représentant cet objet.

Pour l'étranger, le prix des patrons est de 1 fr. 50 c.

Nous ne pouvons accepter les timbres-poste étrangers qu'avec une addition de 10% de leur valeur pour nos frais d'échange de ces timbres. Nos abonnés d'Allemagne peuvent nous adresser des thalers (3 fr. 75 c.) ou des gulden (2 fr. 10 c.) en papier. Ecrire franco à M. E. PHILIPON, 20, rue Bergère, à Paris.

PARIS. - TYPOGRAPHIE HENRI PLON, RUE GARANCIÈRE, 8.

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