Collection complète de ses oeuvres, Volume 21757 |
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Page 9
... corps Sont - ils d'une autre espèce ? ont - ils d'autres refforts ? C'est du même limon que tous ont pris naiffance ; Dans la même faibleffe ils traînent leur enfance : Et le riche & le pauvre , & le faible & le fort , Vont tous ...
... corps Sont - ils d'une autre espèce ? ont - ils d'autres refforts ? C'est du même limon que tous ont pris naiffance ; Dans la même faibleffe ils traînent leur enfance : Et le riche & le pauvre , & le faible & le fort , Vont tous ...
Page 16
... corps Sont - ils d'un autre agent les aveugles refforts ? Enfin , ma volonté , qui me meut , qui m'entraîne , Dans le palais de l'ame eft - elle efclave ou Reine ? Obscurément plongé dans ce doute cruel , Mes yeux , chargés de pleurs ...
... corps Sont - ils d'un autre agent les aveugles refforts ? Enfin , ma volonté , qui me meut , qui m'entraîne , Dans le palais de l'ame eft - elle efclave ou Reine ? Obscurément plongé dans ce doute cruel , Mes yeux , chargés de pleurs ...
Page 19
... corps . Mais , quoi ! par ce danger répandu fur ta vie , Ta fanté pour jamais n'eft point anéantic . On te voit revenir des portes de la mort , Plus ferme , plus content , plus tempérant , plus fort . Connai mieux l'heureux don que ton ...
... corps . Mais , quoi ! par ce danger répandu fur ta vie , Ta fanté pour jamais n'eft point anéantic . On te voit revenir des portes de la mort , Plus ferme , plus content , plus tempérant , plus fort . Connai mieux l'heureux don que ton ...
Page 29
... corps ? Pourquoi l'afpic affreux , le tigre , la panthère , N'ont jamais adouci leur cruel caractère , Et que reconnaiffant la main qui le nourrit , Le chien meurt en léchant le maître qu'il chérit ? D'où vient qu'avec cent pieds , qui ...
... corps ? Pourquoi l'afpic affreux , le tigre , la panthère , N'ont jamais adouci leur cruel caractère , Et que reconnaiffant la main qui le nourrit , Le chien meurt en léchant le maître qu'il chérit ? D'où vient qu'avec cent pieds , qui ...
Page 30
Voltaire. A mon corps languiffaut rend un pouvoir nouveau , Fait palpiter mon cœur , & penfer mon cerveau ? Il lève au Ciel les yeux , il s'incline , il s'écrie : Demandez - le à ce DIEU , qui nous donna la vie . Couriers de la Phyfique ...
Voltaire. A mon corps languiffaut rend un pouvoir nouveau , Fait palpiter mon cœur , & penfer mon cerveau ? Il lève au Ciel les yeux , il s'incline , il s'écrie : Demandez - le à ce DIEU , qui nous donna la vie . Couriers de la Phyfique ...
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Expressions et termes fréquents
Abbé de Chaulieu affez aimable aime ainfi amour Apollon Arts auffi avez bataille de Dettingen Bayle beau befoin c'eft C'eſt Cardinal de Fleury chants charmant cher chofes Ciel Cirey cœur compofé Confervez daigne défirs deftin Dieu du Goût Dieux difait doux efprit enfans eſpèce eſt êtes fage fageffe faibleffe faifait fang fans favant fecours fecret fein femble fens fentiment fera fervir feul fiécle foit font fouffrir fous fouvent fuis furtout gloire grace guerriers Héros heureux homme humain immortelle j'ai jamais jeuneffe jour jufte l'ame l'amour l'efprit l'homme laiffa Leibnitz lettre Lisbonne loix longtems Lorfque Louis main Maître Majefté Meffieurs Mélanges &c mifère Miniftre Monde Monfeigneur MONSIEUR mortels Mufe n'eft n'eſt Nature néceffaire ouvrage paffer paffion pèfe penfe perfonne peuple Philofophie plaifir plaifirs Poëme Pope préfent Prince puiffe raifon refpect rien Rois Sire Temple tems Throne trifte vois VOLTAIRE دو
Fréquemment cités
Page 161 - Que les agréments de ton âge, Un cœur tendre, un esprit volage, Un sein d'albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d'attraits précieux, Hélas! qui n'eût été friponne? Tu le fus, objet gracieux, Et, que l'amour me le pardonne, Tu sais que je t'en aimais mieux.
Page 375 - Au sein de l'infini nous élançons notre être, Sans pouvoir un moment nous voir et nous connaître. Ce monde, ce théâtre et d'orgueil et d'erreur, Est plein d'infortunés qui parlent de bonheur.
Page 3 - Que le chantre flatteur du tyran des Romains, L'auteur harmonieux des douces Géorgiques, Ne vante plus ces lacs et leurs bords magnifiques, Ces lacs que la nature a creusés de ses mains Dans les campagnes italiques ! Mon lac est le premier : c'est sur ses bords...
Page 26 - II joignit l'art de plaire au malheur de médire : Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs Pouvait de sa piqûre adoucir les douleurs; Mais pour un lourd frelon méchamment imbécile ', Qui vit du mal qu'il fait, et nuit sans être utile, On écrase à plaisir cet insecte orgueilleux, Qui fatigue l'oreille et qui choque les yeux.
Page 69 - Connaissez-vous; et, dans votre prochain, Ne blâmez plus ce que votre indolence Souffre chez vous avec tant d'indulgence.
Page 4 - J'ai vu cette déesse altière, Avec égalité répandant tous les biens, Descendre de Morat en habit de guerrière, Les mains teintes du sang des fiers Autrichiens Et de Charles le Téméraire. Devant...
Page 32 - N'offrez pas à vos fens de molleife accablés Tous les parfums de Flore à la fois exhalés. Il ne faut point tout voir , tout fentir , tout entendre.
Page 69 - L'herbe est séchée, et la fleur se flétrit. Ainsi l'on voit en Angleterre, en France, Par cent canaux circuler l'abondance. Le goût du luxe entre dans tous les rangs : Le pauvre y vit des vanités des grands; Et le travail, gagé par la mollesse, S'ouvre à pas lents la route à la richesse.
Page 34 - ... Compagne de mes pas dans toutes mes demeures , Dans toutes les saisons, et dans toutes les heures : Sans toi tout homme est seul; il peut par ton appui Multiplier son être , et vivre dans autrui. Idole d'un cœur juste , et passion du sage , Amitié, que ton nom couronne cet ouvrage! Qu'il préside à mes vers comme il règne en mon cœur ! Tu m'appris à connaître , à chanter le bonheur.
Page 27 - Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête ; Ils vivent l'un par l'autre, ils triomphent du temps : Tandis que sous leur ombre on voit de vils serpents Se livrer, en sifflant, des guerres intestines, Et de leur sang impur arroser leurs racines».