| Molière - 1725 - 560 pages
...M. PERNELLE, Les langues ont toujours du venin à répandre; Et rien n'eft ici bas qui s'en puiflb défendre. ORGO N. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu) Je l'ai vu» dis je, vu , de mes propres yeux T&» Ce qu'on appelle va: Fauc.il vous le rebattre Aux oreilles cent... | |
| Molière - 1734 - 452 pages
...PERNELLE. Les langues ont toujours du venin à répandre ; Et rien n'eft, ici bas, qui s'en puifle défendre. ORGO N. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai vû , dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle, vû. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles... | |
| 1788 - 322 pages
...répandre» Et rien n'«st ici-bas qui s'en puisse défendre* OEGO N. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu ! Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux , vu> Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rcbattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? Madame PERNILLE. Mon Dieu!... | |
| Dumarsais - 1797 - 404 pages
...qui parlez. Moliere. Vous qui parlez est une phrase explctive , qui donne plus de force au discours. Je l'ai vu , dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appetle vu; Molière , Tartuffe, act. v. se. 5. Et je ne puis du tout me mettre dans l'esprit , Qu'il... | |
| Molière - 1799 - 264 pages
...langues ont toujours du venin à répandre^ Et rien n'eft ici bas qui s'en puilfe défendre. ORGON. C'eft tenir un propos de fens bien dépourvu. Je l'ai...dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon Dieu... | |
| Molière - 1813 - 278 pages
...à répandre ; Et rien n'est icihas qui s'eu puisse défendre. OHGON. C'est teuir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je , vu, de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. l'aut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois , et crier comme quatre ? MADAME PERNELLE. Mon dieu... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - 1820 - 794 pages
...son mari , qui étoit très-fondé à accuser sa vertu, en disant, comme le personnage de Molière: Je l'ai vu, dis-je, vu; de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu* MORALITÉ. Pur ce, dist-on en REPRUVIER Ke famés sevent engingnier.*; * tromper. Les mençunges funt... | |
| 1821 - 468 pages
...rien n est ici-bas qui s'en puisse défendre: Molière. i\> IQ oncoir. C'est tenir uu propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu , dis-je , vu , de mes propres yeux vu , Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre A ux oreilles cent fois , et crier comme qualre ? MADAME PEBHELIE. Won dieu... | |
| 1822 - 848 pages
...répandre; Kt rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. «^V • ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu. Faut-il vous le rebattre «irv Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? Mme PERNELLE. Mon Dieu!... | |
| Molière - 1822 - 338 pages
...à répandre ; Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre. ORGON. C'est tenir un propos de sens bien dépourvu. Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux -vu, Ce qu'on appelle vu. Fant-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre? MADAME PERNELLE. Mou Dieu !... | |
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