| Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 428 pages
...eu. usurpant sur ceux du sénat. Chez les Grecs , tout ce que le pcnpT* avait à faire , il le fesait par lui-même. Il était sans cesse assemblé sur...climat doux , il n'était point avide , des esclaves fesaieiit ses travaux , sa grande affaire e'tait sa liberté. N'ayant plus les mêmes avantages , comment... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 656 pages
...romain par les droits de leur charge , mais seulement en usurpant sur ceux du sénat. Chez les Grecs, tout ce que le peuple avait à faire il le faisait...doux; il n'était point avide; des esclaves faisaient ses travaux; sa grande affaire était sa liberté. N'ayant plus lesmêmes avantages, comment conserver... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1823 - 516 pages
...romain par les droits de leurs charges , mais seulement en usurpant sur ceux du sénat. Chez les Grecs, tout ce que le peuple avait à faire il le faisait...; il n'était point avide ; des esclaves faisaient ses travaux ;^a grande affaire était sa liberté. N'ayant plus les mêmes avantages, comment conserver... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1450 pages
...romain par les droits de leurs charges, mais seulement en usurpant sur ceux du séuat. Chez les Grecs, tout ce que le peuple avait à faire il le faisait...par lui-même; il était sans cesse assemblé sur la plac«>. 11 h.-cbitait un climat doux; 11 netait point avide; des esclaves faisaient ses travaux ;... | |
| Louis Rousseau - 1841 - 516 pages
...le voit arriver à cette pierre d'achoppement ; mais laissons-le parler encore : « Chez les Grecs, ce que le peuple avait à faire, « il le faisait par lui-même ( abstraction faite « du pain et du vêtement qui apparemment « n'étaient pas ses affaires) ; il... | |
| Frédéric Bastiat - 1851 - 626 pages
...«on obéit avec liberté 'et l'on porte facilement le joug de la félicité publique. » « Cfiez les Grecs, dit-il, tout ce que le peuple avait à...place, il habitait un climat doux, il n'était point avide.de* esclaves faisaient toits ses travaux, sa grande affaire était sa liberté. » « Le peupleanglais,dit-it... | |
| Moritz Rittinghausen - 1852 - 242 pages
...d'écolier. Pour le démontrer, nous n'avons qu'à le faire parler lui-même. « Chez les Grecs, dit-il (1), tout ce que le peuple avait à faire, il le faisait...doux; il n'était point avide; des esclaves faisaient ses travaux; sa grande affaire était sa liberté. N'ayant plus les mêmes avantages, comment conserver... | |
| Jean-Joseph Thonissen - 1852 - 784 pages
...prolétaire n'est pas la condition de la liberté du citoyen? Or, voici sa réponse : «Chez les Grecs tout ce que le peuple avait à faire » il le faisait...lui-même; il était sans cesse assemblé sur la place. » 11 habitait un climat doux, il n'était point avide, des esclaves fai» «aient set travaux, sa... | |
| József Eötvös (báró) - 1854 - 476 pages
...Яот'« unb W^en'e ein 3lnbait«punît, »on bem man п{ф! laffen roilt. „Chez les Grecs le peuple était sans cesse assemblé sur la place, il habitait...doux, il n'était point avide, des esclaves faisaient ses travaux, sa grande affaire était sa liberté," fo befфreibt Slouffeau bie greifjeit ®пефеп!апЬ«... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 548 pages
...romain parles droits de leurs charges , mais seulement en usurpant sur ceux du sénat. Chez les Grecs , tout ce que le peuple avait à" faire , il le faisait...doux; il n'était point avide; des esclaves faisaient ses travaux ; sa grande affaire était sa liberté. N'ayant plus les mêmes avantages, comment conserver... | |
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