Collection complète de ses oeuvres, Volume 2 |
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Expressions et termes fréquents
aimable aime ainſi amour Arts aſſez aurait auſſi avez beautés beaux belle bonheur brillant C'eſt cæur cent chants charmant cher chercher choſes Ciel combats corps coup Cour d'autres d'être Dieu Dieux digne dire divin donner doux écrit également enfin eſprit eſt êtes eût fage faible fans fils fond font génie gloire goût grace Grèce guerriers Héros heureux homme humain j'ai jour l'amour l'art l'eſprit l'homme lettre liberté libre livre loin loix Louis main Maître Majeſté malheur ment mieux Monde Monſieur mort mortels n'en n'eſt Nature ouvrage paix parle père peuple place plaiſir plein porte premier Prince qu'un quelquefois raiſon rien Rois s'il ſans ſens ſera ſes ſeul Sire ſon ſont ſous ſouvent ſuis ſur Temple tems tendre Terre traits trouve venir vérité vertu Voilà vois voit voix Voyez vrai yeux
Fréquemment cités
Page 159 - Que les agréments de ton âge, Un cœur tendre, un esprit volage, Un sein d'albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d'attraits précieux, Hélas! qui n'eût été friponne? Tu le fus, objet gracieux, Et, que l'amour me le pardonne, Tu sais que je t'en aimais mieux.
Page 373 - Au sein de l'infini nous élançons notre être, Sans pouvoir un moment nous voir et nous connaître. Ce monde, ce théâtre et d'orgueil et d'erreur, Est plein d'infortunés qui parlent de bonheur.
Page 1 - Que le chantre flatteur du tyran des Romains, L'auteur harmonieux des douces Géorgiques, Ne vante plus ces lacs et leurs bords magnifiques, Ces lacs que la nature a creusés de ses mains Dans les campagnes italiques ! Mon lac est le premier : c'est sur ses bords...
Page 24 - II joignit l'art de plaire au malheur de médire : Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs Pouvait de sa piqûre adoucir les douleurs; Mais pour un lourd frelon méchamment imbécile ', Qui vit du mal qu'il fait, et nuit sans être utile, On écrase à plaisir cet insecte orgueilleux, Qui fatigue l'oreille et qui choque les yeux.
Page 67 - Connaissez-vous; et, dans votre prochain, Ne blâmez plus ce que votre indolence Souffre chez vous avec tant d'indulgence.
Page 2 - J'ai vu cette déesse altière, Avec égalité répandant tous les biens, Descendre de Morat en habit de guerrière, Les mains teintes du sang des fiers Autrichiens Et de Charles le Téméraire. Devant...
Page 30 - N'offrez pas à vos fens de molleife accablés Tous les parfums de Flore à la fois exhalés. Il ne faut point tout voir , tout fentir , tout entendre.
Page 67 - L'herbe est séchée, et la fleur se flétrit. Ainsi l'on voit en Angleterre, en France, Par cent canaux circuler l'abondance. Le goût du luxe entre dans tous les rangs : Le pauvre y vit des vanités des grands; Et le travail, gagé par la mollesse, S'ouvre à pas lents la route à la richesse.
Page 32 - ... Compagne de mes pas dans toutes mes demeures , Dans toutes les saisons, et dans toutes les heures : Sans toi tout homme est seul; il peut par ton appui Multiplier son être , et vivre dans autrui. Idole d'un cœur juste , et passion du sage , Amitié, que ton nom couronne cet ouvrage! Qu'il préside à mes vers comme il règne en mon cœur ! Tu m'appris à connaître , à chanter le bonheur.
Page 25 - Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête ; Ils vivent l'un par l'autre, ils triomphent du temps : Tandis que sous leur ombre on voit de vils serpents Se livrer, en sifflant, des guerres intestines, Et de leur sang impur arroser leurs racines».