J'étois le soir par hasard dans la tente de mon frère de Balleroy, lorsqu'il eut ordre de marcher avec son régiment. Je le suivis sans balancer, et sans savoir où nous allions ; mais on voyoit bien que partir à onze heures du soir n'étoit pas pour... Épicuriens et lettrés: XVIIe et XVIIIe siècles - Page 74de Gustave Desnoiresterres - 1879 - 459 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Petitot (M., Claude-Bernard), Alexandre Petitot, Louis-Jean-Nicolas Monmerqué - 1828 - 542 pages
...toute la nuit, et n'avoit pris que le détachement nécessaire pour son entreprise. J'étois le soir par hasard dans la tente de mon frère de Balleroy,...de Tolhuys. Je vis le courage du comte de Guiche. J'étois à trois pas de Sa Majesté quand elle apprit la blessure de M. le prince et la mort de M.... | |
| Claude Bernard Petitot, Alexandre Petitot, Louis Jean Nicolas Monmerqué - 1828 - 788 pages
...toute la nuit, et n'avoit pris que le détachement nécessaire pour son entreprise. J'étois le soir par hasard dans la tente de mon frère de Balleroy,...une revue. Nous nous trouvâmes à trois heures du malin sur le bord du Rhin , vis-à-vis de Tolhuys. Je vis le courage du comte de Guiche. J'étois à... | |
| Sophie Gay - 1876 - 310 pages
...faire, ce jour-là, une chose fort agréable au roi ; je lui fis entendre la messe. J'étais le soir, par hasard, dans la tente de mon frère de Balleroy,...marcher avec son régiment. Je le suivis sans balancer, sans savoir où nous allions. Mais on voyait bien que partir à onze heures du soir ce n'était pas... | |
| Choisy (abbé de) - 1888 - 284 pages
...toute la nuit, et n'avoit pris que le détachement nécessaire pour son entreprise. J'étois le soir par hasard dans la tente de mon frère de Balleroy,...sans savoir où nous allions; mais on voyoit bien que de partir à onze heures du soir n'étoit pas pour aller faire une revue. Nous nous trouvâmes à trois... | |
| 1920 - 952 pages
...Choisy : J'étais, le soir, par hasard dans la tente de mon frère de Ballei-oy, lorsqu'il eut l'ordre de marcher avec son régiment. Je le suivis sans balancer et sans savoir où nous allions, mais on voyait bien que de partir à onze heures du soir n'était pas pour aller faire une revue. Nous nous... | |
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